Boris Diaw | Page 3 | FFBB

Boris Diaw

Hommage à Boris Diaw !
Le 24 août dernier à l'occasion du match de qualification à la Coupe du Monde 2023 à l'Accor Arena entre la France et la République Tchèque, la Fédération Française de BasketBall et le Club...
Lancement de l'appel à projets
La 9ème édition des Trophées Sport & Management est lancée ! Tous les membres du Jury ainsi que Christophe Chenut, le nouveau Président, attendent avec impatience votre ca...
Suivez le live de lancement des JNA
Les Journées nationales de l'arbitrage, orchestrées par La Poste et les fédérations et ligues de football, rugby, handball et basketball, mettent chaque année à l'ho...
Vincent Collet et Valérie Garnier confirmés jusqu'en 2021
Le président de la Fédération Française de BasketBall, Jean-Pierre Siutat et le Directeur Technique National, Alain Contensoux, ont annoncé ce jour la prolongation des contrats de Vincent Collet et Valérie Garnier jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Tokyo qui se dérouleront duran...
Boris Diaw intègre le staff
La Fédération Française de BasketBall est heureuse d’annoncer l’intégration de l’ancien capitaine de l’Équipe de France, Boris Diaw, au sein du staff des Bleus.
Boris Diaw à la Une
16 années passées sous le maillot de l’Équipe de France. 247 sélections. 5 médai...
L'épisode 4 est en ligne !
Retour en vidéo sur une carrière d'exception
Merci Capitaine

Pages

Reprise difficile pour les Spurs

Corps: 

La coupure du All Star Game n'est pas toujours bénéfique. Si d'un point de vue collectif, les Spurs ont perdu cette nuit. Ce match révèle de nombreuses satisfactions pour le Champion en titre. A Los Angeles, les Texans ont vendu chèrement leur peau. L'axe Duncan-Parker a fonctionné à plein régime, Tim Duncan treminant même meilleur marqueur de la rencontre avec 30 unités auxquels il a ajouté 11 rebonds. Tony Parker n'a pas été inactif bien au contraire avec 21 points et 13 passes en 35 minutes. Mais cela n'a pas suffi pour contrer les Clippers bien emmenés par le trio Paul-Crawford-Jordan.

Pour sa part Boris Diaw s'est montré plus discret avec 3 points, 3 rebonds et 1 passe en 16 minutes.

Surtitre: 
Français de NBA
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin
Date d’écriture: 
Vendredi, 20. Février 2015
Vignette: 
Chapeau: 
Après une semaine de break en raison du All Star Game, les San Antonio Spurs se sont inclinés cette nuit face aux LA Clippers malgré un Tony Parker très offensif (21 points et 13 passes).
crédit: 
Presse Sports

Duel de frenchies, les Spurs s'imposent face à Orlando

Corps: 

Malgré la victoire de son équipe 114 à 109 à Detroit, la soirée de Ian Mahinmi a été gâchée en se faisant une entorse à la cheville droite après seulement 4 minutes de jeu (1 point, 0/1 aux tirs, 2 rebonds). Washington et Kevin Séraphin (2 points, 5 rebonds en 18 minutes) se sont inclinés à Atlanta 96 à 105.

Comme Séraphin, Ajinça (6 points, 3 rebonds en 9 minutes) n'a pas permis à son équipe, New Orleans Pelicans de s'imposer face à Oklahoma City (91-102) emmené par un Russell Westbrook déchainé (45 points, 18/31 aux shoots, 6 rebonds et 6 passes).

Monstreux au rebond (19 dont 6 offensifs), Joakim Noah s'est en revanche montré très maladroit en attaque (1 point à 0/8 aux tirs) et les Bulls se sont inclinés 90 à 101 face à Houston.

Face à l'un des meilleurs pivots de NBA, Marc Gasol, Rudy Gobert n'a pas démérité (8 points, 6 rebonds, 2 interceptions et 2 contres en 25 minutes) mais n'a pas pu empêcher la défaite du Jazz face aux Grizzlies 100-90.

A San Antonio, les Spurs ont pu compter sur un Tim Duncun bien inspiré pour dominé le Magic d'Orlando emmené par le duo Vucevic-Harris. Trois français ont participé à cette rencontre et les trois ont débuté dans le 5 de départ. Evan Fournier a profité de son temps de jeu pour montrer toute sa polyvalence (10 points, 6 passes et 2 rebonds en 32') pour le Magic alors que côté Spurs, Parker s'est montré complet en cumulant 15 points et 3 passes en 30 minutes, tandis que Boris Diaw s'est montré plus discret avec seulement 4 points, 3 passes et 2 rebonds en 19 minutes.

Ce match a été l'occasion pour les trois joueurs français de se retrouver et de se "chambrer" sur les réseaux sociaux, extrait :

 

 

 

 

Surtitre: 
Français de NBA
Poids: 
1000
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin
Date d’écriture: 
Jeudi, 5. Février 2015
Vignette: 
Chapeau: 
Cette nuit, Evan Fournier et le Orlando Magic a rendu visite aux San Antonio Spurs de Tony Parker et Boris Diaw. Les Texans se sont imposés 110 à 103.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB

Diaw s'engage pour le basket féminin au Sénégal

Corps: 
Diaw sera impliqué dans le projet par le biais de sa fondation Babac'ards qui travaillera en collaboration avec le SEED Project, une structure fondée en 2002 qui a recours aux valeurs du sport pour éduquer et développer la jeunesse sénégalaise.
 
"Cela m'a toujours tenu à coeur d'aider dans un sens ou dans un autre le Sénégal, il fallait juste trouver le projet le plus adéquat", a-t-il expliqué lors d'une conférence téléphonique.
 
"On avait commencé à faire des stages de basket avec la SEED Academy (l'un des programmes du SEED Project, ndlr). Ce qui ressort c'est le sérieux, j'ai vu des jeunes de 10 ans à la SEED Academy qui sont maintenant en NBA, c'est la référence en termes de garçons au Sénégal", a rappelé le capitaine de l'équipe de France médaillée de bronze de la Coupe du monde 2014.
 
L'un des "diplômés" de la SEED Academy est Gorgui Dieng, le pivot des Minnesota Timberwolves, à 25 ans l'une des révélations de la saison NBA avec des moyennes de 10 points et 8,7 rebonds par match.
 
"On va commencer par une première équipe de filles, entre dix et douze joueuses, cela sera de plus en plus important", a précisé Diaw, qui n'a pas donné le coût de cette opération, précisant toutefois que "les joueuses retenues n'auront rien à payer à la fois pour le basket et pour leur scolarité".
 
Pour sélectionner cette première promotion, les responsables du projet considéreront "leur niveau en basket, leur potentiel aussi": "On veut qu'elles puissent intégrer des équipes universitaires aux Etats-unis ou des clubs professionnels, avoir une carrière dans le basket, en Europe aussi", a résumé Diaw.
 

"Des stages auront également lieux aux Etats-Unis mais aussi en France grâce à un partenariat entre la FFBB et la Fédération Sénégalaise afin de permettre une transfert de connaissance avec les éducateurs et ainsi créer des passerelles."

 

 

Surtitre: 
Français de NBA
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin avec AFP
Date d’écriture: 
Vendredi, 30. Janvier 2015
Vignette: 
Chapeau: 
L'international français des San Antonio Spurs Boris Diaw va participer à la construction d'une structure de développement du basket-ball féminin au Sénégal, le pays de son père.
crédit: 
Tony Voisin/FFBB

Parker réélu meilleur joueur européen, Diaw troisième

Corps: 

Tony Parker, meneur tricolore des San Antonio Spurs (NBA) : « Cette distinction me rend vraiment heureux. Elle récompense la superbe saison que nous avons connue avec les Spurs et qui s'est terminée sur la conquête du titre de champion NBA. Etre capable de rebondir de cette façon après la terrible défaite de 2013 en finale contre Miami est fantastique et le basket que nous avons pratiqué a frôlé la perfection. Je suis le joueur de l'année FIBA Europe pour la deuxième année consécutive. C'est un grand honneur d'affronter des joueurs comme Nowitzki, Gasol et ceux évoluant en Euroleague. Je remercie sincèrement tous ceux qui ont voté pour moi. Je suis très fier de recevoir ce trophée. »

Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB : « Je suis particulièrement heureux que les performances de Tony Parker et Boris Diaw, aussi bien dans leur club qu’en Equipe de France, aient été récompensées. Avec la distinction de ces deux grands joueurs, dont l’attachement à l’équipe nationale n’est plus à démontrer, c’est tout le basket français qui est mis à l’honneur. C’est un moment d’autant plus fort qu’il s’inscrit dans la perspective d’une année capitale pour notre sport avec l’organisation de l’EuroBasket 2015 en France en septembre prochain. »

Patrick Beesley, Directeur Technique National : « Tony Parker prouve année après année que c’est un des meilleurs joueurs du monde et je suis très content que le talent de Boris Diaw éclate au grand jour à l’issue d’une saison absolument exceptionnelle. Ce qui me réjouit encore plus, c’est de penser au chemin parcouru par ces deux joueurs depuis leurs jeunes années passées ensemble au Centre Fédéral jusqu’aux sommets du basket international. Ce sont les meilleurs exemples de la qualité de la formation mise en place par la Fédération, et de merveilleux ambassadeurs pour le basket français. »

Tony Parker

Age : 32 ans
Poste : Meneur
Club : San Antonio Spurs (NBA)
Titre 2014 : Champion NBA
Récompense individuelle 2014 : All Star NBA et meilleur joueur européen FIBA Europe

Boris Diaw :
Age :
32 ans
Poste : Intérieur
Club : San Antonio Spurs (NBA)
Titre 2014 : Champion NBA et médaille de bronze à la Coupe du Monde FIBA
Récompense individuelle 2014 : troisième meilleur joueur européen FIBA Europe

Voir le classement complet.

