Entre personnalités politiques et sportifs de haut niveau, il y avait du beau monde aujourd’hui au jardin du Luxembourg, à l’occasion de la première Journée Nationale du 3x3. Sur un terrain spécialement installé pour l’occasion, diverses animations se sont déroulées tout au long de la journée, notamment avec des classes d’enfants. Des démonstrations de spécialistes du basket 3x3 ont également été mises en place. En dehors des créneaux réservés pour les écoles, l’espace de jeu est en open court, tout le monde peut venir jouer comme bon lui semble. 

En milieu de journée, le Président de la FFBB Jean Pierre Siutat et Marie Eve Paget, récente vice championne du monde, ont pu présenter le 3x3 au Président du Sénat Gérard Larcher, aux sénateurs et à la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra, en leur expliquant les spécificités de cette discipline, désormais olympique. 

Hormis Marie Eve Paget, les enfants ont eu la chance de rencontrer Ana Ngo Ndjock, autre joueuse de l’Equipe de France 3x3 mais aussi Emmeline Ndongue, fille aux 196 sélections chez les Bleues en 5x5 ou encore George Eddy, la voix du basket français depuis des dizaines d'années. Ils ont pu partager leur expérience, faire des photos et signer de nombreux autographes. Une ambiance conviviale sous le soleil parisien.

Toutes ces animations se poursuivront ce samedi 17 juin avec des petits tournois organisés à partir de 10h. 

Vainqueur de la Coupe de France U18 en avril dernier à l’Accor Arena, quel souvenir vous en gardez ?
C’est le premier gros titre, c’est la première fois depuis que je suis à Bourges que l’on va aussi loin en Coupe de France. L’an dernier nous avons été éliminées en quarts. Cette année, nous avions à cœur de bien faire, donc oui c’est le premier gros titre que je gagne de ma « carrière ». Gagner à l’Accor Arena c’est incroyable. Il y avait énormément de bonheur et énormément de joie. Toute l’année on a vraiment beaucoup travaillé pour remporter ce titre. On a vite su que les Final Four, espoirs et U18, ça allait être compliqué. Il nous restait donc plus que la Coupe de France que l’on avait vraiment à cœur de réussir. Il y avait énormément de joie, beaucoup de fierté et de très belles émotions.

C’était un objectif personnel que vous vous étiez fixé ?
C’était un gros objectif pour moi. Je savais qu’il y avait encore énormément de travail. En arrivant l’année dernière au centre de formation de Bourges, honnêtement, je ne pensais pas faire autant de chemin. C’est beaucoup de fierté, je ne pensais pas en arriver là et gagner ce titre en 2023. C’est grâce à tout le travail fourni, et aussi et surtout grâce à mon ancienne coach, Nicole De Colo. Tout ça c’est en grande partie grâce à elle. Ce titre, c’est une belle récompense mais le travail continue, il me reste encore deux ans à Bourges alors pourquoi pas encore en gagner deux.

En 2019, vous avez reçu la Bourse du Club des Internationaux. Votre dossier a été porté par Nicole De Colo, membre active du club, comment avez pris cette reconnaissance ?
Nicole a toujours cru en moi, moi je ne pensais pas être dans le basket. Le jour, où elle m’a annoncé que j’étais boursière, d’un côté j’étais très étonné et de l’autre très contente. Je me suis dit cette bourse c’est peut-être le début de quelque chose. Nicole croit en toi, les membres du club croient en toi. Je ne suis pas quelqu’un qui a une grande confiance en soi, dans le basket ou en dehors, alors si des gens ont confiance en moi, faut que j’aie confiance en moi. La bourse du club c’est un peu à partir de ce moment-là que tout à commencer pour moi.

Quel lien gardez-vous avec Nicole De Colo aujourd’hui ?
Je garde un lien très fort avec Nicole. Ça restera toujours Nicole, ma marraine dans le sport. On se donne des nouvelles très régulièrement, on se voit dès que je rentre dans le Nord. Je sais que ça sera toujours ma première supportrice et la première qui me dire : là tu n’as pas fait un bon match, améliore-toi sur tel ou tel point. Je lui fais des debriefs après tous mes matches. Je garde vraiment un lien très fort et je le garderai toujours car tout ça c’est grâce à elle. Je lui dois tellement.

Les bourses
Le Club des internationaux de basket, en collaboration avec la FISF, offre des bourses à de jeunes espoirs qui méritent notre soutien. 1 à 2 bourses par an, d’une somme de 600 euros, chacune

Les candidatures doivent être recommandées par un membre du Club qui transmet Nicole Pierre-Sanchez qui répondra aux questions et adressera le dossier.
Nicole Pierre-Sanchez : 06 71 90 12 24 - sanchez29@orange.fr

Aujourd'hui, direction Bergerac, en Dordogne (24), à la découverte de l'organisation mise en place par le Comité Départemental 24. 

Propos recueillis auprès de Rémy Rogez, Conseiller Territorial Fédéral. 

Dans le département de la Dordogne, que représente le MiniBasket (nombre d'Ecoles Françaises de MiniBasket, licenciés, historique, futur, etc.) ? 

