Les coulisses du quart de finale
Un match d'une folle intensité, malheureusement perdu par les Tricolores (85-71). Retour en immersion sur la fin de la Coupe du Monde 2022, dans les coulisses des Bleues.
Un match d'une folle intensité, malheureusement perdu par les Tricolores (85-71). Retour en immersion sur la fin de la Coupe du Monde 2022, dans les coulisses des Bleues.
« Alain Gilles, icône du basket français, nous a quittés le 18 novembre 2014. Il a marqué de son empreinte notre sport ; il nous paraissait logique et essentiel d'honorer sa mémoire à l’heure où nos joueuses et nos joueurs évoluent dans les meilleurs championnats du Monde. »
Jean-Pierre Siutat (Président de la FFBB)
Palmarès du Trophée Alain Gilles
2021 : Nicolas Batum
2019 : Rudy Gobert
2018 : Fabien Causeur
2017 : Céline Dumerc
2016 : Nando De Colo
2015 : Nando De Colo
Plus d'infos sur le Trophée Alain Gilles
Balayées par cette même équipe en février dernier lors du tournoi de qualification à la Coupe du Monde (103-70), la France a offert un tout autre visage et sort de ce mondial la tête haute. Le début de rencontre est même plus qu’encourageant pour les joueuses de Jean-Aimé Toupane. Comme souvent depuis le début de la compétition, Gabby Williams mène les siennes offensivement et profite de nombreux ballons volés (12-6, 5’). Mais les Françaises retournent rapidement dans leurs travers et payent cash les pertes de balles et les secondes chances données aux Chinoises (15-24, 8’). Grâce à des exploits individuels signés Marine Fauthoux ou Migna Touré, auteure d’un tir un buzzer venu d’ailleurs, la France parvient à égaliser au terme d’un premier quart-temps palpitant. Le rythme effréné imposé pas les Chinoise fait beaucoup de mal aux Bleues qui accusent un peu le coup avant le mi-temps. Les trois points pleuvent et les coéquipières d'Iliana Rupert répondent tant bien que mal au défi phyisque proposé (50-39, 20’).
La France plie mais ne rompt pas dans ce match. Le troisième quart-temps sonne la révolte Française dans le sillage d’une excellente Marine Fauthoux (19 points) pour revenir à une longueur (56-57, 17’). Les Chinoises maintiennent la pression et parviennent à refaire l'écart malgré de bonnes séquences Française des deux côtés du terrain (66-58, 30’). Intraitable du début à la fin, la Chine fait preuve d’une adresse diabolique derrière l’arc (10/24 à 3 points) qui enterre définitivement les derniers espoirs de l’Équipe de France.
Chine – France : 85-71
Entrez dans l'intimité des Bleues pour ces deux rencontres, qui ont également pris le temps de rencontrer les fans français à Sydney. Enjoy !
Il est plus de 23h30 à Sydney, quand Jean-Aimé Toupane et une partie du staff des Bleues suit en direct le tirage au sort de la FIBA, depuis la salle de soins de l'hôtel situé à quelques mètres du Superdome de Sydney. Défaites auparavant face à la Serbie, les Bleues ne s'étaient pas facilité la tâche. La place de quatrième du groupe annonçait un tirage des plus difficiles pour le quart de finale de la compétition : Etats-Unis ou Chine, les deux équipes ayant terminé aux deux premières places de l'autre groupe.
Intraîtables depuis le début de la compétition, à l'image de leur record de points marqués sur un match de Coupe du Monde (145 points inscrits contre la Corée), les Etats-Unis sont les grandissimes favorites, imperturbables ou presque. Alors, quand la Chine est sortie du chapeau, suivie quelques secondes plus tard de la boule de la France, un demi soupir de soulagement a parcourcu les Tricolores, bien heureuses d'éviter les Américaines, désormais de l'autre côté du tableau final.
Il faudra néanmoins surmonter la Chine, qui a tenu la dragée haute à Team USA en phase de poule (défaite 63-77). Le Céleste Empire, qui court après une médaille mondiale depuis 1994, n'a jamais été aussi proche de retrouver le podium. Les Chinoises pratiquent leur meilleur basket depuis quelques années, et font figure de favorites face aux Bleues, sur courant alternatif depuis le début de la compétition. Les Tricolores en avaient d'ailleurs fait les frais lors du Tournoi de Qualification à Belgrade, et avaient subi une cinglante défaite (70-103).
France-Chine, jeudi à 10h00, en direct sur France 4 et beIN SPORTS 1.
En finale de l’EuroBasket puis pour la médaille de bronze aux Jeux Olympiques. La Serbie et la France ont disputé deux rencontres capitales l’année dernière. Pour une victoire chacune. En 2022, les circonstances et les effectifs ont largement évolué. Du fait des retraites internationales de plusieurs chez les Serbes. A cause des blessures chez les Françaises. Et si le dernier match de poule de la Coupe du Monde ne revêtait pas l’importance des rendez-vous passés, il pouvait permettre aux Bleues de mettre la main sur une deuxième place déterminante puisqu’elle permet d’éviter à coup sûr l’ogre américain en quarts de finale.