Surtitre: 
Equipe de France masculine
Auteur: 
Guillaume Karli (FFBB)
Date d’écriture: 
Mercredi, 28. Janvier 2015
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
La FIBA Europe a dévoilé ce mercredi 28 janvier le résultat de l’élection du meilleur joueur européen de l’année 2014 et pour la première fois deux joueurs français montent sur le podium. Après le vote des fans et d’un collège d’experts, Tony Parker (Champion NBA 2014) obtient son deuxième titre consécutif de meilleur joueur européen, Boris Diaw quant à lui (Champion NBA et médaille de bronze à la Coupe du Monde 2014), monte sur la troisième marche. Milos Teodosic (vice-champion du Monde 2014 avec la Serbie) complète le podium en prenant la deuxième place.
crédit: 
Press Sport/hahn - Bellenger/IS/FFBB

"J’ai connu le basket féminin avant le basket masculin"

Corps: 
Fils d'Elizabeth Riffiod, c'est donc naturellement que Boris Diaw a accepté d'être ambassadeur des 24h du Sport féminin. "Quand j’étais petit, j’ai suivi ma mère un peu partout sur les parquets. J’ai connu le basket féminin avant le basket masculin" souligne Boris Diaw.
 
Il porte également un regard interressé sur la présence dans le staff des Spurs de Becky Hammon : "Elle a été prises pour ses qualités et pas en fonction de son sexe."
 
Enfin, BaBac est revenu sur les prochaines actions de son association Babac'Ards qui doit notamment participer prochainement à la création d'un centre de formation pour des jeunes filles au Sénégal.
 
Pour rappel à l'occasion des 24h du Sport Féminin qui se dérouleront ce samedi :
- le match de LFBLattes-Montpellier - Basket Landes sera diffusé à 19h00 sur Sport +
- le match de LF2Centre Fédéral - Limoges ABC sera à suivre à partir de 17h00 sur INSEP TV
 
 
 
 
Surtitre: 
24h du sport féminin
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin
Date d’écriture: 
Jeudi, 22. Janvier 2015
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Ambassadeur des 24h du sport féminin, le capitaine de l'Equipe de France, Boris Diaw a expliqué hier soir, à l'occasion d'une conférence de presse téléphonique, les raisons de son engagement pour cet évènement.
crédit: 
Tony Voisin/FFBB

Séraphin et Washington gâchent la fête des Spurs

Corps: 
"Je l'admets, je suis un fan des Bulls (de Chicago). Mais je dois dire qu'il est difficile de ne pas aimer les Spurs", a déclaré M. Obama, grand amateur de basket-ball, en recevant Tim Duncan et ses coéquipiers.
 
"Tout d'abord, ils sont vieux. Cela me fait du bien de voir que des gars d'un âge avancé peuvent encore réussir dans un sport de jeunes", a poursuivi, tout sourire, M. Obama.
 
"Mais c'est aussi une équipe très internationale", a-t-il ajouté à propos de cette équipe qui compte dans ses rangs des joueurs originaires de France (Tony Parker et Boris Diaw), mais aussi d'Australie, d'Italie, d'Argentine ou encore du Brésil.
 
"C'est les Nations unies du basket-ball. Cela montre à quel point ce sport fantastique est devenu international", a ajoute le président américain, avant d'évoquer l'incroyable saison régulière 2013-14 des Spurs, conclue avec 62 victoires et 20 défaites, avant une démonstration en finale contre le double tenant du titre, Miami.
 
M. Obama a ensuite souhaité bonne bonne chance à la star française Tony Parker et à ses coéquipiers. Actuellement septièmes de la conférence Ouest, les Spurs ont connu un début de saison difficile.
 
"Je vais vous dire un truc: si vous avez besoin de conseils pour enchaîner deux titres consécutifs, vous savez où me trouver", a ajouté M. Obama, élu en 2008 puis réélu en 2012.
 
Les Spurs ont ensuite remis à M. Obama un maillot de leur équipe frappé du numéro 1, ainsi qu'un ballon dédicacé, avant de poser avec le président pour la photographie officielle.
 
Après son moment convivial, les Spurs ont souffert sur le parquet du Verizon Center où les prestations des Frenchies des Spurs Tony Parker (14 points, 2 passes en 31') et Boris Diaw (8 points, 2 rebonds, 3 passes en 18') ont été éclipsé par le passage décisif de Kevin Séraphin (17 points et 8 rebonds en 20') dans le Money Time portant son équipe à la victoire 101-93.
 
Un autre français s'est illustré cette nuit, Rudy Gobert qui a réalisé son meilleur match en carrière en compilant 16 points, 11 rebonds, 4 passes et 3 contres en 32 minutes, mais cela n'a pas suffi le Jazz s'est incliné 105-116 face à Golden State.
Surtitre: 
Français de NBA
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin avec AFP
Date d’écriture: 
Mercredi, 14. Janvier 2015
Vignette: 
Chapeau: 
Le président Barack Obama a reçu lundi à la Maison Blanche l'équipe des San Antonio Spurs pour célébrer leur titre de champions NBA 2013-2014. Mais cette nuit, Kévin Séraphin et les Wizards ont battu les champions en titre 101-93.

Tillie démarre bien l'année

Corps: 
NBA
Nicolas Batum (Portland) : 16 points, 4 rebonds, 3 passes, 1 contre en 37 minutes (défaite 107-115 contre Atlanta)
Boris Diaw (San Antonio) : 14 points, 7/8 aux tirs, 3 passes en 25 minutes (victoire 101-92 contre Washington)
Rudy Gobert (Utah) : 13 points, 5/7 aux tirs, 11 rebonds, 1 passe, 6 contres en 31 minutes (victoire 101-89 contre Minnesota)
Kevin Seraphin (Washington) : 9 points, 4/8 aux tirs, 4 rebonds, 1 passe, 1 contre en 16 minutes (défaite 92-101 contre San Antonio)
Evan Fournier (Orlando) : 9 points, 4/15 aux tirs, 5 rebonds, 1 passe, 1 interception en 28 minutes (victoire 98-90 contre Charlotte)
Joakim Noah (Chicago) : 8 points, 3/10 aux tirs, 12 rebonds, 6 passes, 3 interceptions en 36 minutes (victoire 109-104 contre Boston)
Alexis Ajinça (New Orleans) : 6 points, 3/7 aux tirs, 9 rebonds, 1 passe en 16 minutes (victoire 111-83 contre Houston)
Ian Mahinmi (Indiana) : Blessé, il n'a pas joué (défaite 87-88 contre LA Lakers)
Tony Parker (San Antonio) : Blessé, il n'a pas joué (victoire 101-92 contre Washington)
Damien Inglis (Milwaukee) : Blessé, il n'a pas joué (victoire 95-82 contre New York)
 
Espagne - Liga ACB
Kim Tillie (Vitoria) : 15 points, 6/8 aux tirs, 7 rebonds, 2 passes en 18 minutes (victoire 94-59 contre Estudiantes Madrid)
Fabien Causeur (Vitoria) : 7 points, 3/5 aux tirs, 6 passes en 19 minutes (victoire 94-59 contre Estudiantes Madrid)
Edwin Jackson (Barcelone) : 5 points, 2/3 aux tirs en 16 minutes (défaite 67-73 contre Bilbao)
Tariq Kirksay (Badalone) : n'a pas joué (victoire 85-65 contre Fuenlabrada)
 
Russie - EuroLeague Top 16
Nando De Colo (CSKA Moscou) : 10 points, 3/7 aux tirs, 5 rebonds, 1 passe en 23 minutes (victoire 84-81 a.p. contre Fenerbahce Ulker)
 
Russie - VTB League
Joffrey Lauvergne (Khimki Moscou) : 6 points, 2/4 aux tirs, 5 rebonds, 2 passes en 19 minutes (victoire 94-82 contre Nymburk)
 
Serbie - Ligue Adriatique
Boris Dallo (Partizan Belgrade) : 8 points, 4/8 aux tirs, 4 rebonds, 2 passes en 15 minutes (victoire 76-64 contre Cedevita Zagreb)
 