Le MiniBasket a une place essentielle dans le basketball en Dordogne. Nous mettons à disposition de nombreuses ressources humaines, financières et matérielles afin de le développer. Sur ving-trois de nos écoles de MiniBasket, plusieurs sont labellisées. Au niveau des licenciés, cette année, nous arrivons quasiment à 1 000 enfants inscrits pour 3 000 licenciés au total dans notre département. Le MiniBasket a toujours été une priorité dans notre politique de développement. En plus de la FNMB, nous organisons tout au long de l'année des évènements pour ces catégories (U5 à U11) avec le Challenge MiniKids, le tournoi des AS U11 réunissant les plus gros potentiels pour commencer les détections ainsi que les ateliers du Père-Noël. Malgré les contraintes que nous rencontrons (financières, humaines, matérielles, etc.), nous souhaitons pérenniser ces évènements et au mieux en créer de nouveaux dans le futur. Le basket en Dordogne progresse, nous en sommes ravis !

En quoi la Fête Nationale du MiniBasket est-elle importante dans votre département ? Combien de personnes rassemble-t-elle en comprenant les bénévoles, les licenciés, les spectateurs/parents, etc. ? 

La FNMB est très importante au vu des moyens mis en œuvre pour sa réussite (nombre de bénévoles déployés, nombre de participants, heures dédiées par les salariés). Concernant le déroulement de la journée, le temps n'était pas au rendez-vous jusqu'à son lancement mais nous avons pu maintenir le format à l'extérieur. Le tournoi pour les U9/U11 s'est déroulé sur 10 terrains extérieurs à la Plaine des sports de Picquecailloux. Pour les U7, des ateliers ont été proposés le matin et un tournoi l'après-midi sous un hall couvert. C'était le premier rassemblement de forte affluence que nous organisions depuis le Covid, 3 ans que les jeunes du territoire n'avaient pas pu se réunir. Historiquement, la FNMB de Dordogne a toujours eu lieu à Bergerac et nous avons choisi d'y retourner cette année. Il existe peu de sites capables d'accueillir un évènement d'une telle ampleur et un club capable de mobiliser suffisamment de ressources pour s'occuper de la restauration pour plus de 1 000 personnes. C'est donc en partenariat avec le club de Bergerac et la CTC Dordogne Sud que nous avons organisé la Fête. Sur les 1 100 personnes présentes sur site, nous avions 370 enfants, 60 bénévoles, 30 animateurs et arbitres et le reste de spectateurs/parents. Sur les 23 clubs périgourdins, 17 étaient représentés avec 51 équipes. Cette année, nous avons quasiment battu notre record de spectateurs !

A quelle période de l'année commencez-vous les préparatifs pour l'organisation de la fête ? Combien de personnes sont impliquées ? Comment faites-vous le relais avec les clubs ?

Dès le mois de juillet, nous programmons notre planning général avec tous les évènements de l'année. En septembre, nous nous occupons de la partie administrative pour réserver le site. Puis en décembre, nous rentrons vraiment dans le vif du sujet jusqu'au jour-J. Nous travaillons donc en étroite collaboration avec le club de Bergerac et la CTC Dordogne Sud pour l'arbitrage et la restauration tandis que nous, le Comité, nous nous occupons de la partie logistique, sportive et communication auprès des clubs et des élus. En général, les clubs sont très fidèles à l'évènement, la plupart attendent beaucoup cette journée et sont conscients de l'importance du MiniBasket.

Ces évènements qui se déroulent sur une ou plusieurs journées entre mai et juin dans toute la France sont aussi rendus possible grâce aux partenaires, qu'avez-vous pu mettre en place à leurs côtés ? 

En effet, nous avons pu répartir l'ensemble des cadeaux pour chaque enfant dans des poches offertes par notre partenaire Intersport. En plus de la médaille, chaque enfant a reçu un livret MiniBasket avec Kinder Joy of Moving, un diplôme de participation des Editions Nathan, un cookie de la Mie Câline, des fruits par MAIF, les dotations arbitre par Caisse d'Epargne, les cartes Slamdeck. 

Qu'avez-vous mis en place cette année en plus des tournois réservés aux jeunes ?

L'objectif est de faire de cette journée une fête sur tous les points de vue. Beaucoup de choses sont mises en place autour pour allier le basket et la fête pour les enfants : jeux gonflables, musique, atelier dessins, pesée du jambon. Le principe de la journée c'est que tout le monde s'amuse donc on ne compte pas les points, pas de premier, pas de dernier.

Quels ont été les retours des MiniBasketteurs à la fin de cette journée ?

Nos MiniBasketteurs ont passé une très bonne journée avec des sourires et des étoiles dans les yeux. Les retours sont très positifs, ils font du basket toute la journée, ils s'amusent, ils ont des cadeaux et cela les pousse à rester dans le basket, à continuer de jouer dans leurs clubs et pour les non licenciés, que nous avons intégrés, cela les encourage à venir pratiquer cette discipline. Nous avons reçu le message d'un parent pour nous dire : "Merci ! Superbe journée, mon fils a des étoiles dans les yeux et dort avec la médaille". Ça met aussi en avant tous les efforts fournis.

Quels étaient vos objectifs pour cette nouvelle édition ? Ont-ils été remplis ?

L'objectif était de réussir un événement d'ampleur après des années covid compliquées. Nous souhaitions avoir sur site au minimum 400 enfants ce qui a été quasiment le cas, avoir 80% des clubs représentés et avoir une journée pleine d'émotions et de partage. Pour nous, cette édition est complétement réussie.

La Fête Nationale du MiniBasket a aujourd'hui 30 ans, que pouvons-nous vous souhaiter pour les années à venir ?

Pour les années à venir, nous souhaitons pérenniser l'évènement, cela reste le point central de la fin de saison pour les MiniBasketteurs du territoire ! Au vu des contraintes et des difficultés que l'on rencontre, a minima on aimerait pérenniser le format et au mieux développer les partenariats locaux et nationaux pour avoir une fête avec une plus grande ampleur encore. Nous souhaiterions développer l'axe avec le club professionnel de Boulazac et créer un partenariat avec le SMD3 pour transformer l'évènement en impact positif sur la planète et sensibiliser les jeunes sur les enjeux environnementaux.