Après son convaincant succès sur le Japon, la France se présentait donc en confiance et déterminée sur le parquet du Super Dome de Sydney. Mais des pertes de balle et une intensité défensive largement inférieure à celle affichée lors du dernier quart-temps lundi permettaient à la Serbie de lancer son jeu rapide et de prendre rapidement confiance pour signer un 9/12 aux tirs en sept minutes. L’écart enflera jusqu’à -14 (10-24), avant que les mains rapides d’une Gabby Williams en mode sauveuse et un tir primé d’Alexia Chartereau ne sauvent les meubles en fin de premier quart-temps.
Un excellent passage qui changeait totalement le momentum de la rencontre. Les Bleues désormais lancées s’offraient un 14-0 pour équilibrer les débats. Avec Kendra Chery aux basques de la naturalisée Yvonne Anderson, l’attaque serbe si flamboyante était soudainement dans l’impasse tandis que l’adresse extérieure tricolore punissait les variations défensives de Marine Maljkovic (32-26). La sortie de Chery coïncidait d’ailleurs avec le réveil d’Anderson. Une série de Jovana Nogic et un moment de panique sur la press tout terrain renvoyait cependant la France dans les cordes à la pause (32-37) dans un match en forme de montagnes russes.
La tendance n’allait pas s’inverser par la suite, les Bleus courant après le score, réussissant quelques rapprochés (46-46) avant de décrocher à nouveau, victimes d’un Nogic largement au-dessus de ses prestations précédentes dans la compétition. Anderson reprenait également son entreprise de démolition. L’activité incessante de l’Américaine place toutes les défenses sous pression et c’est au moment où elle s’accordait quelques instants de repos que Williams et Chery relançaient la machine (50-57). Maljkovic n’attendait que quelques secondes pour remettre sa meneuse sur le terrain et , instantanément, la Serbie retrouvait des solutions offensives.
Plusieurs exploits de Marine Fauthoux et un tir primé de Sarah Michel laissaient planer le doute sur l'issue de la rencontre (64-60) à deux minutes de la fin. Mais à 25 secondes du buzzer, un shoot impossible à trois-points avec la planche de Sasa Cado, qui pointait alors à 0/6 dans l’exercice, envoyait l’Equipe de France dans une partie de tableau sans doute bien moins favorable si l’Australie venait à battre le Japon plus tard dans la journée.
Défaite des Bleues face à la Serbie
— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) September 27, 2022
Focus sur le quart de finale désormais #PassionnémentBleu #SERFRA pic.twitter.com/kVanhmxK3F
Vainqueur hier du Japon (67-53), la France s’est assurée une qualification pour les quarts de finale de la Coupe du Monde 2022, un stade de la compétition qu’elle atteint pour la sixième fois d’affilée. Et même s’il ne reste qu’un match contre la Serbie dans ce premier tour, l’enjeu reste important. Une victoire face aux Championnes d’Europe en titre, vainqueur des Bleues en finale de l’Euro il y a un an à Valence (76-91) offrirait en effet un horizon plus dégagé aux joueuses de Jean-Aimé Toupane.
Pour éviter les calculs de certaines nations, la FIBA a instauré un tirage au sort pour les quarts de finale de la compétition à venir. L’instance regroupera en effet dans des chapeaux différents, les équipes classées 1ères et 2èmes de chaque groupe, pour leur faire affronter un 3ème ou un 4ème de l’autre groupe. De l’autre côté de la compétition, les Etats-Unis dominent les débats, à l’image de leurs 145 points inscrits hier contre la Corée (nouveau record offensif de l’histoire de la Coupe du Monde), et sont assurées de terminer 1ère de leur poule.
Une victoire face à la Serbie assurerait donc la présence des Bleues dans les deux premières places du groupe, et donc un quart de finale plus abordable. Une belle occasion à ne pas laisser passer.
France-Serbie, à 9h30 (en direct sur beIN SPORTS 1)
A Tokyo, il y a un an, les Bleues avaient été battues d’entrée par le Japon (-4) puis balayées (-16) par cette même équipe en demi-finale. Une démonstration orchestrée par le coach américain Tom Hovasse et la géniale micro-meneuse Rui Machida (29 passes décisives en deux rencontres). Mais depuis, le premier a rejoint les masculins tandis que la deuxième a demandé à souffler après sa saison WNBA. Deux changements essentiels qui ont changé le visage d’une équipe qui a totalement raté son début de match alors que l’Equipe de France profitait de son avantage physique pour la punir près du cercle.
Le Japon n’a pas la dimension athlétique du Mali et a vu son adresse l’abandonner. Son 1/10 initial et la facilité de Marine Fauthoux et Gabby Williams en pénétration le mettait rapidement en difficulté. Les Tricolores s’appuyaient sur cet avantage et creusaient l’écart : 10-3 puis 20-6 (12’). Des débuts rêvés mais qui ne perturbaient pas un collectif restant fidèle à ses principes de mouvement du ballon, de coupes et de tirs extérieurs. Le rythme était soudainement de retour et un 0-14 en quatre minutes sanctionnait quelques oublis défensifs et une incapacité à convertir des shoots à trois-points qui auraient libéré une raquette désormais congestionnée.