Turquie - Euroleague
Thomas Heurtel (Efes Pilsen Istanbul) : 0 point, 0/3 aux tirs, 1 rebond en 15 minutes (victoire 72-67 contre Vitoria)
 
Pologne
Aaron Cel (Stelmet ZG) : 11 points, 5/9 aux tirs, 5 rebonds, 1 passe en 25 minutes (victoire 103-75 contre Starogard Gdansk)
 
Italie - Lega A
Yakhouba Diawara (Varese) : 8 points, 3/11 aux tirs, 5 rebonds, 2 passes en 37 minutes (défaite 67-71 contre Pistoia)
 
Grèce - Esake
Guy-Marc Michel (Dramas) : 4 points, 2/2 aux tirs, 3 rebonds, 2 contres en 16 minutes (victoire 79-78 contre Kifisia)
Surtitre: 
Français de l'Etranger
Date d’écriture: 
Lundi, 5. Janvier 2015
Vignette: 
Chapeau: 
Après s'être incliné en Euroleague face au nouveau club de Thomas Heurtel, l'Efes Pilsen Istanbul, Vitoria et Kim Tillie n'ont pas tardé à réagir. En championnat, les Basques se sont facilement défaits de l'Estudiantes Madrid (94-59) et l'intérieur français en a bien profité (15 points, 7 rebonds en 18 minutes). Autre satisfaction, de ce début d'année, l'efficacité retrouvée du trio Batum-Diaw-Gobert en NBA.
crédit: 
ACB

Bonne année 2015

Corps: 

Voici les 3 résolutions à tenir en 2015 :

- Résolution n°1 : Soutenir l'Equipe de France #Ensemble défendons notre titre

- Résolution n°2 : Acheter vos places pour l'EuroBasket 2015

- Résolution n°3 : Jouer à BasketQuizz

 

 ffbbvoeux2015_bd.mov

Surtitre: 
Voeux
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin
Date d’écriture: 
Jeudi, 1. Janvier 2015
Vignette: 
Chapeau: 
La Fédération Française de BasketBall a le plaisir de vous présenter ses meilleurs voeux pour cette nouvelle année. Avec les l'EuroBasket masculin en France, en 2015... rêvons plus loin.

Tony Parker is back

Corps: 
Les champions NBA en titre ont dominé les Clippers pour compter jusqu'à 17 points d'avance, avant de se faire une petite frayeur en fin de rencontre en laissant leurs adversaires revenir à trois longueurs.
 
Mais l'équipe de Greg Popovich, dans sa meilleure configuration avec Parker qui avait manqué huit des neuf derniers matches à cause d'une contracture à la cuisse gauche, était bien trop forte pour les Clippers.
 
Elle a stoppé une série de quatre revers de suite, inédite pour elle depuis mars 2011 et signé sa 18e victoire de la saison pour onze défaites (7e à l'Ouest).
 
La blessure à la cuisse gauche qui empoisonnait Tony Parker  depuis trois semaines, ne semble plus qu'un mauvais souvenir: pour son premier match depuis le 12 décembre, il a terminé meilleur réalisateur de la soirée avec 26 points et 11 sur 18 au tir. Coïncidence ou non, le retour de "TP" a permis aux Spurs de mettre à une série de quatre défaites, ce que la franchise texane n'avait plus connu depuis mars 2011.
 
Boris Diaw a lui aussi été déterminant avec ses 23 points, trois passes et six rebonds. Mais sa meilleure soirée de la saison a failli mal se finir à cause de trois lancers francs ratés en fin de match alors que les Clippers étaient revenus à trois points.
 
A signaler également les 16 rebonds captés, nouveau record personnel par Rudy Gobert, lors de la victoire d'Utah à Memphis (97-91).
 
Enfin Nicolas Batum et Portland n'ont rien pu faire pour stopper un James Harden de feu (44 points, 14/26 aux tirs, 7 passes, 3 rebonds, et 5 interceptions). Victoire 110-95 pour Houston.
Surtitre: 
Français de NBA
Date d’écriture: 
Mardi, 23. Décembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Les San Antonio Spurs ont renoué, après quatre défaites consécutives, avec la victoire lundi face aux Los Angeles Clippers (125-118) malmenés notamment par Tony Parker, auteur de 26 points pour son retour de blessure.
crédit: 
Presse Sports/Hahn

Les Spurs tombent après trois prolongations

Corps: 

"C'était un mauvais shoot, je suis déçu d'avoir pris cette décision", a déclaré Manu Ginobili (21 pts, 35% de réussite, 8 rbds, 8 passes) après la défaite de San Antonio devant Memphis (117-116 a.p.). La star argentine des Spurs a tenté, et raté, un tir à trois points à trois secondes de la fin de la 3e période de prolongation. Un panier à deux points aurait offert la victoire à son équipe. Il avait déjà raté un panier capital à l'ultime seconde de la première prolongation. Pour sa part Boris Diaw n'a pas ménagé sa peine et a ajouté 17 points (5/15 aux tirs), 13 rebonds et 5 passes en 39 minutes.

Les Grizzlies continuent de surprendre après cette 21e victoire pour quatre défaites: ils sont 2e de la très relevée conférence Ouest. En revanche les Spurs ont perdu cette nuit un deuxième match de suite, le quatrième en sept rencontres, au terme d'un final retentissant avec un sensationnel duel d'adresse à trois points remporté par Memphis et Marc Gasol.

Dans les autres rencontres de la soirée, on notera que les 13 points, 4 passes et 2 rebonds d'Evan Fournier n'ont pas permis au Magic d'Orlando de s'imposer face à Boston (109-92). En revanche, les Jazz de Rudy Gobert (6 points, 9 rebonds en 19 minutes) ont battu le Heat de Miami (105-87) malgré les 42 points Dwayne Wade.

Enfin, Portland et Nicolas Batum (8 points, 6 passes, 6 rebonds en 36 minutes) se sont imposés 104-97 face à Milwaukee.

 

Surtitre: 
Français de NBA
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin avec AFP
Date d’écriture: 
Jeudi, 18. Décembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Les Spurs, pourtant privés de Tony Parker et Kawhi Leonard, ont vendu chèrement leur peau cette nuit face aux Memphis Grizzlies. Marc Gasol et ses partenaires ont fini par avoir raison du champion au terme de trois prolongations (117-116).
crédit: 
Presse Sports/Hahn

5 Français nominés

Corps: 
Dans la catégorie masculine, on retrouve deux joueurs Français Tony Parker, élu en 2013 et le capitaine tricolore Boris Diaw. 
Pour voter pour Tony ou Boris cliquez ici 
 
Dans la catégorie féminine, Céline Dumerc et Sandrine Gruda ont été désignées.
Pour voter Céline ou Sandrine cliquez ici
 
Chez les jeunes, Olivia Epoupa, MVP de l'Euro U20, est la seule représente tricolore
Pour voter pour Olivia cliquez ici 
 
Surtitre: 
Joueur européen de l'année FIBA Europe
Date d’écriture: 
Mardi, 16. Décembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
La FIBA Europe a dévoilé hier la liste des nominés au titre de meilleur joueur européen de l'année 2014. Boris Diaw, Tony Parker, Céline Dumerc, Sandrine Gruda et Olivia Epoupa sont les cinq représentants tricolores. A vous de voter

Le Portland de Batum plus fort que les Spurs de Diaw

Corps: 
En l'absence de Tony Parker, les Spurs se sont inclinés 95-108 face à Portland. Si Batum n'a pas vraiment brillé dans cette rencontre (7 points, 6 passes en 34 minutes), la Franchise de l'Oregon a pu compter sur son duo star Aldridge-Lillard pour faire la différence et enregistrer sa 19 e victoire de la saison.
 
Côté Spurs, on notera la bonne prestation de Boris Diaw dans le sillage d'un Leonard bien inspiré.
 
Dans les autres rencontres de la nuit, Evan Fournier est le seul à avoir évolué sur les parquets. Orlando s'est incliné 82 à 95 face aux Raptors malgré une ligne de stats correcte pour le joueur français (11 points, 2 passes et 3 rebonds en 30 minutes). 
Surtitre: 
Français de NBA
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin
Date d’écriture: 
Mardi, 16. Décembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Toujours privé de Parker, cette nuit les Spurs ont chuté face à Portland et Nicolas Batum malgré un bon Boris Diaw.
crédit: 
Presse Sports/Hahn

Boris Diaw en a rêvé et vous ?

Corps: 

Surtitre: 
Equipe de France masculine
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin
Date d’écriture: 
Mardi, 9. Décembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Pas 5, pas 12, mais des millions : #Ensemble défendons notre titre ! Championne d'Europe en titre, la France défendra son statut à l'EuroBasket 2015 qui se déroulera en France du 5 au 20 septembre.