Quel est votre plus beau souvenir lors d'une FNMB ou lors de cette édition ? Une anecdote ?

Nous avons de beaux souvenirs sur cette édition. Les secouristes présents sur place ont réalisé une quarantaine d'interventions avec des petits bobos et une petite entorse. À la fin de la journée, un enfant qui s'était blessé est venu taper dans la main des secouristes pour les remercier de l'avoir soigné. Ça représente bien le partage durant la journée et les valeurs que l'on souhaite transmettre. Un vidéaste était présent pour filmer des images en drone. Lorsqu'on a regroupé l'ensemble des participants et spectateurs pour faire une belle "ola", les gens étaient super contents. C'était beau de voir tout le monde se prêter au jeu et être heureux d'être présents.

Selon vous, qu'est-ce qu'une Fête réussie ?

Des sourires, des rires, de la joie, des enfants contents et surtout des moments de partage entre enfants, encadrants, organisateurs, arbitres, bénévoles. C'est tout cela, c'est une image que l'on renvoie aux gens, des bénévoles qui donnent de leur temps personnel pour la réussite de la journée. Nous avons des salariés comme moi, mais nous avons aussi besoin bien évidemment de beaucoup de bénévoles pour ces événements. Dans une société malheureusement de plus en plus individualiste, des gens prêts à donner du temps et s'investir, c'est aussi ça une fête réussie.

Page officielle de l'évènement.

#FNMB23

Cet événement vise à mieux informer, conseiller et orienter les sportifs de haut niveau, professionnels et semi-professionnels, en activité ou non, valide ou handi, sur les possibilités qui s'offrent à eux en termes d'emploi et formation.

La reconversion peut faire naître de nouvelles passions pour l'épanouissement personnel et professionnel, alors ne manquez pas la 2e édition du Salon Européen After Sport®.

Mercredi 14 juin 2023
De 9h30 à 18h00
En présentiel au Conseil Régional IDF -  Immeuble « Influence 2 » - 10 boulevard Victor Hugo 93 400 à Saint-Ouen-sur-Seine (93)

En distanciel via la plateforme digitale du salon pour ceux et celles qui ne peuvent pas se rendre sur place (l'URL de connexion vous sera envoyée quelques jours avant le Salon)

Participation gratuite - Inscription obligatoire en cliquant ici

Match de classement 5ème / 6ème place (16H00)

NM3 I BC Dyonisien – AS Dumbéa : 65 - 47 / Revoir le match

Début de match rugueux entre les formations ultra-marines. Saint-Denis profite de quelques contre-attaques pour rester à flots mais les débuts sont difficiles, tandis que Dumbéa appuie à l’intérieur et ses piliers offensifs, Aboubacar Doumbia et Edouard Esneu (8-9, 10'). Cela repart dans le bon sens pour les réunionnais en début de quart, avec 6 points à l’intérieur faciles. Dumbéa ne diminue pas le rythme tandis la Réunion temporise en attaque, sans pour autant baisser le régime sur transition. Un choix payant qui permet aux joueurs de Frédéric Payet de prendre l’avantage (31-17, 17’). Mais la vapeur va s’inverser au profit des néo-calédoniens. Saint-Denis baisse en régime, Dumbéa hausse le ton en attaque au point de revenir dans la course (46-43, 30’). S’en suit un quart-temps désertique après dix minutes intenses pour se retrouver à hauteur. L’adresse ne répond pas présente malgré les nombreuses tentatives derrière l’arc des hommes de Benjamin Guy. Le BC Dyonisien, à l’inverse continue sur le même rythme, dans le sillage d’un Octavio Da Silveira intenable (22 points).

NF3 I AS Fei Pi - La Tamponnaise BB : 45 - 64/ Revoir le match

Pour ce premier match de classement côté féminin, un duel 100 % ultramarin avec d’un côté les Tahitiennes de FEI PI et de l’autre les Réunionnaises de la Tamponnaise. Un début de rencontre timide pour les deux formations qui peinent à trouver de l’adresse. À la mi-temps, les équipes se quittent sur une parité parfaite 25-25. Au retour des vestiaires, la Tamponnaise  parvient à prendre l’avantage sur deux tirs consécutifs de Julie Lebian. En manque de réussite, les coéquipières de Mathilde Bayle sont en difficulté et subissent le réveil des filles de Romuald Tami-Tabeth . Surfant sur cette belle dynamique, les Réunionnaises parviennent à creuser l’écart sur un and one de Tanya Sinacouty propulsant son équipe à +11 (36-47, 29’). Malgré un dernier acte très disputé entre les deux équipes, avec de l’intensité et de l’agressivité, les tahitiennes ne parviendront pas à recoller au score débordé par l’activité offensive de leur rivale.

Demi-finales n°1 (18H30)

NM3 I Etoile de l’Ouest Pointe-Noire – Adour Dax Basket : 61 - 80 / Revoir le match

Opposition de style pour ouvrir les demi-finales de la division. Tandis que l’équipe guadeloupéenne mise sur son impact pour s’ouvrir le chemin du panier, Dax dynamite la défense par son jeu rapide avec Sébastien Dulouat pour mener la charge. Stratégie payante pour l’ADB que le groupe du Sud-Ouest va continuer d’imprimer minute après minute aux hommes de Patrick Serremes. Un momentum qui permettra au leader du groupe C de prendre le large (30-45, 20’). Le troisième quart fait office de ventre mou dans la rencontre sans grands changements d’avantage. Dax maintient la pression et Pointe-Noire ne réduit que très légèrement l’écart. Tout à coup, le tempo s’emballe dans le dernier acte. L’EDO Basket réduit l’écart à dix points en emportant le public avec lui pour inverser la tendance mais Dax met le holà. Avec les mêmes ingrédients qu’en début de match, les landais repartent tambour battant à la conquête de leur ticket pour la finale en creusant l’écart (58-78, 38’).