C’est d’ailleurs un shoot de loin de Migna Touré qui permettait enfin de trouver un second souffle et de conserver le contrôle d’une rencontre devenue serrée. L’arrosage longue distance des deux équipes se poursuivaient sans pause (3/21 à la mi-temps) jusqu’au milieu du troisième quart-temps. Iliana Rupert parvenait à trouver quelques espaces malgré les multiples prises à deux dans la raquette mais de l’autre côté du terrain les Japonaises finissaient par régler la mire pour rester au contact (43-42).
La plus grande pression sur les lignes de passes, notamment d’une Sarah Michel indispensable défensivement, et la facteur X Touré permettaient cependant à l’Equipe de France de fermement prendre le contrôle. L’ancienne internationale 3x3, rappelée de dernière minute pour remplacer Marine Johannès, blessée, signait trois tirs primés déterminants tandis que Michel puis Marine Fauthoux trouvaient les décalages pour des paniers faciles. L'agressivité défensive des troupes de Jean-Aimé Toupane étouffait totalement le Japon et Rupert confirmait qu'après son arrivée tardive en provenance de WNBA, la future joueuse de la Virtus Bologne retrouvait pleinement son rythme.
Le quatrième quart-temps était dominé par une Equipe de France assurée de voir le top 8 mondial et qui cherchera à obtenir le meilleur classement possible face à la Serbie.
Une chose était certaine, à l'issue de ce dimanche 25 septembre, troisième jour de compétition pour les Bleues, on y verrait plus clair. Vainqueur en début d'après-midi à Sydney du Mali (74-59), le staff de l'Equipe de France féminine a tranquillement pu assister au Superdome, au succès de l'Australie sur la Serbie, puis du Canada (toujours invaincu) face au Japon.
Des résultats qui simplifient les calculs et les hypothèses en prévision du face à face contre les Nippones ce lundi (8h00 heure française, en direct sur beINSPORTS 1). Avec deux succès au compteur contre l'Australie et le Mali, une troisième victoire des Bleues face au Japon leur assurerait une place en quarts de finale de la compétition.
Depuis le début, les Japonaises ne sont plus que l'ombre d'elles mêmes. Leur fantastique réussite de l'été dernier, les ayant conduit jusqu'à l'argent olympique, a légèrement chuté. Défaites par la Serbie et le Canada, les coéquipières de Maki Takada (meilleure marqueuse avec 11,0 points) sont à moins de 30% au tir à 3pts, quand leur réussite grimpait à plus de 38% l'été dernier. Dos au mur, les Nippones jetteront à coup sûr toutes leurs forces dans la bataille pour se relancer dans la course à la qualification. Bête noire des Bleues à Tokyo il y a un an, avec deux succès au cours des Jeux Olympiques, le Japon n'en reste pas moins redoutable. Et son adresse, c'est certain, peut revenir à tout moment.
France-Japon, 8h00 (heure française), en direct sur beINSPORTS 1
De la remise des maillots émouvante, avec les familles et proches des joueuses, en passant par les deux matches contre l'Australie et le Canada, mais aussi la blessure de Marine Johannes juste avant la compétition. C'est à nouveau un épisode exceptionnel au cœur des Bleues ! Enjoy !
Les Bleues assurent l'essentiel. Et ont maintenant rendez-vous avec le Japon demain #PassionnémentBleu #MALFRA pic.twitter.com/n2YUvui6TK
— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) September 25, 2022
Il y a des jours sans. Aujourd'hui en était un.
— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) September 23, 2022
Focus sur le Mali dimanche désormais#PassionnémentBleu #FRACAN @FIBAWWC pic.twitter.com/kWuWVXShBB
Une sensation. Personne ne les attendait vraiment après une campagne estivale pour le moins périlleuse. Des forfaits de joueuses majeures, deux défaites face à l'Australie et le Japon en fin de préparation, et pourtant, un coeur énorme et une combativité de tous les instants. Les Bleues ont surpris le pays hôte de la compétition hier à Sydney, en s'imposant 70 à 57, devant 9000 spectateurs australiens médusés devant l'engagement tricolore.
Un état d'esprit formidable qui a permis aux Tricolores d'élever leur niveau de jeu tout au long de la partie, en maîtrisant le retour de Rebecca Allen, Lauren Jackson et consorts. Des ingrédients, que les coéquipières de Gabby Williams (23 points hier, record en bleu et meilleure performance d'une joueuse française en Coupe du Monde depuis 1994), devront remettre sur le parquet dès ce vendredi. Les Bleues affrontent à 10h00 (18h00, heure locale) le Canada, lui aussi vainqueur en ouverture. Les joueuses de Victor Lapena sont venues à bout d'une Serbie accrocheuse (67-60), portée par une bonne connaissance de LFB en la personne de Kayla Alexander (13 points, 7 rebonds), nouvelle berruyère à la rentrée.