Votez Boris Diaw

Corps: 

Malgré de nombreux blessés, Boris Diaw, le capitaine, annonce que la France vise une médaille lors de la Coupe du monde en Espagne. Passé le premier tour, les Bleus s'imposent face à la Croatie, en huitièmes, et retrouvent l'Espagne, grande favorite. Grâce à une grande prestation défensive, la France réalise l'exploit et passe en demi-finale. Face à la Serbie, l'équipe s'incline (85-89). Elle réussit néanmoins à battre la Lituanie lors de la petite finale, pour la première médaille de son histoire.

« Quelle merveilleuse année pour le capitaine des Bleus ! Dans la foulée de son titre NBA avec les Spurs de San Antonio, Diaw a vécu l’une de ses plus belles compétitions internationales. Au fil d’une Coupe du monde où il n’a cessé de monter en puissance, l’intérieur français s’est imposé comme le pilier des Bleus. En l’absence de Tony Parker ou de Joakim Noah, il a su porter ses partenaires jusqu’en demi-finale après une victoire historique face à l’Espagne. On le savait altruiste, sans doute trop, on l’a découvert entreprenant et leader incontesté sur le parquet. À 32 ans, Il regrettera évidemment de n’avoir pu retrouver les États-Unis en finale, mais savourera longtemps la médaille de bronze, un exploit inédit dans l’histoire du basket français. » François Laurens, journaliste à Infosport+
 
Surtitre: 
Sportif de l'année
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin
Date d’écriture: 
Vendredi, 5. Décembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Après Céline Dumerc en 2012, l'Equipe de France masculine en 2013, Radio France a nominé cette année Boris Diaw pour le titre de Sportif de l'année 2014 parmi les 15 sportifs ou équipes sélectionnés. A vous de voter avant le 31 décembre pour désigner votre sportif français de l'année.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB

Patrick Beesley a rencontré Boris Diaw et Tony Parker

Corps: 
Patrick Beesley a profité de sa rencontre avec Tony Parker et Boris Diaw pour évoquer la préparation de la campagne de l’été prochain et les problématiques de calendrier. Le DTN leur a également remis à cette occasion le DVD Canal+ "Historique" de la campagne de la Coupe du Monde.
 
Après ce premier match, les fans tricolores iront aujourd'hui et le dimanche au mythique Madison Square Garden pour assister à deux nouvelles rencontre de NBA, l'occasion pour eux de voir les Cleveland Cavaliers de Lebron James et les Portland Trail Blazers de Nicolas Batum. Une expérience unique dans la "Big Apple"
Suite du programme :
- New York Knicks V Cleveland Cavaliers le 4 décembre 
- New York Knicks V Portland Trail Blazers le 7 décembre
 
 
Surtitre: 
Voyage aux Etats-Unis
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin
Date d’écriture: 
Jeudi, 4. Décembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Le Directeur Technique National de la FFBB, Patrick Beesley, a profité du voyage à New York organisé par la FFBB et l'agence Gate One, pour rencontrer les Frenchies de NBA. Cette nuit, le groupe d'une vingtaine de supporters français ont assisté à la victoire de Brooklyn face à San Antonio au Barclays Center.
crédit: 
FFBB

Fin de série pour les Spurs et les Sixers

Corps: 
Les Spurs se sont inclinés 95 à 93 après prolongation alors qu'ils avaient remporté neuf de leurs dix précédents matches. Tim Duncan a pourtant marqué 14 points et surtout fait 17 passes décisives, mais les champions NBA en titre ont manqué de précision (35,6% de réussite au tir, 37,5% à trois points). Les Français ont été plutôt discret : Boris Diaw (0 point, 3 passes, 2 rebonds en 22 minutes) et Tony Parker (9 points, 6 passes en 29 minutes).
 
Le Jazz de Rudy Gobert (6 points et 7 rebonds en 13 minutes) et le Magic d'Evan Fournier (9 points, 2 passes et 1 rebond en 22 minutes) se sont respectivement inclinés face à Toronto (104-123) et les Los Angeles Clippers (84-114)
 
En revanche tout va bien pour le pivot francais des Chicago Bulls, Joakim Noah, qui a réussi son 5e double-double de la saison, le 176e de sa carrière avec 14 points, dix rebonds et sept passes décisives face aux Charlotte Hornets 102-95. Les Bulls sont 4e de la conférence Est (12 v-7 d).
 
Kevin Seraphin a participé au succès de Washington face aux Los Angeles Lakers (111-95) en inscrivant 4 points et en captant 1 rebonds en 14 minutes.
 
Enfin, Philadelphie a évité de rentrer dans l'histoire de la NBA par la mauvaise porte: en cas de défaite contre Minnesota, les Sixers auraient concédé une 18e défaite de suite, synonyme de pire début de saison de l'histoire. Mais ils se sont révoltés contre les Timberwolves de Ronny Turiaf (blessé, il n'a pas joué) qu'ils ont battus dans leur salle 85 à 77.
 
Surtitre: 
Français de NBA
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin avec AFP
Date d’écriture: 
Jeudi, 4. Décembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
La série de huit victoires consécutives de San Antonio a pris fin cette nuit à Brooklyn. Philadelphie a signé sa première victoire de la saison après 17 défaites.
crédit: 
Presse Sports

Parker assure et les "frenchies" se montrent

Corps: 

Dans ce large succès, le meneur français des champions NBA en titre a suivi la dernière période du banc, tout comme son compatriote Boris Diaw qui a fini la rencontre avec 13 points et 9 rebonds en 26 minutes de jeu.

Pour la troisième fois de la saison, "TP" a inscrit 28 points en une soirée, mais sa prestation de cette nuit est sans conteste sa meilleure de la saison avec une réussite de 12 sur 18 au tir, dont un 100% à trois points. Le meneur français des Spurs a marqué 13 points dans le premier quart-temps et 10 dans le 2e, avant de suivre la suite de la rencontre depuis le banc. Fait inédit depuis ses débuts en NBA, Parker est en tête du classement des meilleurs shooteurs à trois points avec 68,4% de réussite.

Suite à ce succès face à la formation de Ronny Turiaf (blessé il n'a pas particpé à la rencontre), les Spurs ont remporté six de leurs sept derniers matches pour un bilan global de huit victoires pour quatre revers.

Deux autres Français se sont retrouvés face à face, Nicolas Batum et Joakim Noah, lors du duel entre Portland et Chicago (105-87). Batum, touché à un genou il y a dix jours, faisait son retour après quatre matches d'absence (9 pts, 3 rbds) et n'a pas manqué son début de match à la différence des Bulls distancés de 15 points après dix minutes de jeu. Noah a terminé avec 7 pts et 2 rbds.

L'autre Français du jour, Kevin Séraphin. L'intérieur des Washington Wizards a marqué 12 points contre Cleveland, tous durant le 2e quart-temps. Il a également capté six rebonds et réussi trois contres en 23 minutes de jeu, sa plus longue mise à contribution de la saison. 45,4% est Le pourcentage de victoires des Cleveland Cavaliers terrassés par les Washington Wizards 98 à 71. C'est la première fois depuis 2007 qu'après dix matches, LeBron James évolue dans une équipe avec un bilan négatif (5 v-6 d).

Dans les autres rencontres de la soirée on notera la victoire du Magic d'Orlando 105 à 100 face à Charlotte avec un Evan Fournier qui termine meilleur marqueur de son équipe avec 21 points (7/12 aux tirs) auquels il a ajouté 1 rebond, 1 passe en 33 minutes.

Intonisé dans le 5 de départ des Pelicans, Ajinça en a profité pour se montrer (12 points, 3/4 aux tirs, 8 rebonds en 21 minutes) mais son équipe s'est incliné face à Denver (117-97). Défaite également pour le Jazz d'un Rudy Gobert pourtant efficace (12 points, 6/7 aux tirs, 5 rebonds, 1 passe, 2 interceptions et 2 contres en 18 minutes) face à Golden State 101-88.

Surtitre: 
Français de NBA
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin avec AFP
Date d’écriture: 
Samedi, 22. Novembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Après Boris Diaw face à Cleveland c'est Tony Parker qui s'est illustré avec 28 points en 25 minutes de jeu. Le meneur tricolore a conduit les San Antonio Spurs à leur plus large victoire de la saison (121-92) sur le parquet des Minnesota Timberwolves de son ami Ronny Turiaf.
crédit: 
Presse Sports

Diaw se sublime face au King

Corps: 
 
Les retrouvailles entre "King James" et les champions NBA 2014 ont eu un goût de déjà vu pour la star de Cleveland, revenu cet été dans l'Ohio après quatre années et deux titres à Miami.
 
Mais cette fois, son équipe n'a pas été outrageusement dominée par San Antonio, comme Miami l'avait été lors des trois derniers matches de la finale 2014.
 
Les Cavaliers ont même compté jusqu'à 11 points d'avance dans le 2e quart-temps (47-36), avant de subir le réveil des Spurs, en particulier de Boris Diaw.
 
L'international français, présenté par son entraîneur Gregg Popovich comme la clef du titre 2014 grâce à sa polyvalence, a fini la rencontre avec 19 points, 6 rebonds, 7 passes et trois interceptions, soit sa meilleure sortie de la saison.
 
