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Dans le rétro...
Leçon à Rome en 1938
En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous partage aujourd'hui le récit du premier championnat d'Europe féminin organisé par la FIBA à Rome en octobre 1938....
L'histoire du basket-ball aux JO
L'histoire du basketball aux Jeux Olympiques, une histoire qui n'a jamais été racontée. C'est donc le défi que s'est lancé le site basket retro en réalisan...
Les JO… Il n’y a pas mieux quand on est athlète de haut niveau !
En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous partage aujourd'hui une interview de Laure Savasta. De Tarbes à la WNBA en passant par les JO...
« Ouah ! J’ai fait cela moi ? »
En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous partage aujourd'hui une interview de Loëtitia Moussard qui accepte d'ouvrir son livre de souvenirs au si bien en club qu'en Equipe de France.
« En 1983, en France, la pression était énorme ! »
En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous partage aujourd'hui une interview d'Hervé Dubuisson (259 sélections, 3921 points), internationale de 1974 à 1989,...
"En 1979, en Corée, le dépaysement a été total !"
En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous part...
Doda ne répond plus
Maryse Sallois, le feu follet
Edith Tavert, une rencontre déterminante !

Leçon à Rome en 1938

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Rappel du contexte : placé sous l’égide de la Fédération française d’athlétisme, le basket s’émancipe en 1932 avec la création de la FFBB. Mais seuls les joueurs masculins en font alors partie. En ce temps-là, le sport féminin était régi par la Fédération féminine sportive de France (FFSF). La FFBB rapatrie (du bout des lèvres) le basket féminin en avril 1936. Trois ans après les hommes, la FIBA organise, à Rome, le premier championnat d’Europe féminin sous son sceau.

La tendance est alors favorable aux Françaises. En version Fédération sportive féminine internationale, les Tricolores s’étaient en effet emparé du titre de championnes d’Europe en 1930 à Strasbourg en battant la Pologne et, surtout, du monde en 1934 à Londres en subjuguant les Etats-Unis, à la surprise générale.

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Date d’écriture: 
Vendredi, 29. Septembre 2023
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En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous partage aujourd'hui le récit du premier championnat d'Europe féminin organisé par la FIBA à Rome en octobre 1938. L'Equipe de France y part parmi les favorites.
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L'histoire du basket-ball aux JO

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A travers ses 344 pages regroupant plus de 20 témoignages exclusifs de personnalité du basket international, illustrées par plus de 200 photos, L'Histoire du BasketBall aux JO nous fait revivre toutes les éditions olympiques de 1904 à 2020.

Ce livre, édité par ID Editions et préfacé par Boris Diaw, sera en vente au prix de 35 € et est actuellement disponible en pré-commande à tarif préférentiel 32 €. Offre valable jusqu'au 30 septembre 2023.

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Livre
Date d’écriture: 
Mercredi, 6. Septembre 2023
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L'histoire du basketball aux Jeux Olympiques, une histoire qui n'a jamais été racontée. C'est donc le défi que s'est lancé le site basket retro en réalisant un ouvrage exceptionnel sur le sujet. Ce livre est d'ores-et-déjà disponible en pré-commande.
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Les JO… Il n’y a pas mieux quand on est athlète de haut niveau !

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Beaucoup de choses ont été écrites sur le Championnat d’Europe 2001 que vous gagnez en France. Est-ce le meilleur souvenir de votre carrière ?
Ce championnat fait partie de mes meilleurs souvenirs, mais il y a aussi un peu de frustration parce que je ne joue pas beaucoup durant cette compétition. J’aurais aimé qu’Alain Jardel me fasse plus confiance, c’est vrai, cependant et très honnêtement, je n’ai pas de problèmes avec cela. A cette époque, je jouais beaucoup sauf en équipe de France. C’est comme cela…C’est la vie d’un coach de s’appuyer plus sur certaines filles et c’est respectable. Je tiens à dire que j’ai énormément échangé avec Alain Jardel et je le respecte beaucoup. Avec Edwige Lawson, nous étions alors à la transition entre un basket plus moderne et la conception basket d’Alain, celle qu’il a toujours vécu et enseigné. Pierre Vincent est arrivé ensuite avec un basket plus moderne et une nouvelle génération a éclos. En tous cas, 2001, c’était fantastique. Il ne pouvait rien arriver à l’équipe ! On a tellement dominé ce Championnat d’Europe sauf peut-être la finale… Ce moment a été fantastique, et mine de rien, nous avons écrit à l’encre indélébile l’histoire du basket français notamment au travers de l’épopée de 2001.