Les deux équipes s'étaient déjà affrontées en phase de poule de la dernière Coupe du Monde à Tenerife (Espagne), un duel remporté par les Canadiennes (60-71). Quatre ans plus tard, les joueuses de Jean-Aimé Toupane seraient bien inspirées de s'imposer, dans ce deuxième match d'une poule où tout est possible. Le vainqueur du jour fera en tout cas un grand pas vers les quarts de finale à Sydney.
France-Canada, à 10h00 (heure française), en direct sur beIN SPORTS
Cette campagne mondiale ne pouvait pas mieux commencer pour les Bleues. Le début de match offre un duel de très haute volée entre Gabby Williams et Rebecca Allen. La nouvelle recrue de LDLC ASVEL Féminin met les Bleues sur le droit chemin en inscrivant douze des quatorze premiers points auxquels Allen répond avec un parfait 3/3 pour les Opals (14-10, 6’). Arrivée tardivement dans le groupe, la récente championne WNBA Iliana Rupert y va également de ses premiers points en Coupe du Monde pour maintenir la France en tête après un quart temps (18-17, 10’). L’ambiance monte d’un cran dans le deuxième acte au moment où les hôtes prennent un léger avantage (18-23, 13’). La volonté des coéquipières de Marine Fauthoux leur permet de revenir immédiatement dans le match sur un tir de Marième Badiane (27-27, 16’). La rencontre est rugueuse mais les joueuses de Jean-Aimé Toupane ne lâchent rien et répondent au défi physique proposé par les Australiennes afin de virer en tête à la pause (32-31, 20’).
Au retour des vestiaires la France fait le break sur un tir acrobatique de l’inépuisable Gabby Williams (40-33, 23’). La défense tient bon malgré une nette domination Australienne au rebond (49 contre 36). Les bonnes séquences défensives s’accumulent pour les Bleues qui maitrisent le rythme du match à l’image de Lisa Berkani qui performe la défense pour s’offrir un deux points dans la raquette (52-45, 30’). Dans le dernier quart-temps, les Françaises font preuve de beaucoup de sérénité et montrent un visage conquérant en témoigne le tir ultra longue distance d’Alexia Chartereau qui refroidit le Superdome de Sydney (61-52, 36’). Impériale, Gabby Williams (23 points) conclue la rencontre par un tir assassin avant de laisser éclater sa joie. Face aux vice-championnes du monde en titre, les Bleues marquent les esprits en enregistrant un premier succès dans cette campagne mondiale avant d’affronter un autre gros morceau demain.
Australie – France : 57 - 70
LES BLEUES FONT TOMBER LES VICE-CHAMPIONNES DU MONDE EN TITRE ! #PassionnémentBleu #AUSFRA pic.twitter.com/DAZ5AC2Ba9
— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) September 22, 2022
Après une préparation pas épargnée par les blessures et les rebondissements, la France commence - enfin - sa Coupe du Monde 2022. À l'image d'une préparation sémée d'embuches, les Bleues ont du faire face à un nouveau forfait à seulement deux jours de la compétition : celui de l'arrière, Marine Johannes. Victime d'une lésion musculaire à la cuisse lors du match d'entraînement de lundi face aux Etats-Unis, la joueuse de LDLC ASVEL et du New York Liberty a été remplacée dans le roster par Migna Touré, qui était toujours présente sur place à Sydney.
Les Bleues de Jean-Aimé Toupane, qui dispute sa première grande compétition internationale après sa nomination à l'automne dernier, auront fort à faire d'entrée de jeu. Face à l'Australie, qu'elles ont joué il y a peu en match de préparation (ndlr, défaite 88-92), les coéquipières d'Helena Ciak, joueuse la plus capée du groupe et qui participe à sa 3ème Coupe du Monde, devront répondre au défi physique et batailler au rebond. Secteur du jeu qui fait défaut depuis le début de la campagne, mais dont l'arrivée dans le Groupe France hier mercredi d'Iliana Rupert, championne WNBA avec Las Vegas, devrait aider les Bleues dans ce domaine.
Dans un Superdome qui s'annonce bien garni, l'Equipe de France devra aussi affronter un public australien, prêt à pousser les siennes dans ce match d'ouverture. Vice-championne du Monde il y a quatre ans, les joueuses de Sandy Brondello (par ailleurs coach du New York Liberty) ne voudront pas manquer leur entame dans la compétition. D'autant plus dans un groupe B où tout semble possible.
Australie-France, jeudi 22 septembre à 12h30 (en direct sur beIN SPORTS 1)
Le dernier épisode inside des Bleues est en ligne sur la chaîne YouTube FFBB
<p>Entrez dans le quotidien de l'Equipe de France à seulement un jour de leur premier match dans cette compétition face au pays hôte, l'Australie. Les Tricolores au travail, à la musculation, les derniers matches de prépa', la sélection finale annoncée, le Media Day de la FIBA... Toutes les derniers instants y sont ! À tout de suite dans les coulisses des Bleues </p><p> </p>
Pour la remplacer, le staff tricolore a décidé de faire appel à Mamignan Touré (1,83m, 27 ans), qui se trouvait toujours sur place à Sydney (Australie), et qui intègre donc la liste des 12 joueuses retenues pour la Coupe du Monde.