NF3 I Avenir Chalosse Basket – ASL Sport Guyanais : 66 - 31 / Revoir le match

Tombées contre d'Illkirch-Graffenstaden hier, l'ASL Sport Guyanais se sont tout de même qualifiées en demi-finale en étant repêchées. Face à elle, l’Avenir Basket Chalosse. Très bien rentrée dans leur match, les filles d’Armand Charles ont rapidement imposé leur rythme grâce au chantier dans la raquette de Cora Charles. Pour renverser cette tendance et ralentir le jeu guyanais, les chalossaises s'appuient sur leur collectif. Choix payant pour les joueuses d’Emmanuel Couralet, qui prennent l’avantage (13-8, 12’). Un écart qui ne va cesser de s'accroître au cours du second quart-temps (32-12). Comme en début de rencontre, les coéquipières de Pauline Cazenave se montrent très engagées et ont imposent leur jeu en réduisant l’écart. Mais ce n’était sans compter sur Manon Lascurettes qui  climatise la salle avec un gros and one +18, (36-18,25’). Ultra dominante en seconde période, Chalosse s’impose et file vers la finale du championnat.  

Demi-finales n°2 (21H00)

NM3 I Olympique Grande Synthe – Le Cannet Côte d’Azur : 73 - 79 / Revoir le match

Le premier acte du dernier affrontement de la journée a clairement donné le ton de la rencontre. Deux équipes de prestige, à la densité XXL, pour un duel yeux dans les yeux. Grande Synthe ouvre les hostilités, le Cannet répond tout de suite. Le défi physique est de taille. L’ancien espoir de Dijon et Chalon, Julien Petiteau est au four et au moulin, permettant aux azuréens de tenir tête de deux unités aux bleus et jaunes (13-15, 10’). Toutefois, le club des Alpes-Maritimes laisse trop de deuxièmes chances sur rebond offensif, l’OGS s’en saisit. Omar Top, si précieux offensivement, permet une échappée de Grand Synthe (26-21,15’). L’affrontement est tendu, le Cannet reste derrière d’un rien mais Milan et pour finir Tornato au buzzer, offre à leur équipe une chance de titiller les nordistes d’un plus en plus près (34-31, 20’). S’en suit un yo-yo perpétuel pour la tête du match. Poilly s’enflamme par deux fois pour redonner les clés au Cannet (36-40, 25’). Benjamin Manier l’imite côté Grande Synthe (49-43, 27’), une chanson qui se répétera maintes et maintes fois. Ce jeu du chat et de la souris continuera jusqu’à l’intervention de Petiteau dans le trafic avec la faute dans la dernière seconde suivi d’un contre décisif de Madiop Ndiaye sur la planche pour sceller le sort de Grande Synthe.

NF3 I AL Meyzieu – S.I. Graffenstaden : 54 - 46 / Revoir le match

La fougue de la jeunesse strasbourgeoise face à l’expérience meyzienne, voilà de quoi clôturer les demi-finales de Nationale Féminine 3. Une rencontre qui démarre sur les chapeaux de roue, emmené par une Manon Von Back en feu (3/3 à trois points), les Alsaciennes ont rapidement pris les devants (5-11, 6'). Profitant du manque de réussite de son adversaire, les joueuses de Steve Blanchong ont continué de creuser l’écart (19-28, 20'). Touchées dans leur égo, les vertes et blanches réalisent un gros run au retour des vestiaires leur permettant de revenir à une petite unité (27-28, 24’). En difficulté, l’avant-garde strasbourgeoise n’a pas réussi à contenir la rage offensive de Caroline Aubert, qui d’une flèche salvatrice donne l’avantage pour la première fois de la rencontre à son équipe (34-33). Un avantage qui restera du côté de Meyzieu jusque-là fin de la rencontre. Les Alsaciennes auront tout donné en cette fin de match pour revenir au score, mais la marche a été trop haute pour la jeune délégation. L’AL Meyzieu rejoint ainsi Chalosse pour la finale de Nationale Féminine 3. 

Programme des Finales NM3/NF3 - Lundi 29 mai 2023 :

11H00 - Match pour la 3^ème place NF3 : ASL Sport Guyanais – S.I. Graffenstaden

11H00 - Match pour la 3^ème place NM3 : Etoile de l’Ouest Pointe-Noire – Olympique Grande Synthe

13H15 – Finale NF3 : Avenir Chalosse Basket – AL Meyzieu

15H30 – Finale NM3 : Adour Dax Basket – Le Cannet Côte d’Azur

L'ensemble des rencontres des Finales à 6 de NM3 et de NF3 est à suivre en direct sur la chaîne YouTube de la Ligue Ile de France de BasketBall.

Aujourd'hui, direction Bastia, en Corse (20), à la découverte de l'organisation mise en place par la Ligue régionale et le club de Bastia.

Propos recueillis auprès d'Anne Luciani, Présidente de la Ligue Corse.

Dans le département de la Corse, que représente le MiniBasket (nombre d'Ecoles Françaises du MiniBasket, licenciés, historique, futur, etc.) ?