Où placez-vous les JO de 2000 où il y a de la déception avec cette cinquième place ?
Les JO… Il n’y a pas mieux quand on est athlète de haut niveau ! C’était à Sydney en plus, à l’autre bout du monde. On a fait une préparation de trois mois, un truc de dingue ! On a battu les Australiennes en préparation d’ailleurs, un exploit. Bref… Personnellement, ces JO me font dire que je touche le graal. Je suis heureuse d’être là où je suis et dans l’équipe, l’ambiance était géniale. Alors même si le résultat n’est pas à la hauteur des espérances parce qu’on perd contre la Corée en quart, ce moment est magique. Et puis, on termine première nation européenne. Ce n’est pas rien !  

L'interview complète sur Basket Retro

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Date d’écriture: 
Vendredi, 21. Juillet 2023
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En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous partage aujourd'hui une interview de Laure Savasta. De Tarbes à la WNBA en passant par les JO avec les Bleues elle retrace son parcours exceptionnel.
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« Ouah ! J’ai fait cela moi ? »

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Vous devenez internationale cadette puis junior avec Yannick Souvré et Isabelle Fijalkowski notamment.
Oui c’est cela, exactement. Yannick Souvré a deux ans de plus que moi mais j’ai été surclassée avec l’équipe de France junior alors que j’étais encore cadette. C’est pour cela que j’ai été internationale en jeune avec elle. À cette époque, aux championnats d’Europe les nations de l’Est dominaient : l’URSS, la Hongrie étaient très fortes. Et avec Isabelle Fijalkowski, on se connait depuis l’âge de 14 ans. On s’est tout le temps croisé. J’ai été championne de France cadette d’ailleurs en battant l’AS Montferrand dans laquelle elle jouait.

Le 27 décembre 1989, vous vous faites un beau cadeau. C’était à Tel-Aviv. Votre première sélection en équipe de France. Vous avez vécu ce moment de quelle manière ? Cela représente quoi pour vous de jouer pour votre pays ?
C’était une surprise parce que j’ai été appelé suite à une défection. J’étais dans mon club et j’attendais la trêve hivernale quand c’est arrivé. C’était juste avant Noël alors je l’ai pris comme une belle surprise, un beau cadeau. Cela a été une fierté, vous savez moi qui ait l’état d’esprit du sud-ouest où on inculque l’amour du maillot, l’amour des couleurs, où on est besogneux, où on travaille, de faire parti de ce cercle restreint, cela a été un honneur, une grande fierté.

L'interview complète sur Basket Reto

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Date d’écriture: 
Vendredi, 3. Mars 2023
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En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous partage aujourd'hui une interview de Loëtitia Moussard qui accepte d'ouvrir son livre de souvenirs au si bien en club qu'en Equipe de France.
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« En 1983, en France, la pression était énorme ! »

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En préparant les questions pour cette interview, nous voulions te demander quelque chose d’emblée. Tu as participé à 7 euros avec les Bleus, c’est un record. Et sur les 7, celui de 1983, tu le joues à la maison, en France. En quoi est-ce différent des autres compétitions de jouer un grand championnat dans son pays ?
Oui c’est le record ! Après, celui joué en France est très différent des autres. Il est même incomparable comme Euro. Je me souviens que la pression était énorme. Notre public avait répondu présent et puis il y avait beaucoup de journalistes. Les journalistes étrangers étaient très présents et nous posaient souvent des questions du type que tu me poses. Qu’est-ce que cela fait de jouer à la maison ?