Le Groupe France :
Prénom | Nom | Naissance | Taille | Poste | Sél | Pts | Club 2021 / 2022 |
Marième | BADIANE | 24/11/1994 | 1,90 | 4-5 | 39 | 133 | LDLC ASVEL Féminin |
Lisa | BERKANI | 19/05/1997 | 1,76 | 2-1 | 12 | 36 | Flammes Carolo |
Alexia | CHARTEREAU | 05/09/1998 | 1,91 | 4 | 82 | 595 | LDLC ASVEL Féminin |
Kendra | CHERY | 16/07/2001 | 1,88 | 3 | 7 | 18 | Basket Landes |
Helena | CIAK | 15/12/1989 | 1,97 | 5 | 124 | 698 | LDLC ASVEL Féminin |
Marine | FAUTHOUX | 23/01/2001 | 1,74 | 1 | 37 | 149 | Basket Landes |
Sarah | MICHEL | 10/01/1989 | 1,80 | 2-3 | 109 | 483 | Bourges Basket |
Marie-Eve | PAGET | 28/11/1994 | 1,71 | 1 | 5 | 15 | Basket Landes |
Iliana | RUPERT | 12/07/2001 | 1,94 | 4-5 | 42 | 138 | Bourges Basket |
Ana | TADIC | 21/09/1998 | 1,95 | 5 | 7 | 26 | Tarbes GB |
Mamignan | TOURÉ | 19/12/1994 | 1,83 | 3 | 9 | 65 | BLMA |
Gabby | WILLIAMS | 09/09/1996 | 1,80 | 3 | 27 | 246 | Sopron (Hongrie) |
Entraîneur : Jean-Aimé Toupane / Assistants : Cathy Melain, David Gautier, Grégory Halin
Ainsi, les quatre dernières joueuses à quitter le Groupe France sont Pauline Astier (1,76m, 20 ans), Marie Pardon (1,78m, 21 ans), Assitan Koné (1,90m, 27 ans) et Mamignan Touré (1,83m, 27 ans).
Iliana Rupert (1,94m, 21 ans), actuellement en pleine finale WNBA avec Las Vegas, rejoindra le Groupe France à Sydney dès la fin de sa saison avec sa franchise.
L’Équipe de France féminine a disputé ce dimanche face au Japon, son dernier match de préparation à la Coupe du Monde 2022 (défaite 59-69, résumé en cliquant ici). La rencontre de demain lundi 19 septembre contre les États-Unis (8h30, heure française) sera déroulera finalement à huis clos, et sera considérée comme un match d’entraînement (scrimmage).
Le Groupe France :
Prénom | Nom | Naissance | Taille | Poste | Sél | Pts | Club 2021 / 2022 |
Marième | BADIANE | 24/11/1994 | 1,90 | 4-5 | 39 | 133 | LDLC ASVEL Féminin |
Lisa | BERKANI | 19/05/1997 | 1,76 | 2-1 | 12 | 36 | Flammes Carolo |
Alexia | CHARTEREAU | 05/09/1998 | 1,91 | 4 | 82 | 595 | LDLC ASVEL Féminin |
Kendra | CHERY | 16/07/2001 | 1,88 | 3 | 7 | 18 | Basket Landes |
Helena | CIAK | 15/12/1989 | 1,97 | 5 | 124 | 698 | LDLC ASVEL Féminin |
Marine | FAUTHOUX | 23/01/2001 | 1,74 | 1 | 37 | 149 | Basket Landes |
Marine | JOHANNES | 21/01/1995 | 1,77 | 2 | 104 | 980 | LDLC ASVEL Féminin |
Sarah | MICHEL | 10/01/1989 | 1,80 | 2-3 | 109 | 483 | Bourges Basket |
Marie-Eve | PAGET | 28/11/1994 | 1,71 | 1 | 5 | 15 | Basket Landes |
Iliana | RUPERT* | 12/07/2001 | 1,94 | 4-5 | 42 | 138 | Bourges Basket |
Ana | TADIC | 21/09/1998 | 1,95 | 5 | 7 | 26 | Tarbes GB |
Gabby | WILLIAMS | 09/09/1996 | 1,80 | 3 | 27 | 246 | Sopron (Hongrie) |
Entraîneur : Jean-Aimé Toupane
Assistants : Cathy Melain, David Gautier, Grégory Halin
Après une rencontre riche en enseignements vendredi face à l’Australie malgré la défaite (88-92), les Bleues enchaînent un nouveau match face à un prétendant au podium mondial à Sydney, le Japon. Si les Japonaises, vice-championnes olympiques chez elle l’été dernier, ont changé de coach, elles ont pour autant gardé leurs intentions : un jeu rythmé, fait de courses et de tirs extérieurs. Marième Badiane, sur la lancée de son record de points en bleu vendredi, alimente la marque avec Chartereau, mais les Tricolores sont menées après 10 minutes (15-18, 10’).