Le MiniBasket en Corse représente une part importante de nos licenciés puisqu'elle est de 35%. En effet, sur nos 1 330 licenciés, 458 d'entre eux sont âgés de 4 à 11 ans.
En revanche, concernant les Ecoles Françaises du MiniBasket labellisées, nous sommes les mauvais élèves puisque nous n'en avons aucune. Par le passé, nous en avons eu 2 qui n'ont pas renouvelé donc cela s'est arrêté. C'est à nuancer, j'ai l'habitude de dire que nous sommes la plus petite Ligue au monde. En Corse 11 de nos 12 clubs pratiquent le MiniBasket, même si aucune école de MiniBasket n'est labelisée.

Le club de Bastia, qui était chargé de l'organisation de la FNMB cette année, a pour ambition de faire labelliser l'année prochaine son école de MiniBasket. La Ligue a la volonté de l'accompagner vers cet objectif. Evidemment, à long terme, nous aimerions que chacun de nos 12 clubs dispose d'une véritable école de MiniBasket, labellisée ou non. Nos clubs sont tous gérés par des bénévoles et il est parfois difficile pour certains de se projeter dans la labélisation, étant donné les contraintes auxquelles chacun doit faire face, notamment au niveau du temps.

Notre vision est essentiellement tournée vers le développement de notre sport chez les jeunes, ils sont l'avenir du basket-ball.

En quoi la Fête Nationale du MiniBasket est-elle importante dans votre département ? Combien de personnes rassemble-t-elle en comprenant les bénévoles, les licenciés, les spectateurs/parents, etc. ?  

Il y a un véritable historique autour du rassemblement du MiniBasket. En effet, avant que la Fête Nationale du MiniBasket soit institutionnalisée par la FFBB. A Corte, un homme, fondateur du club local, organisait chaque année au mois de mai un rassemblement de tous les MiniBasketteurs Corses. C'était en plein centre-ville, des terrains étaient montés partout pour l'occasion et on en parle encore aujourd'hui. Corte a perpétué ce tournoi auquel le nom de cet homme a été donné, Raymond Montet, après sa disparition tragique en 1983. C'était une FNMB avant l'heure !

Aujourd'hui, la FNMB reste un vrai moment de convivialité et de rassemblement qui permet de réunir tous les MiniBasketteurs et tous les bénévoles des clubs qui ont l'habitude de s'occuper de ces petits.

Cette année 152 enfants étaient présents, 101 au niveau du BabyBasket et MiniBasket et 51 pour les moins de 11 ans (filles et garçons) représentant 28 équipes au total. Cette journée n'aurait pas été possible sans nos 25 bénévoles, le même nombre d'éducateurs et la participation des 6 clubs présents.

L'atelier dessins a super bien marché, je n'en revenais pas. Deux bénévoles, ayant l'habitude de travailler avec les enfants, ont animé cet atelier toute la matinée. Les enfants se sont éclatés, ils rigolaient entre eux, ils faisaient leurs dessins. Ensemble, ils discutaient sur ce qu'ils souhaitaient créer.

A quelle période de l'année commencez-vous les préparatifs pour l'organisation de la Fête ? Combien de personnes sont impliquées ? Comment faites-vous le relais avec les clubs ?

Au début du mois de janvier, nous lançons un appel à candidature pour les clubs qui souhaitent organiser et recevoir la FNMB. Dès que l'attribution est faite mi-février, nous travaillons ensemble avec le club organisateur (cette année Bastia), pour la réussite de cette journée. C'est un véritable partenariat entre la Ligue, qui gère la partie administrative (commande des récompenses, remplissage du dossier, etc.), et le club, plutôt sur la partie logistique (mobilisation des clubs et de leurs jeunes U15, U17, U18 pour venir encadrer les Mini ; l'installation du gymnase ; etc.).

Pour avoir une idée du nombre d'enfants attendus, nous comparons le nombre de licenciés et le taux de participation aux journées Baby et MiniBasket organisées tout au long de l'année.

Une contrainte locale que nous avons, c'est que certains éducateurs sont également des travailleurs saisonniers et sont indisponibles dans leurs clubs à partir de la mi-avril, quand démarre la saison touristique, puisqu'ils sont employés dans des bars, restaurants, hôtels, campings, paillotes, magasins, agences de location, etc.).

Ces évènements qui se déroulent sur une ou plusieurs journées entre mai et juin dans toute la France sont aussi rendus possible grâce aux partenaires, qu'avez-vous pu mettre en place à leurs côtés ?

Notre partenariat principal a été avec la ville qui nous a mis à disposition la salle et les infrastructures gratuitement. Nous n'en parlons pas souvent et pas suffisamment mais c'est ce ce partenariat avec les Collectivités locales qui nous permet aussi de faire vivre notre sport et de le développer.

Quels ont été les retours des MiniBasketteurs à la fin de cette journée ?

Les enfants sont repartis avec pleins de cadeaux, on ne lésine jamais sur ce point ! Ils semblaient très contents. En plus des cadeaux fédéraux (diplôme, médaille, livret, etc.), la Ligue a offert, a chaque participant, un tee-shirt FNMB et une coupe avec l'inscription Fête Nationale du MiniBasket 2023.

Nous avons également fait le choix cette année de leur distribuer les bracelets de fidélisation pour les récompenser de leurs années de basket, l’orange pour les Baby et le bleu pour les Mini avec une nouvelle couleur chaque année en fonction de leur expérience dans le basket. Nous n'avons pas réussi à implanter dans les clubs la fidélisation de ces bracelets donc cette année nous avons pensé que c'était peut-être une manière d'amorcer les choses pour pérenniser l'engagement de nos jeunes.