Il y a de grosses attentes derrière l’équipe de France mais avec l’Espagne, l’Italie, la Grèce et la Yougoslavie…. c’est un peu « le groupe de la mort » dans lequel vous tombez. Comment tu vis ce premier tour ?
On a stressé de peur de mal faire en 1983. Les nations présentes dans notre groupe étaient déjà très fortes. Et puis, comme pour chaque grande compétition le premier match est toujours difficile à appréhender. Et là, on joue les Yougoslaves et à Limoges ! Alors on a stressé parce qu’on est obligé de bien faire. On est en France et cela ne peut pas être autrement… Ensuite, on bat la Grèce de deux points toujours à Beaublanc mais on perd contre l’Espagne. Tu as raison, on étaient dans le groupe de la mort ! Espagne – Italie : c’est d’ailleurs la finale…

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Date d’écriture: 
Vendredi, 6. Janvier 2023
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En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous partage aujourd'hui une interview d'Hervé Dubuisson (259 sélections, 3921 points), internationale de 1974 à 1989, qui revient sur le Championnat d'Europe 1983, qui avait eu lieu en France il y a 40 ans.
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"En 1979, en Corée, le dépaysement a été total !"

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En 1979, vous effectuez une grosse préparation (Tournois en Anjou et en Hongrie). Avant coup, dans quel état d’esprit êtes-vous pour cette compétition ?
On sortait d’un Championnat d’Europe où on termine 4èmes, en Pologne. C’était plutôt un bon résultat même si quatrième c’est toujours la mauvaise place… Mais on s’était dit qu’on pouvait faire quelque chose. D’autant qu’un championnat du Monde, on n’en fait pas « pleins » dans sa carrière. Et puis, les pays de l’Est étaient absents. L’URSS avait boycotté la compétition et « les pays amis » avaient fait de même. C’était la Guerre Froide donc pas de Bulgarie, ni la Pologne, etc…

Est-ce qu’on peut parler de renouvellement pour l’équipe de France en 1979 ? Jackie Chazalon, Colette Passemard, Françoise Quiblier et bien d’autres cadres ne sont plus de l’aventure. Joe Jaunay a également laissé sa place à Jean-Paul Cormy et Suzy Bastié.
Oui c’est vrai, on avait un effectif renouvelé effectivement. Dominique Leray n’était pas là non plus ni Françoise Quiblier donc au rebond cela posait souci et ce même si dans l’équipe il y avait Elisabeth Riffiod, Christine Gallard ou Cathy Bosero. On avait quand même une équipe qui tenait la route avec Irène Guidotti, Agnès Sainte Croix, Maryline Joly ou Sylvie Simonetti pour ne citer qu’elles. On était conscientes de ne plus avoir la même équipe mais on espérait vraiment bien figurer. D’autant qu’on connaissait peu le basket américain. Il faut dire qu’on était plus habituées au jeu des équipes d’Europe de l’Est qu’à celui des américaines ou des asiatiques.

Suite de l'interview à lire sur le site Basket Retro

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Date d’écriture: 
Vendredi, 2. Décembre 2022
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En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous partage aujourd'hui une interview de Maryse Sallois-Dusseaulx, internationale de 1974 à 1979, qui revient sur le Championnat du Monde 1979, une compétition atypique.
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Doda ne répond plus

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Après avoir tutoyé la gloire dans les années 1970, les Demoiselles de Clermont, devenues des Dames, se retrouvent 20 ans plus tard. Mais sur un autre terrain, pour mener un autre combat. Vital, car c’est une question de vie ou de mort. Le temps presse. Il faut sauver Olga, leur ancienne coéquipière. C’est l’affaire Djokovic.