La défense agressive des Bleues laisse peu de chances aux Japonaises, notamment à longue distance (seulement 9 tirs primés tentés en 1ère mi-temps). Gabby Williams, alignée pour la première fois cet été, essaie de ramener les siennes, en compagnie de Badiane et Chartereau. Mais si la défense bleue est en place – bien plus que sur les derniers affrontements face à ces mêmes nippones à Tokyo lors des Jeux – c’est en attaque que le bât blesse. Peu en réussite, les Tricolores perdent de nombreux ballons (11 lors des 20 premières minutes), laissant le Japon rentrer aux vestiaires en tête à la pause (27-31, 20’).
Les Bleues ont beau passer un 6-0 d’entrée de 3ème quart, le Japon ne doute pas et s’acharne de loin. Et à force de tenter, il réussit. Hirashita à deux reprises puis Yamamoto font tomber la foudre derrière l’arc. Malgré la série dans l’ancien duo mondevillais Badiane-Johannes, Tokashiki trouve le chemin du cercle à l’intérieur. Le Japon aligne un 5-0 sur la fin du quart et mène à 10 minutes du terme (44-49, 30’).
Légèrement distancées, les Bleues ne parviendront jamais à recoller au score des Japonaises, qui ne leur réussissent décidément pas (5 défaites lors de 5 derniers affrontements). Takada, Tokashidi et Yamamoto terminent le travail nippon, les performances de Chartereau et Badiane (17 points chacune) n’y changeront rien. Les Tricolores s’inclinent face au Japon (59-69) mais auront montré que les nouvelles intentions déployées par le staff tricolore pourront gêner leurs adversaires du soir, qu’elles retrouveront au premier tour de la Coupe du Monde. En corrigeant bien sûr la permissivité au rebond et les pertes de balles, deux secteurs du jeu qui ont coûté cher.
L'heure est désormais au choix pour Jean-Aimé Toupane et son staff. Toujours composé de 16 joueuses, le Groupe France doit désormais être réduit à 12 éléments dans les heures à venir pour débuter la Coupe du Monde, et disputer son premier match de la compétition face à l'Australie, hôte de la compétition (jeudi 22 septembre à 12h30, heure française)
Japon bat France 69-59
France-Etats-Unis en huis clos
Initialement prévue dans le programme de préparation des Bleues, la rencontre de ce lundi 19 septembre face aux Américaines se déroulera finalement à huis clos. Un match d’entrainement (scrimmage) entre les deux équipes, dont le score ne sera pas communiqué, mais qui permettra aux deux équipes de régler de derniers détails à trois jours de la compétition.
Après quelques jours pour se régler sur le fuseau horaire de Sydney, les Bleues ont l’occasion de se jauger face à une équipe du top niveau mondial. Vice-championne du Monde il y a quatre ans à Tenerife, l’Australie à domicile pour cette Coupe du Monde 2022, fait partie des favoris au podium. Sans Liz Cambage mais avec le retour de la légende Lauren Jackson (41 ans), les Australiennes sont pourtant derrière au score en début de partie. Pour son premier match de préparation depuis son retour des Etats-Unis, Marine Johannes brille sous les yeux de Sandy Brondello, sa coach à New York également à la tête des Opals. Entre passes décisives et drives, elle mène les Bleues dans le premier quart, bien aidée par Alexia Chartereau également en réussite (23-15, 10’).
Avec un groupe toujours composé de 16 joueuses (en comptant Iliana Rupert , qui arrivera après la finale WNBA), le staff des Bleues se sert de ces ultimes répétitions pour trancher sur la composition finale. En difficulté au rebond depuis le début de la préparation, les Tricolores laissent des deuxièmes chances à leurs adversaires. Dans le rythme, l’Australie signe un 12-0 d’entrée de période stoppé par un tir primé de la capitaine Sarah Michel. Marième Badiane, avec 12 points à la pause (16 points au final), a d’ores et déjà battu son record de points en bleu (précédemment de 11 unités, le 9 juin 2019 contre l’Ukraine), permettant aux joueuses de Jean-Aimé Toupane d’être en tête à la mi-temps (42-40, 20’).
Le troisième quart est un régal d’adresse des deux équipes, d’abord mené par le duo des Opals, Bec Allen et Stephanie Talbot, un petit jeu auquel se joint volontiers Marine Johannes. Même si Fauthoux et Berkani s'adonnent aussi au festival longue distance, ce sont bien les Australiennes qui profitent de la situation pour prendre les commandes, face à des Bleues qui ont encaissé 30 points dans la période (70-67, 30’).
Même s’il ne s’agit là que d’un match de préparation, les deux équipes veulent bonifier ce test par un succès de prestige. Badiane d’abord, puis Berkani et Fauthoux de loin, sonnent la révolte tricolore. L’Australie fait parler sa puissance, notamment par Ezi Magbegor (18 points), coéquipière de Gabby Williams à Seattle. La fin de match se joue à un petit rien. Malgré les dernières tentatives de Fauthoux et Johannes, Sami Whitcomb et Stephanie Talbot ont le dernier mot sur deux tirs primés assassins. La France s’incline mais aura joué les yeux dans les yeux d’une grande équipe australienne. Qu’elle retrouvera pour son premier match de la compétition dans six jours, le 22 septembre prochain.