Des enfants qui ne cessaient de dire merci, qui se sont bien amusés et des parents qui ont tenu à venir nous remercier avant de partir en nous disent : "C'était super, merci, ils sont contents, ils ont passé une belle journée". Ce n’est rien, mais nous, ça nous fait vraiment plaisir.

Quels étaient vos objectifs pour cette nouvelle édition ? Ont-ils été remplis ?

Nous n'avons pas réussi à atteindre notre objectif de participants, notamment avec les clubs du sud et cela pour plusieurs raisons. Auparavant, il y avait 2 départements la Haute-Corse et la Corse-du-Sud avec 6 clubs chacun soit 12 au total. Cette année 5/6 clubs de Haute Corse et 1/6 clubs de Corse du Sud étaient présents. Donc l'objectif du rassemblement général n'est pas atteint. Pour cette édition, à Bastia, les Ajacciens avaient environ 3h de route pour se venir à la FNMB. Nous savons que l'année prochaine nous devons retrouver un point central pour faciliter la venue de tout le monde, sûrement là où tout a commencé, à Corte.

Ce même weekend se déroulait également le final four U13 et dans beaucoup de clubs certains U11 sont surclassés. Cela faisait 2 déplacements dans le weekend et c'est parfois compliqué à gérer pour les familles et les clubs. Il nous faudrait plus de weekends au mois de mai pour pouvoir caser tous les évènements que nous souhaiterions mettre en place !

Cette année le partenariat n'était pas possible à Corte car le club n'avait aucun licencié en MiniBasket.  Si le tournoi se retrouvait à nouveau là-bas, l'an prochain, la Ligue devrait l'organiser entièrement. Nous allons en discuter avec l'ensemble des clubs Corse lors de notre Assemblée Générale pour avoir les points de vue de chacun et trouver des solutions pour faire remonter le taux d'affluence. Après cela nous définirons notre politique au niveau de la FNMB mais notre but est de lui faire retrouver son attractivité régionale.

La Fête Nationale du MiniBasket a aujourd'hui 30 ans, que pouvons-nous vous souhaiter pour les années à venir ?

On ne travaille pas sur des chiffres importants comparé aux autres départements, on reste à notre niveau mais c'était véritablement une belle journée. Le club organisateur était content du partenariat, qui était une première pour eux.

A l'avenir, nous souhaiterions trouver un site fédérateur pour implanter de manière pérenne cette fête et pour obtenir l'adhésion de tous les clubs. Il est essentiel pour nous de réussir à rassembler tous nos MiniBasketteurs sur un même lieu. Si on veut que ce soit une fête pour les enfants, il faut que tout le monde soit là. C'est en organisant ce type de rassemblement que l'on fidélisera les enfants au basket. S'ils sont contents lors de la journée, à la rentrée prochaine ils auront envie de revenir.

Il est important aussi que les clubs se rencontrent et face la fête ensemble autour de leur passion. Cette année était une journée réussie mais cela laisse un sentiment de "pas fini" étant donné que tous les clubs n'ont pu être présents. Toutefois, nous sommes convaincus que nous pouvons progresser dans les années à venir pour rendre cette Fête encore plus belle.

Quel est votre plus beau souvenir lors d'une FNMB ?

Un souvenir qui m'avait beaucoup amusé, c'était à Corte. Les tous petits jouaient sur le terrain principal, et d'un coup, un petit garçon qui était sur le terrain, se tourne et me vois assise à une table en train de gérer l'organisation. Il a tout plaqué, le terrain, les copains, le match pour venir me dire : "Anne je suis là, je joue, tu as vu ?" ; il était tout content. Ce petit garçon s'appelait Raymond Montet, c'était le petit-fils du fondateur du club et du tournoi de Corte. Ces enfants-là, ce qui était important pour eux c'était de montrer qu'ils étaient là, que la fête soit sympa et qu'ils repartent avec le sourire et des cadeaux. C'était une jolie pérennisation du nom de son grand-père et de l'activité.

D'autres moments que je me remémorerai toujours, ce sont les souvenirs de Corte avec 300 enfants présents sur toute la journée. Par rapport à la Corse qui a 1 200 licenciés en moyenne sur les 15 dernières années, c'était une jolie fête.

Selon vous, qu'est-ce qu'une Fête réussie ? 

Tous les clubs présents, les enfants contents et les parents qui viennent pour les encourager. Avoir l'adhésion de tous les clubs ayant du MiniBasket est essentiel pour nous.

En termes d'organisation nous souhaitons également montrer que, pour les Baby et Mini, des ateliers autour du basket sont aussi bien que des matchs : parcours avec des échelles, dribbles entre les plots, ateliers de dextérité, jeu de l'oie piloter par des plus grands (U13, U15, U17). Cela leur permet de se développer en tant que joueur et d'acquérir les fondamentaux.

Page officielle de l'évènement.

#FNMB2023

Les Éco-Games, c’est quoi ?
Créés en 2007 par l’association SVPlanète, les Éco-Games, c’est un concept alternatif d’événements sportifs au service de causes environnementales et sociétales. En d’autres termes, l’objectif n’est pas tant la performance sportive, mais plutôt le lien social, le bénéfice santé et l’impact positif qu’elle peut générer sur l’environnement.

Pour cette édition 2023, MAIF s’associe à cette semaine d’événements afin de leur donner une ampleur supplémentaire en fédérant toujours plus d’acteurs (sportifs, amateurs, fédérations, associations et grand public) autour de 3 thématiques : l’eau, l’écomobilité et les forêts. La surfeuse internationale Justine Dupont, accompagnée depuis 2020 par MAIF dans la mise en œuvre de son engagement environnemental, sera la marraine de l’événement.