Pendant que Tony Parker avait sur le dos Kyrie Irving et se contentait de 8 points (2 sur 7 aux tirs) et 3 passes, Diaw faisait la différence avec Tim Duncan (19 pts, 10 rbds) et Kawhi Leonard (12 pts, 10 rbds).
 
Mais le héros malheureux de ce premier duel entre Spurs et Cavaliers, présentés en début de saison comme la probable finale 2015, était bien LeBron James.
 
A 92-90 et à dix secondes de la sirène, son équipe avait la dernière possession de balle et pouvait égaliser, voire gagner, mais le quadruple MVP, gêné par Manu Ginobili, s'est emmêlé les pinceaux et a perdu le ballon et la rencontre.
 
"C'est de ma faute, mais je suis satisfait du déroulement de ce match. Bien sûr je déteste perdre, mais ce match a montré nos progrès", a souligné James qui a terminé la rencontre avec 15 points et 6 sur 17 aux tirs.
 
Les Cavaliers ont concédé leur cinquième défaite, la 2e à domicile, et pointent à la 5e place de la conférence Est, quand les Spurs sont désormais 6e à l'Ouest avec sept victoires et quatre défaites.
 
"On a besoin de gagner, ce n'est pas comme si on dominait tout le monde en ce moment, c'est une victoire importante", a assuré Ginobili.
 
Dans les autres matches de la nuit, d'autres français se sont illustrés à l'image de Ian Mahinmi auteur de 5 points, 7 rebonds et 1 passe en 18 minutes lors de la victoire d'Indiana face à Charlotte (88-86). Face aux Mavericks (défaite 105-102), Kevin Seraphin a été peu utilisé (2 points, 2 rebonds, 1 passe en 11 minutes).
 
Evan Fournier a été ménagé par son coach lors de la défaite d'Orlando face aux Clippers (114-90). Toujours blessé, Ronny Turiaf n'a pas pris part à la victoire (115-99) de Minnesota face à New York.
Surtitre: 
Français de NBA
Date d’écriture: 
Jeudi, 20. Novembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Les San Antonio Spurs, emmenés par Boris Diaw impérial (19 points, 6 rebonds, 7 passes), ont une nouvelle fois contrarié LeBron James, désormais à Cleveland (92-90), cinq mois après leur démonstration en finale NBA face à Miami.
crédit: 
Presse Sports/Hahn

Joker récompensé

Corps: 

Le logo de la boisson est porté sur le maillot des joueurs de l'équipe de France. La campagne est déclinée en événements dans les clubs, opérations commerciales en point de vente et animations lors des matchs.

Plus d'infos sur le Palmares du Grand Prix Stratégies du Sport 2014

Surtitre: 
Grand Prix Stratégies du Sport 2014
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin
Date d’écriture: 
Mercredi, 19. Novembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Le partenaire de la FFBB, Joker et son agence Sport Five ont été distingué pour leur communication autour de l'Equipe de France lors du Grand Prix Stratégies du Sport 2014.

Parker et Diaw ont reçu leur bague

Corps: 

Quatre mois après le cinquième sacre de leur histoire, les Spurs ont débuté la soirée par une cérémonie où joueurs et entraîneurs ont reçu la traditionnelle chevalière remis à chaque champion NBA. "C'est toujours beaucoup d'émotion de recevoir la bague de champion, c'était vraiment la dernière fois où on pouvait célébrer la fantastique saison réussie l'an dernier", a admet Tony ParkerCette cérémonie, mais aussi les absences de Kawhi Leonard, MVP de la finale 2014 victime d'une infection oculaire et de Tiago Splitter peuvent expliquer les difficultés des Spurs à venir à bout des Dallas Mavericks, équipe qui leur avait causé bien des problèmes au premier tour des play-offs. "L'exécution n'a pas été bonne, mais notre état d'esprit combatif a fait la différence", a apprécié Popovich, dépité tout de même par les 20 pertes de ballon. Menés 53 à 45 à la pause, les Spurs ont repris l'ascendant dans le troisième quart-temps avant de laisser les Mavericks revenir dans le match en dernière période. Dallas, emmené par l'inusable Dirk Nowitzki (16 pts), menait de deux points à une minute de la sirène, avant que Parker ne réussisse un panier à trois points décisif. Il termine avec 23 points, 3 rebonds, 3 passes en 35 minutes, tandis que son compère Boris Diaw totalise 5 points, 9 rebonds et 6 passes en 33 minutes.

 

You all wanted to see it, so happy to get that ring tonight. Lets get another one now!!! #gospursgo

Une photo publiée par Borisdiaw (@diawboris) le

 

Dans les autres rencontres, le duel entre le Magic d'Evan Fournier et les Pelicans d'Alexis Ajinça a tourné à l'avantage de l'intérieur français. Malgré un très bon Evan Fournier qui a débuté dans le cinq (11 points, 3 rebonds, 2 passes en 32 minutes), New Orleans l'emporte 101-84. Alexis Ajinça a joué 2 minutes pour 2 points.

Surtitre: 
Français de NBA
Auteur: 
Kévin Bosi (FFBB) avec AFP
Date d’écriture: 
Mercredi, 29. Octobre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
La NBA reprenait la nuit dernière par sa traditionnelle remise de bague. Les Spurs de Tony Parker et Boris Diaw ont donc reçu la leur avant la rencontre face à Dallas, remportée dans la douleur (101-100).

Une expérience basket unique à New York

Corps: 
Fantastique programme à New York avec : 
 
- Brooklyn Nets V San Antonio Spurs le 3 décembre
 
- New York Knicks V Cleveland Cavaliers le 4 décembre 
 
- New York Knicks V Portland Trail Blazers le 7 décembre
 
Vous pourrez ainsi décourvir la « Big Apple », profiter à cette période de l’ouverture des soldes à New York, et vivre la NBA au mythique Madison Square Garden (New-York Knicks) et au Barclays Center (Brooklyn Nets).
 
Surtitre: 
Voyages supporters
Date d’écriture: 
Lundi, 6. Octobre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Après le succès du séjour organisé en février dernier pour 40 supporters, la FFBB vous propose deux nouveaux séjours de 3 (2 au 5/12) ou 6 nuits (2 au 8/12) pour assister à 2 ou 3 matches NBA à New York, incluant les Spurs de Tony Parker et Boris Diaw, Champions NBA 2014, les Cavaliers de LeBron James, et les Trail Blazers de Nicolas Batum.

Une médaille historique

Corps: 
Les absences, les blessures, la fatigue, rien n’aura empêché l’Equipe de France d’aller au bout de son rêve et de remporter la médaille de bronze à la Coupe du Monde. Un résultat exceptionnel qui permet aux Bleus de confirmer leur statut de géants du Monde du basket après l’argent à l’Euro 2011 et l’or à l’Euro 2013. La victoire est d’autant plus spectaculaire que les circonstances n’étaient pas favorables aux Tricolores. Plusieurs d’entre-eux n’ont pas fermé l’œil avant 4h00 du matin et les physiques étaient particulièrement éprouvés avant ce dernier match.
 
Après une première mi-temps équilibrée (42-43) marquée par l’écrasante domination de la Lituanie au rebond, la France a frisé la rupture en fin de troisième quart-temps lorsque Seibutis et Pocius ont commencé à régler la mire de loin (61-69). Mais il était écrit que cette équipe ne quitterait pas l’Espagne les mains vides. "Cette médaille on a été la chercher au mental", se réjouissait Antoine Diot en zone mixte. "Ce qu’on a fait lors de cette compétition est exceptionnel et si nous avons la médaille de bronze autour du cou, ce groupe est vraiment composé de mecs en or. Les jambes n’étaient plus là et la solidarité a beaucoup joué. Si nous nous étions désunis, nous en aurions pris une bonne ce soir."
 
En grand danger, la France a pu compter sur ses cadres pour la ramener à la vie. Nicolas Batum tout d’abord (27 points). Après son festival de loin en demi-finale, l’ailier des Blazers est cette fois allé chercher la plupart de ses points près du cercle ou aux lancers-francs. Boris Diaw ensuite, auteur notamment de deux mouvements techniquement sublimes aux moments les plus chauds. "Boris a fait le travail d’un capitaine et quand il y a eu des shoots importants à prendre, il les a pris", souriait Antoine Diot.


 
Et dans une dernière minute interminable transformée en concours de lancers-francs, les Bleus n’ont pas tremblé à l’image de Thomas Heurtel, insolent d’audace dans les derniers instants et froid comme une lame sur la ligne malgré un 0/2 qui aurait pu semer le doute dans son esprit. "Quatrième c’est la place du con donc bien évidemment que j’ai eu peur. La fin du match a été tellement longue, ça a dû durer une demi-heure", glissait un Joffrey Lauvergne dont la présence au rebond avec Florent Pietrus a pesé lourd dans la balance.
 