Australie bat France : 92-88
Les Bleues vont poursuivre leur campagne de qualification à l’Euro 2023 à Saint-Étienne et à Roanne en novembre prochain. Les Tricolores, vice-championnes d’Europe en titre et médaillées de bronze aux Jeux Olympiques de Tokyo, auront besoin du public tricolore pour les pousser vers la victoire. Avec un bilan de 1 victoire et 1 défaite, cette fenêtre de qualification sera cruciale pour les joueuses de Jean-Aimé Toupane.
C’est d’abord dans la toute nouvelle salle de l’Arena Saint-Étienne Métropole (4200 places), salle résidente du club de Saint-Chamond BVG en Pro B, que les Bleues se produiront le jeudi 24 novembre à 20h30 contre la Finlande. Trois jours plus tard, le dimanche 27 novembre à 17h00, les Tricolores affronteront l’Ukraine à la Halle Vacheresse de Roanne (5000 places). Défaites au match aller à Kiev (90-71), les coéquipières de Marine Johannes voudront prendre leur revanche et s’imposer pour se relancer dans la course à la qualification.
Les billetteries de ces rencontres ouvriront dans le courant du mois d’octobre. Il est possible de s’inscrire en ligne pour être informé en temps réel de la mise en vente des places pour les matches des Bleues : http://billetterie.ffbb.com
QUALIFICATIONS EUROBASKET WOMEN 2023 | ||
Dates | Match | Lieu |
Jeudi 11 novembre 2021 à 19h00 | Ukraine-France (90-71) | Kiev (Ukraine) |
Dimanche 14 novembre 2021 à 16h30 | France-Lituanie (83-56) | Villeneuve d’Ascq (France) |
Jeudi 24 novembre 2022 à 20h30 | France-Finlande | Saint-Étienne (France) |
Dimanche 27 novembre 2022 à 17h00 | France-Ukraine | Roanne (France) |
Jeudi 9 février 2023* | Lituanie-France | À définir |
Dimanche 12 février 2023* | Finlande-France | À définir |
Plus d’infos sur les qualifications à l’EuroBasket Women 2023 :
https://www.fiba.basketball/womenseurobasket/2023
Comment se qualifier pour l’EuroBasket Women 2023 ?
Les 10 vainqueurs de chaque groupe et les quatre meilleures équipes classées deuxièmes se qualifieront pour l'EuroBasket Women 2023. Afin de déterminer les meilleures équipes classées deuxièmes, les résultats contre les équipes classées quatrièmes dans les groupes de quatre seront ignorés.
La Slovénie et Israël, hôtes de l’édition 2023, sont automatiquement qualifiés mais participeront tout de même à ces rencontres de qualification. Si l'un ou les deux hôtes de l’Euro 2023 terminent parmi les 14 places qualificatives, alors la ou les équipes suivantes, classées deuxièmes, seront également qualifiées.
L’EuroBasket Women 2023 se déroulera du 15 au 25 juin 2023 à Tel Aviv (Israël) et Ljubljana (Slovénie), avec la phase finale qui se déroulera dans la capitale slovène.
À une dizaine de jours du début de la Coupe du Monde, découvrez comment les Bleues ont vécu ce voyage éprouvant pour les organismes, et comment le staff accompagne les joueuses dans cette gestion. Le jetlag, les coulisses des Bleues, la visite de l'hôtel par Sarah Michel et Pauline Astier, l'arrivée de Gabby Williams. Vous ne manquerez rien ! Plongez en inside dans la vie de l'Equipe de France !
Dix jours, c'est le temps qui sépare désormais les Bleues de leur premier match de la Coupe du Monde face au pays hôte, l'Australie. Après un long périple entre Paris et Sydney, en passant par Dubaï, les Tricolores ont pris leurs marques dans la métropole australienne, au coeur du parc olympique qui avait accueilli les J.O. en 2000.
Les mines sont encore éprouvées d'un voyage de plus d'une journée, et les organismes impactés par un décalage horaire de 8 heures. Pour remettre les Bleues en ordre de marche, le staff tricolore a prévu une remise en route progressive : une arrivée dimanche placée sous le signe du décrassage aux alentours de l'hôtel des Bleues, et un lundi avec deux entraînements à allure modérée et sans opposition. Avec de larges plages réservées au repos et à la récupération.
Les 14 joueuses de Jean-Aimé Toupane, qui seront rejointes mardi par Gabby Williams, puis plus tard par Iliana Rupert à l'issue de la finale WNBA, auront l'occasion dans les prochains jours de se tester à trois reprises face à trois adversaires de haut vol : l'Australie (16 septembre), le Japon (18 septembre) puis les Etats-Unis (19 septembre). Il sera temps à cet instant pour le staff des Bleues, de faire les derniers choix et d'établir la liste finale des 12 joueuses pour la Coupe du Monde 2022.