Vous n'êtes pas sur Paris du 5 au 11 juin ?
Chacun pourra participer aux Éco-Games Sport Planète, où qu’il soit, au travers d’un challenge connecté et grand public. Chaque panier compte ! Ils seront transformés en arbres à planter en Île-de-France, afin de ré-enforester la capitale et ses alentours. Objectif : jusqu’à 3 000 arbres ! 

Infos et programme des Éco-Games sur le site entreprise MAIF

Affiche officielle de l'évènement

U15 féminines
A Roquebrune, la CTC Eurometropole Strasbourg coachée par l'ancien international Bruno Hamm a dominé en finale l'Angers UFB49 dans les dernières secondes. Dans le sillage du duo Manon Greusard - Eva Bach (46 pts), les Alsaciennes ont largement dominé le troisième quart-temps (+16) avant de se faire des frayeurs en fin de match.

U18 féminines
Mondeville, surpris en Coupe de France, a cette fois imposé sa loi sur la catégorie. +19 en demi-finale, +31 en finale contre Basket Landes, les Normandes n'ont pas tremblé et conclu une saison immaculée en championnat : 22 victoires en autant de matches.

U15 masculins
41-12 après dix minutes ! La finale du championnat de France a rapidement trouvé son vainqueur, l'ASVEL ayant étouffé la CTC Sud Basket 93. Avec 72 points inscrits à la pause et six joueurs à plus de dix points, la domination des Rhodaniens aura été totale.

U18 masculins
Le BCM Gravelines a signé une saison régulière quasi parfaite (23-1) lors des deux premières phases de groupe et au Final Four, les Nordistes ont dominé Cholet (+18) puis Strasbourg (+9) grâce notamment à l'impact du Belge Ayuba Bryan Jr et de Roman Domon (43 pts).

Aujourd'hui, direction Pau, dans les Pyrénées-Atlantiques (64), à la découverte de l'organisation mise en place par le Comité Départemental 64 pour cette 30ème édition.

Propos recueillis auprès de Karine Sorrondegui, Conseillère Technique Fédérale (CTF) du 64.

Dans le département des Pyrénées-Atlantiques, que représente le MiniBasket (nombre d'écoles françaises du MiniBasket, licenciés, historique, etc.) ?

Le MiniBasket dans le 64 occupe une place importante ! En effet, 41 écoles de basket, plus de 20 clubs labellisés dans le 64 et 8 au niveau national. Plus de 2300 licenciés au niveau U7, U9 et U11 représentant un tiers des licenciés dans le département. Une commission Mini composée de salariés du Comité, d'élus et de bénévoles de clubs. De nombreuses actions en faveur des petits : organisation de 3 plateaux écoles de basket, mise en place d'un championnat appelé "Rencontres U9" car il n'y a pas de classement ni de phases finales, seul le plaisir de jouer compte, le MiniBasket grand Noël réservé aux U7, la FNMB, la formation Brevet Fédéral Enfants à destination des coachs des écoles de basket.

En quoi la Fête Nationale du MiniBasket est-elle importante dans votre département ? Combien de personnes rassemble-t-elle en comprenant les bénévoles, les licenciés, les spectateurs, etc. ? 

La Fête du MiniBasket est le rendez-vous incontournable de nos écoles de basket. Il marque la fin de saison et cela nous permet de rassembler sur un seul site tous les clubs représentés par leurs U7 et U9. Plus de 50 bénévoles ont œuvré toute la journée (le 1er mai) que ce soit à la mise en place, la tenue et animation des ateliers, l'arbitrage ou la restauration. La Fête a lieu à la Foire Expo de Pau, c'est un grand hall permettant d'installer 16 terrains sur lesquels ont pu évoluer les 456 enfants accompagnés d'environ 1 000 parents.

A quelle période de l'année commencez-vous les préparatifs pour l'organisation de la Fête ?

Nous commençons les préparatifs dès le mois de février mais la dernière ligne droite débute fin mars. Toute la journée une cinquantaine de bénévoles sont présents accompagnés par des élus, salariés du Comité, jeunes arbitres de clubs et une soixantaine d'éducateurs. 

Ces évènements qui se déroulent sur une ou plusieurs journées entre mai et juin dans toute la France sont aussi rendus possible grâce aux partenaires, qu'avez-vous pu mettre en place à leurs côtés ? 

La Mie Câline nous a fourni des cookies qui ont été distribués aux enfants et à leurs coachs. MAIF a contribué à l'achat de pommes provenant d'une productrice locale. Un stand MAIF était également présent le jour J animé par la délégation MAIF de Pau avec des jeux ainsi qu'une éco-box pour recycler les articles de sport qui ne sont plus utilisés. 

Quels ont été les retours des MiniBasketteurs à la fin de cette journée ?

Les retours sont très positifs, l'engouement pour cette Fête est toujours aussi fort. Un grand bravo à tous les participants qui ont montré leur passion pour le Basketball, leur esprit sportif et leur engagement en faveur de cette discipline en pleine évolution dans les Pyrénées-Atlantiques.

La Fête Nationale du MiniBasket a aujourd'hui 30 ans, que pouvons-nous vous souhaiter pour les années à venir ?

La même ferveur, le même engouement !

Quel est votre plus beau souvenir lors d'une FNMB ?