Nous sommes au printemps 1993, Élisabeth Riffiod prépare son jubilé prévu le 15 mai. Après sa glorieuse époque au CUC, elle avait rallié la région parisienne et a conquis un nouveau titre de champion de France à Asnières en 1982 avec sa collègue de Clermont, Françoise Quiblier – Bertal. Ensemble, elles retrouvent une énième fois Ouliana Semenova et le Daugawa Riga qui ont tant hanté leurs nuits. Le dernier match de la poule des quarts de finale en Coupe des Champions en janvier 1983 à Asnières, précisément contre les Soviétiques, sera le dernier match au haut niveau d’Élisabeth.

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Date d’écriture: 
Jeudi, 28. Juillet 2022
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En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous propose aujourd'hui de vous plonger dans une histoire extraordinaire des Demoiselles de Clermont qui en 1993 se retrouvent pour sauver leur ancienne coéquipière Olga Djokovic.
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Maryse Sallois, le feu follet

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Maryse Sallois était un petit feu follet d’un 1,67 m, aux jambes d’acier, réputée pour courir partout en défense. Elle rentrait parfois pour un court temps de jeu avec un objectif : embêter le plus possible la joueuse adverse qui lui avait été assignée. Une vrai sangsue ! Mais capable aussi d’ajuster la mire avec son tir lointain à deux mains.

Rien ne prédestinait Maryse à faire carrière dans le basket. Née en région parisienne en 1950 et résidant à Boulogne sur Mer jusqu’à ses 12 ans – son père, muté une première fois à la SNCF dans le Nord, fut un temps président du club de volley de la ville – elle était plutôt adepte de la gymnastique. Elle atterrit à Clermont-Ferrand en 1963, dans la foulée d’une sseconde mutation paternelle.

Élève au lycée Jeanne d’Arc de Clermont, Maryse y rencontre une prof de gym nommée…Edith Tavert, la légendaire internationale et entraîneure de l’AS Montferrandaise. Sur ses recommandations, elle commence le basket puis la suit, avec d’autres joueuses, au glorieux Clermont Université Club. La grande épopée peut alors commencer. « J’ai eu la chance d’être au bon endroit au bon moment », précise-t-elle. Il en reste de très bons souvenirs. Le basket lui a permis de découvrir de nombreux pays, de partager des moments forts qui lui permettent de retrouver avec toujours autant de plaisir ces anciennes coéquipières. Elle n’a aucun regret d’avoir réalisé des sacrifices.

Suite du récit sur le site basket retro

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Date d’écriture: 
Mardi, 22. Mars 2022
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En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous propose aujourd'hui de partir à la découverte de Maryse Sallois. Cathy Malfois nous conte la belle carrière de Maryse, le feu follet du basket féminin dans les 70.
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Edith Tavert, une rencontre déterminante !

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Edith Tavert est probablement à l’origine de la carrière de Cathy pour lui avoir fait abandonner la natation pour le basket, avant de devenir sa première entraîneure.

 Pure auvergnate, issue d’une famille de 7 enfants, Édith Tavert (née Kloeckner) voit le jour en février 1929 à Clermont-Ferrand. Joueuse emblématique de l’AS Montferrandaise, elle obtient trois titres de Champion de France en 1958, 1959, 1962 et triomphe en Coupe de France en 1957 et 1958.

Dans les années 1950, elle est avec Anne Marie Colchen le fer de lance de l’Équipe de France. Petite arrière d’1,67m au fort caractère, acharnée, adroite, élégante sur le parquet et toujours tirée à 4 épingles en dehors, elle participe à 5 championnats d’Europe et cumule 63 sélections nationales entre 1949 et 1960. Elle termine 5ème marqueuse de l’Euro 1952 à Moscou avec 16,6 points par match.

Suite du récit sur le siet basket retro

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Date d’écriture: 
Jeudi, 24. Février 2022
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En collaboration avec le site Basket Rétro, le Club des Internationaux vous propose aujourd'hui de partir à la découverte d'Edith Tavert. Son portrait nous est raconté par Cathy Malfois qu'il l'a côtoyé à plusieurs reprises.
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