Les championnes du monde en titre ont tenu leur rang à Graz et deviennent l’équipe féminine la plus titrée de la Coupe d’Europe 3x3 avec ce troisième trophée. Impressionnantes lors des phases de poule, les coéquipières de Laëtita Guapo ont confirmé en quart de finale en écartant la Lituanie (4ème nation mondiale) avant de réaliser une démonstration face à l’Espagne, championne d’Europe en titre, en demi-finale (21-11). Opposées aux Pays-Bas dans un remake de l’édition 2018, les Françaises ont mis un point d’exclamation sur cette journée historique avec une victoire pleine d'autorité (21-14). L’Équipe de France féminine 3x3 continue ainsi sa moisson de médailles après la médaille d’or obtenue lors de la Coupe du Monde et peut même rêver d'un triplé avec les finales des FIBA 3x3 Women's Series la semaine prochaine.
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La joie des Françaises, triples championnes d'Europe ! #lequipeBASKET pic.twitter.com/1v5kjcZJDp
— la chaine L'Équipe (@lachainelequipe) September 11, 2022
Avec plus de 5 points de moyenne, Myriam Djekoundade a été nommée MVP de la compétition.
Réunies à Créteil jeudi, et après deux derniers entraînements à l'INSEP, les Bleues sont prêtes. Un mois jour pour jour après le lancement de sa préparation le 9 août dans les structures du Bois de Vincennes, l'Equipe de France féminine boucle la boucle d'un mois de préparation intensif en France, à l'INSEP, Marseille puis Pau. Vainqueurs de leurs trois premiers matches de préparation, les Tricolores ont validé le travail entamé par le nouveau staff conduit par Jean-Aimé Toupane. S'il leur reste encore quelques détails à peaufiner, les Bleues ont néanmoins bien avancé sur les chantiers qui les attendaient : ceux de l'intensité, de la pression défensive et du mouvement du ballon.
Quatorze joueuses partiront donc ce vendredi soir de l'aéroport Charles de Gaulle de Paris, direction le parc olympique de Sydney où les Bleues seront logées et disputeront leurs derniers matches de préparation (Australie, Japon, Etats-Unis), puis la Coupe du Monde 2022. Elles seront rejointes dans quelques jours par l'ailière des Bleues Gabby Williams, qui fête ce vendredi son 26ème anniversaire, puis par Iliana Rupert, actuellement en finale WNBA avec Las Vegas.
La liste des Bleues et le programme de préparation et de la Coupe du Monde
Les Tricolores, toujours au travail, ont ensuite affronté à deux reprises la Belgique, à Pau puis à Courtrai. Plongez dans les coulisses de la suite de la préparation à la Coupe du Monde 2022, en inside avec l'Equipe de France féminine.
Il sera possible de suivre l’intégralité de la Coupe d'Europe 3x3 en direct sur le site internet live.lequipe.fr ainsi qu’en différé sur la chaîne l’Équipe, accessible à tous sur la TNT (Canal 21). Les Françaises tenteront de récupérer leur couronne, tombée au main des Espagnoles en 2021. Les rencontres seront commentées par Kévin Corre (n°1 français, spécialiste 3x3) et Benoit Cosset.
#EDF3x3 – Yann Julien a dévoilé la liste des quatre joueuses qui participeront à la Coupe d'Europe 3x3.
@Myriam_Djek
@marie_mane
Laëtitia Guapo
@HortenseLmz
+ d’infos : https://t.co/NPR9eD1Utg pic.twitter.com/GECCZSz4x7— 3x3 FFBB (@3x3ffbb) September 6, 2022
Programme :
9 septembre – 15h00 : France – Suisse
9 septembre – 20h20 : France – Roumanie
Après leur titre de championnes du monde acquis en juin dernier, les Bleues du 3x3 remettent le couvert à l'occasion de la Coupe d’Europe du 9 au 11 septembre à Graz (Autriche). Actuellement classée nation numéro 1 au Ranking FIBA, la France tentera de retrouver sa couronne européenne perdue lors de l’édition 2021 (3ème). Afin de réussir sa mission, les Françaises pourront compter sur trois joueuses issues du groupe champion du monde : Laëtita Guapo, Hortense Limouzin et Myriam Djekoundadé. Elles seront accompagnées par Marie Mané (26 ans, 1.84m), très en vue sur le circuit international des FIBA 3x3 Women’s Series cette saison avec l’Équipe de France.
Les matchs de l’Équipe de France seront à suivre en direct et en intégralité sur le site internet live.lequipe.fr ainsi qu’en différé sur la chaîne L’Équipe (canal 21 de la TNT).
La composition du groupe :
Nom |
Prénom |
Né le |
Taille |
Club Saison 2022-23 |
DJEKOUNDADE |
Myriam |
02/01/1998 |
185 |
ESB Villeneuve d’Ascq (LFB) |
GUAPO |
Laëtitia |
25/10/1995 |
182 |
CJM Bourges Basket (LFB) |
LIMOUZIN |
Hortense |
01/07/1998 |
165 |
Saint-Amand Hainaut Basket (LFB) |
MANÉ |
Marie |
12/12/1995 |
184 |
Landerneau Bretagne Basket (LFB) |
Entraîneur : Yann Julien
Assistant : Gwenaël Pestel
Programme :
Vendredi 9 septembre – 15h00 : France – Suisse
Vendredi 9 septembre – 20h20 : France – Roumanie