A 32 ans, le capitaine Boris Diaw a mené l’Equipe de France à la conquête d’un nouveau podium. C’est sa quatrième médaille remportée avec les Bleus et la première sans le leader incontestable du basket français, Tony Parker. "Cette médaille a beaucoup de valeur. Ça n’a jamais été fait et nous sommes conscients du caractère historique de la chose", a-t-il déclaré. "Nous avons développé une culture de la gagne depuis une dizaine d’années qui nous sert aujourd’hui. Ce ne sont pas des individualités mais un groupe France qui progresse d’année en année. Même si des joueurs changent. Et c’est l’histoire d’une équipe nationale."
 
Symbole de cette nouvelle génération qui, associée à l’ancienne, a mené la France au sommet, Nicolas Batum, jamais rassasié, se projetait déjà vers demain : "On poursuit notre histoire et je pense que l’année prochaine peut être une apothéose." En attendant, le basket français savoure.
Surtitre: 
Coupe du Monde FIBA 2014
Auteur: 
Julien Guérineau (à Madrid)
Date d’écriture: 
Samedi, 13. Septembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
En battant la Lituanie (95-93), l’Equipe de France a remporté la médaille de bronze de la Coupe du Monde 2014. C’est la première fois que les Bleus montent sur le podium dans cette compétition. Une juste récompense dans un tournoi où ils auront notamment éliminé l’Espagne chez elle.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB

Les Bleus veulent y croire

Corps: 
La grosse cote 
Antoine Diot : "C’est un match qu’on pense pouvoir gagner. On doit regarder la réalité en face. L’Espagne est favorite, joue à domicile, aligne la meilleure équipe de son histoire. Mais c’est un match de basket. Personnellement j’ai perdu contre l’Islande une rencontre que je n’aurais jamais dû perdre (ndlr : en 2006 en poule à l’Euro juniors conclu par la médaille d’or). On ne sait jamais ce qui peut se passer. Ils auront peut-être un peu plus de pression et on cherchera à les jouer les yeux dans les yeux. En poule les balles perdues nous ont fait très mal. Cela va être important d’imposer notre rythme parce que s’ils commencent à courir, sur l’euphorie ça s’annonce compliqué. L’Espagne c’est un rouleau compresseur qui te met la pression pendant 40 minutes."
 
La force intérieure
Florent Pietrus : "L’équipe d’Espagne sans Pau Gasol c’est une bonne équipe mais ce n’est pas la même chose. Il leur apporte beaucoup, sur le terrain et au niveau de la sérénité qu’il dégage. C’est un joueur exceptionnel qui évolue avec beaucoup de confiance. Affronter un Gasol c’est difficile. Deux c’est encore plus compliqué. Notre chance c’est qu’ils n’ont qu’un ballon ! Il faudra les sortir de leur zone de confort. Comme tous les joueurs talentueux ils n’aiment pas trop le jeu physique. Quand ils sortent Serge Ibaka rentre donc il va falloir se serrer les coudes, baisser la tête et avancer."


 
La rivalité
Joffrey Lauvergne : "Même si je suis un jeune international, je la ressens. Quand je ne jouais pas en bleu je soutenais l’Equipe de France. C’était plus une vision de supporter. Après quand tu entends les anciens en parler tu le ressens. Au niveau du public, même si ce n’est jamais méchant tu vois qu’il préférerait que tu perdes à tous les coups ! Ils soutiennent toutes les équipes qui jouent contre toi. Ce sont des choses qui me plaisent bien et qui peuvent te pousser vers l’avant."
 
Des raisons d’espérer
Boris Diaw : "La semaine dernière on ne joue pas un grand match. On peut limiter beaucoup nos erreurs. Je ne me voile pas la face, je sais qu’ils sont très forts. Si on réalise un match quasi parfait, c’est jouable. Mais on ne gagnera pas en faisant un match moyen. A la fin je veux surtout qu’on ne nourrisse pas de regrets. Il va falloir faire preuve de dureté parce que s’ils peuvent installer tranquillement leur jeu c’est là qu’ils sont à leur meilleur niveau."
 
Surtitre: 
Coupe du Monde FIBA 2014
Auteur: 
Julien Guérineau (à Grenade)
Date d’écriture: 
Mardi, 9. Septembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
L'Equipe de France affronte l'Espagne mercredi à 22h00 (en direct sur Canal + Sport) en quart de finale de la Coupe du Monde, à Madrid. Les Bleus auront eu près de quatre jours pour préparer cette rencontre au sommet et trouver des raison d'espérer face au favori pour la médaille d'or avec les Etats-Unis.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB

Objectif atteint

Corps: 
L’Equipe de France a atteint l’objectif qu’elle s’était fixée avant le début de la Coupe du Monde : atteindre les quarts de finale. Malgré des absences de marque les Bleus ont démontré qu’ils avaient de la ressource et de jeunes joueurs capables de lui assurer une place parmi le gratin de la planète basket. "Nous étions affaiblis et c’est une satisfaction d’aller en quart de finale. Mais je ne veux pas faire de bilan avant un match qui doit être un sommet", souriait Vincent Collet après la rencontre. "On va jouer contre une équipe exceptionnelle qui est à son apogée et à domicile. Mais même s’il n’existe qu’une seule chance, il faut la jouer à fond. Les jouer est un privilège. Ne le gâchons pas."

Pour obtenir le droit de défier à nouveau la Roja, les Bleus ont écarté la Croatie, candidate annoncée à une médaille. Un match pourtant bien mal engagé à la suite d’un premier quart-temps cauchemardesque, sans rythme et sans adresse, marqué par un famélique 3/19 aux tirs. "Heureusement qu’on défend. Être devant d’un point à la mi-temps en shootant à 30% ça tient du miracle", soufflait ainsi Nicolas Batum. Les Bleus ont en effet cette capacité à éteindre leurs adversaires et l’ont prouvé samedi soir. Mis à part Bogdan Bogdanovic (27 pts) et Ante Tomic (17 pts) les autres joueurs majeurs croates ont été rayés de la carte : 5 sur 34 pour le quintet Lafayette-Saric-Rudez-Ukic-Simon. Un investissement défensif symbolisé par l’envolée de Boris Diaw pour un contre digne de ses plus belles années juniors lors du premier quart-temps. Le capitaine tricolore a pourtant vécu une soirée difficile de l’autre côté du terrain mais son entraîneur ne s’en émeut guère. "On joue mieux avec lui que sans lui. Avec Boris on ne peut pas se focaliser que sur les paniers. Il fait briller les autres et a été remarquable défensivement en mettant Saric sous clé."



Rapidement, la France est parvenue à effacer son débours des dix minutes initiales (7-15) grâce notamment à l’entrée déterminante d’Evan Fournier. Le benjamin du groupe s’est révélé tranchant et tandis que Florent Pietrus donnait le ton défensivement, l’arrière du Magic alternait tir de loin et agressivité vers le cercle. "Je rate encore mes lancers-francs mais il y a du mieux. Ce soir on gagne grâce à la défense. Il va falloir construire sur ce succès. Je ne sais pas si j’ai trouvé le déclic mais j’ai essayé de mettre du rythme, c’est mon rôle en sortie de banc." Vincent Collet n’hésitera pas à l’heure de le remettre directement sur le terrain au retour des vestiaires. Une option payante puisque ses points sur contre-attaques ont enfoncé une Croatie à côté de son basket qui offrait à Nicolas Batum plusieurs occasions de martyriser les cercles du Palacio de Deportes.

Mais ces Bleus new-look ont les défauts de leurs qualités et leur "légèreté" de l’aveu même de leur coach, leur joue souvent des tours. A +16 (46-30) à la fin du troisième quart-temps quelques choix douteux remettront les Croates dans le sens de la marche. Bis repetita dans le quatrième à +9 (63-54) alors que Mickaël Gélabale semblait avoir assuré l’essentiel. Les troupes de Jasmin Repesa serviront inlassablement leur génial pivot Tomic pour se rapprocher avant que Bogdanovic de loin ne donne des sueurs froides au staff français (66-64 à 50’ du buzzer). "J’ai mis en avant deux joueurs dans le vestiaire : Thomas Heurtel et Evan Fournier", analysait Vincent Collet en conférence de presse. "Et en même temps j’ai expliqué qu’Evan, après avoir fait des choses magnifiques, a failli remettre les Croates dans le match en se précipitant sur la zone. Et Thomas, après avoir gagné le match avec deux passes magnifiques et un panier exceptionnel sur Tomic, tombe un peu dans l’euphorie. A très haut niveau il faut de l’émotion mais garder la tête froide pour gérer les possessions. Nous avons quatre jours pour franchir un cap dans ce domaine. Cela compte autant que le talent. Cela fait partie de nos faiblesses récurrentes."
Surtitre: 
Coupe du Monde FIBA 2014
Auteur: 
Julien Guérineau (à Madrid)
Date d’écriture: 
Samedi, 6. Septembre 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Les Bleus ont dominé la Croatie 69-64 en huitième de finale de la Coupe du Monde. Comme en 2006 au Japon, ils intègrent le top 8 mondial. La France va retrouver sur sa route le favori de la compétition, l’Espagne, mercredi soir à 22h00.
crédit: 
Bellenger/IS/FFBB

Boris Diaw reste à San Antonio

Corps: 

 

 

"Salut les supporteurs des Spurs, une bonne nouvelle, je vais rester à San Antonio encore plusieurs années. Gagnons le titre encore une fois #gospursgo", a tweeté Diaw.