Chaque fête nous apporte son lot de surpris. Cela fait 30 ans que je fais la fête en tant qu'entraîneur, puis maman, puis CTF et chaque fête est différente ! Le principal est la joie des enfants qui passent une journée au top avec leurs copains !

Selon vous, qu'est-ce qu'une Fête réussie ?

Des enfants qui jouent, qui rient ! Des entraîneurs qui échangent entre eux, des bénévoles motivés pour faire en sorte que la fête soit belle, une coopération entre tous les salariés du Comité, élus, bénévoles de clubs.

Page officielle de l'évènement

#FNMB2023

Par une décision du 28 mars 2023 et conformément à l’article 56 des règlements de la Ligue Nationale de Basket, le Conseil Supérieur de Gestion a prononcé à l’encontre de la SASP ASVEL BASKET :

- Un retrait de deux (2) victoires au classement du Championnat de France BETCLIC ELITE pour la saison 2022/2023 ;
- Une amende d’un montant de 100 000 €.

Conformément aux dispositions de l’article 924 des Règlements Généraux de la FFBB, le club a régulièrement interjeté appel de la décision devant la Chambre d’Appel – section financière, et la LNB a formé un appel incident.

Réunie le 18 avril 2023 au siège de la FFBB, la Chambre d’Appel – section financière a décidé, après audition des parties, de :

Réformer partiellement la décision du Conseil Supérieur de Gestion du 28 mars 20

De prononcer à l’encontre de la SASP ASVEL BASKET :

• Un retrait d’une (1) victoire au classement du Championnat de France BETCLIC ELITE pour la saison 2022/2023 ;
• Une amende d’un montant de 100 000 €.

Le club a la possibilité de contester cette décision auprès du Tribunal Administratif. Préalablement à cette saisine, un recours est obligatoire auprès du Comité National Olympique et Sportif Français, dans un délai de quinze (15) jours conformément à l’article R. 141-15 du Code du sport.

Ce relevé de décision est rendu public conformément à l’article L.132-2 alinéa 4 du Code du Sport.

Après avoir partcipé à un échauffement orchestré par Yann Julien, le sélectionneur de l'Equipe de France féminine de 3x3, les 67 participants ont foulé le parquet de la prestigieuse salle parisienne pendant près de deux heures. A l'issue de ce tournoi c'est l'équipe de RMC qui a remporté le titre en battant la squadra Ferrero en finale, succédant ainsi à l'équipe de Nike vainqueur en 2022.

Tous les résultats

Trois joueuses tricolores ont été draftées la nuit dernière lors de la draft WNBA organisée à New York. Après un cursus dans la prestigieuse fac de UConn, et dont les performances l'ont révélé ces derniers mois au grand public, Lou Lopez Sénéchal a été appelée en 5ème position par les Dallas Wings. Dernière joueuse du 1er tour draftée en 12ème position, l'intérieure de Villeneuve d'Ascq Maia Hirsch a elle été appelée par Minnesota. Enfin, une ultime tricolore figure dans cette édition 2023 de la draft WNBA, il s'agit de Kadiatou Sissoko (USC), draftée par Phoenix Mercury.

Les Françaises draftées en WNBA

 

 

 

 

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Créée en 1994, la Fête Nationale du MiniBasket réunit chaque année des enfants de 6 à 11 ans, sur chaque département français. Pendant 2 mois, du 1er mai à la fin juin, chaque Comité Départemental de Basket organise sur son territoire une ou plusieurs Fêtes. C'est le véritable temps fort de fin de saison pour le MiniBasket. Cette saison est marquée par le record historique du nombre de licencié(e)s MiniBasketteurs (178 716 licencié(e)s au 30/03/2023). 

Calendrier (PDF)

Pendant 2 mois, plus de 100 000 enfants participent à des tournois et révisent les fondamentaux du basket sur des ateliers. Tout au long de la journée, des défis et concours leurs sont également proposés. Pour cette 30ème édition, un grand concours national de dessin sur le thème du MiniBasket sera organisé sur les sites, l'occasion pour les MiniBasketteurs d'exprimer leur créativité.

La FNMB est un moment de convivialité où toute la famille basket se retrouve : enfants, parents, arbitres, dirigeants, bénévoles, salariés.

En fin de journée, tous les enfants sont réunis pour la traditionnelle remise des récompenses ! Ils reçoivent tous la même dotation offerte par les Partenaires de la Fête.

Les Partenaires de la FNMB 2023 :
     - Kinder Joy of Moving - Partenaire Officiel du MiniBasket
     - MAIF
     - Caisse d’Epargne
     - Les Editions Nathan
     - La Mie Câline
     - SlamDeck

Agnès FAUCHARD - Présidente de la Commission Fédérale Jeunesse

"Cette année 2023 va fêter les 30 ans d’existence de la Fête Nationale du MiniBasket. Que de chemin parcouru depuis sa création !

La FNMB est devenue le rendez-vous incontournable des MiniBasketteurs : journée de basket qui, au-delà du jeu, est la fête de la convivialité, du respect, du plaisir de jouer ensemble, de l’amitié et du fair-play… autant de valeurs que cette manifestation véhicule depuis sa création.

Je voudrais remercier tous les Comités et leurs équipes de bénévoles qui œuvrent pour que ce rassemblement soit le plus beau possible, et que, durant cette journée, toute la famille Basket se retrouve autour de nos jeunes pousses.

Nos MiniBasketteurs n’ont jamais été aussi nombreux…nos partenaires sont toujours fidèles…alors que cette 30ème édition soit une très belle réussite dans tous nos Comités !

Vive le MiniBasket !"

Plus d'infos sur la page officielle de l'évènement.

#FNMB2023