Arrivé à San Antonio en cours d'année 2012 après s'être libéré de son contrat avec Charlotte, Diaw, 32 ans, était "free agent".

Mais le capitaine de l'équipe de France, championne d'Europe 2013, et meilleur ami de Tony Parker voulait rester à San Antonio qui, de son côté, souhaitait absolument le conserver.

Selon la chaîne CBS, Diaw aurait signé un contrat de trois ans pour un montant total de 22 millions de dollars.

Diaw a terminé la saison régulière avec des moyennes de 9,1 points, 4,1 rebonds et 2,8 passes par match.

Il a surtout été décisif lors des play-offs, en particulier en finale de conférence Ouest contre Oklahoma City et lors de la finale NBA contre Miami.

Surtitre: 
NBA
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin
Date d’écriture: 
Lundi, 7. Juillet 2014
Vignette: 
Chapeau: 
L'international français des San Antonio Spurs, Boris Diaw, a prolongé son contrat avec le champion NBA 2014. Le joueur l'a annoncé dimanche sur son compte Twitter.
crédit: 
Presse Sports/Hahn

Parker et Diaw en Une du numéro 42

Corps: 

Même le meilleur des scénaristes n'aurait pu imaginer si belle histoire. Tony Parker et Boris Diaw, les deux amis d'enfance, devenus les deux meilleurs joueurs du basket français, après avoir été champions d'Europe juniors, puis champions d'Europe, ont décroché un titre NBA, ensemble. Le quatrième pour Parker, qui rentre encore un peu plus dans la légende. Le tout au sein d'une équipe plus internationale que jamais, San Antonio.

L'autre sujet fort de ce numéro concerne les équipes de France : Valérie Garnier, pour les filles, et Vincent Collet, pour les garçons, ont dévoilé chacun leur liste à l'approche de la Coupe du Monde. Les Bleus, même sans Tony Parker, présentent un groupe ambitieux. Derrière un socle de champions d'Europe, plusieurs places sont à prendre. Décryptage.

L'un des nouveaux de la sélection de Vincent Collet est Adrien Moerman. Champion de France, l'intérieur de Limoges a réussi son retour dans l'Hexagone.

Et tous les mouvements en Pro A et Pro B, pour ne rien rater du mercato !

Où trouver Basket Hebdo ? : cliquer ici

Pour s'abonner : cliquer ici

Catégorie: 
Surtitre: 
Basket Hebdo
Auteur: 
Kévin Bosi (FFBB)
Date d’écriture: 
Mercredi, 18. Juin 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Champions NBA avec les Spurs, Tony Parker et Boris Diaw font la Une du dernier numéro de Basket Hebdo, en kiosques dès jeudi 19 juin.

La FFBB félicite Tony Parker et Boris Diaw

Corps: 

Un an après avoir vu le titre leur échapper de façon cruelle à Miami, les Texans se sont vengés en remportant les finales NBA face au Heat : 4-1. Une dernière victoire 107-84, cette nuit, après avoir été mené de 16 points, permet à San Antonio de décrocher son cinquième titre NBA. Après avoir manqué ses dix premiers tirs, Tony Parker, termine finalement avec 16 points à 7 sur 18 aux tirs. Boris Diaw, lui, aura marqué de son empreinte ces finales avec l’altruisme qui le caractérise mais également l’agressivité nécessaire notamment dans le match 3 pour faire basculer ce match décisif en faveur des Spurs (ses statistiques en finale : 6,2 points à 36%, 8,6 rebonds, 5,8 passes décisives en 35 minutes).

Après Tony Parker en 2003, 2005, 2007 et 2014 avec San Antonio, Rodrigue Beaubois et Ian Mahinmi en 2011 avec Dallas et Ronny Turiaf en 2012 avec Miami, Boris Diaw, est le 5e français à remporter un titre NBA.

Jean-Pierre SIUTAT (Président de la FFBB) : « La Fédération Française de basket et l’ensemble du basket français sont heureux et fiers de ce que viennent d’accomplir Boris Diaw et Tony Parker. Ce titre NBA, le 4e pour Tony et le 1er pour Boris est amplement mérité au regard des finales et de la formidable saison qu’ils viennent de réaliser. C’est un juste retour des choses vis-à-vis de deux joueurs emblématiques du basket français qui portent haut les couleurs de la France et qui montrent depuis tant d’années leur dévouement au basket ainsi que leur attachement au maillot Bleu. Nous leur adressons toutes nos félicitations ! »

Patrick BEESLEY (Directeur Technique National) : "Quel bonheur de voir les deux portes drapeaux du basket français réunis dans la meilleure équipe NBA, et remporter ce titre prestigieux. Depuis leurs débuts dans leur club respectif, puis en passant par l’INSEP et en Équipe de France Boris et Tony ont réalisé leurs rêves d’enfance en remportant ensemble les titres les plus prestigieux de la planète. Leur parcours et leur implication est un exemple qui doit être mis en avant. Nous sommes tellement heureux pour eux. Bravo !"

Surtitre: 
Finales NBA
Auteur: 
Service de presse
Date d’écriture: 
Lundi, 16. Juin 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Le Capitaine de l’Équipe de France de basket, Boris Diaw et son coéquipier Tony Parker ont été sacrés cette nuit Champions NBA 2014. C’est le 4e titre pour Tony Parker, et le premier pour Boris Diaw. La Fédération Française de BasketBall est heureuse et fière de la réussite sportive de ses deux joueurs internationaux qui ont connu une saison exceptionnelle après le titre de Champion d’Europe obtenu en septembre dernier avec l’Équipe de France.
crédit: 
Presse Sports/Hahn

Des bancs de l'INSEP au titre NBA

Corps: 

Adolescents à l'Insep où ils se sont rencontrés en 1998, Tony Parker et Boris Diaw rêvaient de NBA, mais ne s'imaginaient pas remporter ensemble, sous le maillot de San Antonio, le titre le plus prestigieux du basket.

Après l'excitation du titre, conquis grâce à une quatrième victoire devant Miami sur le score de 104-87 dimanche, viennent l'émotion et les souvenirs.

Parker et Diaw, nés tous les deux en 1982, ont repensé au chemin parcouru par l'un et l'autre depuis leur première rencontre dan l'équipe des cadets de l'Insep.

"Il y a 12-13 ans, on était dans notre chambre de l'Insep, on rêvait de NBA et on se retrouve dans une finale NBA ensemble et ensemble on gagne ce titre", sourit Diaw, devenu le cinquième Français champion NBA, onze ans après le premier des quatre sacres de Parker.

"Je suis content pour lui, c'est génial. Il y a seulement dix ans, c'était peu probable d'avoir deux Français titulaires dans l'équipe championne NBA", souligne "TP".

Depuis l'Insep, Parker et Diaw avaient écrit leur histoire commune en bleu, avec l'équipe de France, en juniors d'abord avec un sacre européen en 2000, puis en seniors avec une médaille de bronze au Championnat d'Europe 2005, les jeux Olympiques 2012 à Londres et la consécration lors de l'Euro-2013 en Slovénie.

Mais depuis mars 2012, "TP" et "Bobo" sont aussi coéquipiers en club: libéré sans grands égards par Charlotte, Diaw rejoint alors à San Antonio Parker qui a insisté auprès de ses dirigeants pour que son meilleur ami soit recruté.

Diaw vit les six premiers mois chez Parker, une aubaine pour se familiariser avec le système de jeu des Spurs et surtout la personnalité très complexe de Gregg Popovich.

Pour sa première saison compléte avec les Spurs, Diaw atteint la finale contre Miami, mais le Heat arrache le titre après une prolongation dans le match 6 et un match 7 à sens unique.

"Cela a nous a laissé un goût amer", reconnaît Parker, même si le sacre européen leur a permis d'oublier, un peu, cette désillusion.

Chez Diaw, cette finale 2013 perdue est un électrochoc: "En faisant le bilan de la saison, j'avais le sentiment que je n'avais pas assez aidé l'équipe et qu'il fallait être plus agressif pendant toute la saison pour avoir la confiance de toute l'équipe et du staff technique".

Plus attentif à son alimentation, Diaw a perdu du poids, ce qui n'empêche pas les observateurs de la NBA de se moquer encore régulièrement de ses "formes".

Il a surtout pris, en particulier lors des play-offs (9,4 pts, 4,6 rbds, 3,3 passes par match), ses responsabilités "en étant plus agressif".

Parker n'est pas près d'oublier lui non plus cette année 2014: il a conquis son 4e titre NBA et est devenu père d'un petit Josh en avril en début de play-offs.

"On a fait un long chemin ensemble, avec plein d'aventures en route et j'espère qu'il en reste encore plein à vivre", sourit Diaw.

Mais une fois n'est pas coutume, les deux amis ne passeront pas l'été ensemble sous le maillot de l'équipe de France.

Parker, qui a connu quelques pépins physiques cette saison (dos, cheville), a décidé de faire une pause, au grand soulagement de Popovich qui ne le voyait pas d'un bon oeil enchaîner avec l'équipe de France après une éreintante saison NBA.

Il a donc fait une croix sur la Coupe du monde 2014 en Espagne.

"C'est compréhensible, mais il nous reste encore quelques années pour gagner des titres", assure Diaw

Tony Parker : "C'est vraiment incroyable, c'est mon plus beau titre, parce qu'il y a eu la façon dont on a gagné, parce qu'il a eu la finale 2013 perdue alors qu'on avait cinq points d'avance dans le match 5 à 28 secondes de la fin, c'était vraiment cruel. Le sport, des fois, c'est dur, des fois, c'est magnifique. Ce titre est magnifique, car il montre l'état d'esprit de cette équipe: c'est fort d'affronter à nouveau en finale l'équipe devant laquelle vous avez perdu un an et de la battre."

Boris Diaw : "C'est la cerise sur la gâteau. Quand on avait 16 ans et qu'on était ensemble à l'Insep, on disait que cela serait bien qu'on joue pro. Après, on se disait que cela serait super qu'on joue en NBA. Tony y est allé, je l'ai suivi deux ans après. On se disait ensuite que cela serait super qu'on joue ensemble, encore un voeu qui s'est réalisé. Et deux ans plus tard, on gagne le titre ensemble. Il ne nous manque plus qu'une Coupe du monde et le titre olympique (rires). Je lui ai dit sur le podium qu'on pourrait refaire cela dans deux mois (en Espagne pour la Coupe du monde à laquelle Parker a décidé de ne pas participer, NDLR). Il a souri mais n'a rien répondu. Il y a encore plein d'autres titres à aller chercher ensemble."

 

Surtitre: 
Finales NBA
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin avec l'AFP
Date d’écriture: 
Lundi, 16. Juin 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Après avoir remporté de nombreux titres et de nombreuses médailles avec les Équipes de France depuis leur rencontre à l'INSEP, Boris Diaw et Tony Parker ont remporté cette nuit leur premier titre commun en club.
crédit: 
PresseSports/Hahn

Diaw, le facilitateur

Corps: 

Depuis le début des Playoffs NBA, Boris Diaw gagne en importance dans le dispositif des San Antonio Spurs, comme l'ont constaté à leurs dépens LeBron James et ses coéquipiers de Miami.

Le double champion NBA en titre, comme Oklahoma City et sa star Kevin Durant dominés en finale de conférence par San Antonio, souffre face à Diaw, impeccable en défense par son imposante présence physique comme en attaque avec sa vision du jeu.

"C'est un joueur très, très polyvalent", apprécie son entraîneur Gregg Popovich. "Certains joueurs ont des dispositions particulières et il en fait partie: il sait comment jouer, il a une vision spatiale du terrain, il sait où sont ses coéquipiers et où le ballon doit aller, il anticipe très bien".

Baladé d'un poste à l'autre selon les besoins depuis ses débuts en NBA en 2003 à Atlanta, Diaw a trouvé à 32 ans son rôle, à défaut d'un poste fixe.

"Mon rôle est d'aider le plus possible mon équipe, je suis une sorte de +facilitateur+", explique, toujours très mesuré, celui que ses coéquipiers en équipe de France surnomment "Bobo". Ses prestations contre OKC et Miami ne sont pas passées inaperçues et ont été notamment saluées par Magic Johnson, l'ancien meneur des Los Angeles Lakers.

Quand Diaw est sur le parquet face à Miami, San Antonio affiche un différentiel de points de +45.

Mais fidèle à son tempérament mesuré, l'ancien joueur d'Atlanta (2003-05), Phoenix (2005-09) et Charlotte (2009-12) refuse de penser encore au titre suprême: "Miami est une grande équipe, il faut s'attendre jeudi à une réaction", prévient-il.

Il ne manque plus que deux victoires à Diaw et à son compatriote Tony Parker pour réaliser un rêve esquissé dès leur première rencontre en 1998 à l'INSEP. "On rêvait à l'époque de NBA, on vit maintenant ce rêve ensemble. C'est incroyable de jouer avec son meilleur ami et de pouvoir viser le titre", rappelle "TP".

Ce rêve pourrait se réaliser, moins d'un an après leur plus beau souvenir ensemble, leur sacre européen en Slovénie avec l'équipe de France, et le pire aussi, la défaite en finale NBA, déjà contre Miami, après sept matches indécis.

Surtitre: 
Finales NBA
Auteur: 
Sylvain Bourdois Chupin (FFBB) avec AFP
Date d’écriture: 
Jeudi, 12. Juin 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Boris Diaw dispute actuellement les Finals NBA avec les San Antonio Spurs. Le capitaine des Bleus est la bonne surprise de ces playoffs et espère bien gagner son premier titre NBA avec son meilleur ami, Tony Parker. Les Spurs mènent la série 2-1 avant de disputer le 4e match cette nuit à Miami.

Les Spurs réagissent

Corps: 

Les San Antonio Spurs, battus à domicile dimanche, ont pris une revanche éclatante face au Miami Heat, corrigé 111 à 92 dans sa salle mardi dans le match 3 de la finale 2014. Même Gregg Popovich n'en est pas revenu: lors de deux premiers quart-temps, son équipe a rentré 75,8% de ses tirs, un record dans l'histoire d'une finale NBA. "On n'est pas prêt d'avoir à nouveau une telle réussite", a prévenu l'emblématique coach des Spurs. Non pas qu'il doute des capacités de ses joueurs, mais il est peu probable que Miami passe de sitôt complétement à côté d'un début de match comme lors de ce match 3. "On n'était pas prêt à disputer ce match", a lâché Chris Bosh, très déçu. "On ne l'a pas abordé comme on voulait l'aborder. Une fois qu'on a enclenché la bonne vitesse, cela allait beaucoup mieux, mais c'était trop tard", a tempéré son entraîneur Erik Spoelstra.
Très remontés après leur défaite dans leur salle dimanche (98-96), les Spurs ont attaqué le match pied au plancher: ils ont rapidement creusé un écart de 10 points (20-10) qui a grimpé à 16 longueurs au terme d'un premier quart-temps fleuve (41-25). L'avantage des Spurs a atteint 25 points dans le 2e quart-temps conclu sur le score impressionnant de 71-50. Le responsable de cette leçon n'est pas le "Big Three" Tim Duncan (14 pts, 6 rbds), Tony Parker (15 pts, 4 passes) et Manu Ginobili (11 pts, 3 rbds), mais des seconds rôles, comme Kawhi Leonard, Danny Green (15 pts, 3 passes) et Boris Diaw (9 pts, 5 rbds, 3 passes) qui, pour la première fois de la finale, a débuté le match.
Leonard, présenté comme la future star des Spurs, a inscrit 29 points, dont 18 lors de la première période, soit autant de points que lors des deux premiers matches. "On lui a parlé, il fallait qu'il joue comme il le faisait lors de la saison régulière où il nous a tant apporté", a reconnu Popovich. L'intéressé a refusé de céder à tout triomphalisme, même si les statistiques rappellent que le vainqueur du match 3 devient champion dans 83% des cas. "Lors de la finale 2013 (remportée 4 victoires à 3 par Miami, NDLR), nous menions aussi 2 à 1, il faut prendre les matches les uns après les autres", a souligné Leonard, très laconique.
Les Spurs confirment qu'ils sont mieux armés que le double tenant du titre grâce à des remplaçants décomplexés et productifs: "Le banc a été la clef de notre victoire, ils ont très bien répondu présent", a apprécié Parker. En face, le Heat n'a pas cette richesse et quand LeBron James n'est pas au mieux, personne, même pas Dwyane Wade (22 pts) ne surgit pour l'épauler. Le quadruple MVP a inscrit 22 points, dont seulement six après la pause. "Quand ils jouent un basket comme cela avec ces passes rapides et des joueurs toujours placés au bon endroit, c'est difficile", a constaté "King James". "Mais le score n'est que de 2-1, ce n'est pas encore 4-1", a lâché la star de Miami qui, après sa déroute personnelle et ses crampes du match 1, avait répondu avec une prestation haut de gamme lors du match 2.

Prochain match dans la nuit de jeudi à vendredi.

Surtitre: 
Français de NBA
Auteur: 
Kévin Bosi (FFBB) avec AFP
Date d’écriture: 
Mercredi, 11. Juin 2014
Vignette: 
Chapeau: 
Les San Antonio Spurs, battus à domicile dimanche, ont pris une revanche éclatante face au Miami Heat, corrigé 111 à 92 dans sa salle mardi dans le match 3 des Finales NBA.
crédit: 
(Presse Sports/Hahn)

Pages

S'abonner à RSS - Boris Diaw