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Ligue Féminine

Le Trophée (enfin) pour Basket Landes

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Ce vendredi, la Ligue Féminine a fait son grand retour avec son traditionnel Match des Champions. Une rencontre de gala qui voyait s’affronter le vainqueur de la Coupe de France Basket Landes et le Champion de Ligue Féminine LDLC ASVEL Feminin. Une rencontre rappelant la dernière finale de Coupe de France, mais avec deux équipes totalement remaniées. Ce Match des Champions allait être l’occasion de départager ces deux équipes. Après deux finales consécutives perdues, les coéquipières de Kendra Chery comptaient bien inverser la tendance. De leur côté, les Lyonnaises voulaient ramener une nouvelle fois ce trophée, après leur sacre en 2019 face à Bourges.

A l’inverse du début de match frustrant de la Coupe de France, les deux équipes rentrent parfaitement dans leur rencontre à l’image du premier panier de la rencontre inscrit par la jeune Justine Mouyokolo. Si les Lyonnaises semblent donner le ton du match en multipliant les pénétrations dans la raquette, un shoot à longue distance de Geiselsöder rééquilibre les débats. Très adroites en ce début de match, les Landaises prennent rapidement l’avantage (14-8, 6’) après un énième rebond offensif de la capitaine Clarince Djaldi-Tabdi. Les innombrables pertes de balles des coéquipières d’Alexia Chery permettent aux joueuses de Julie Barennes de créer le premier vrai écart du match (20-10,9’). Meilleure scoreuse dans ce début de rencontre avec 6 unités Hélèna Ciak, permet à son équipe de rester au contact (21-13,10’). 

Le second quart-temps démarre en trombe. Agressives et combattantes, les filles de David Gautier rattrapent leur retard après une contre-attaque menée par l’ancienne landaise Marine Fauthoux (24-21, 15’). Un sursaut d’orgueil de Marie Pardon and co permet à Basket Landes de distancer une nouvelle fois son adversaire du soir (29-21, 16’). Nouvelle venue dans l’effectif de Mont-de-Marsan l’ancienne angevine Alexis Peterson continue de guider d’une main de maître son équipe (39-29, 20’). 

Au retour des vestiaires, le match reprend son rythme de croisière, les deux équipes se rendent coup pour coup. Le duo infernal Peterson-Salvadores continue son festival offensif cumulant 26 points. Les bonnes séquences collectives s’enchaînent et Basket Landes creuse un peu plus le score (52-36, 25’). Une flèche de Marine Fauthoux (15 points) semble freiner l’hémorragie, mais rien n’y fait, la réponse fut immédiate de la part de Samantha Fuehring. En manque de solutions et privés de bons nombres de leurs cadres, les Lyonnaises se réfèrent à leurs tirs extérieurs pour tenter de recoller au score en vin (61-46, 29’).

Le dernier acte ne change en rien l’issue finale du match, les Landaises s’imposent 77-60. Pour la première fois de son histoire, Basket Landes remporte le Match des Champions, un succès après lequel, elles couraient depuis près de trois ans. Angela Salvadores est élue MVP de la rencontre compilant 18 points,  6 passes décisisives 2 rebonds et 1 interception. Place désormais au championnat de LFB.

Basket Landes bat ASVEL Féminin : 77-60

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Surtitre: 
MATCH DES CHAMPIONS LFB
Auteur: 
À Paris, Nelly Sellah (FFBB)
Date d’écriture: 
Vendredi, 15. Septembre 2023
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Après deux finales consécutives perdues en 2022 et 2021, les joueuses de Julie Barennes ont remporté pour la première fois de leur histoire, le traditionnel Match des Champions LFB face à Lyon (77-60).
crédit: 
Quentin Laborde
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Une saison encore plus visible et passionnante

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Toutes les forces vives du championnat étaient réunies ce midi dans un hôtel parisien pour lancer officiellement la nouvelle saison LFB. L’occasion de dresser un bilan de l’exercice passé mais surtout de présenter les nouveautés d’une saison 2023-2024 qui s’annonce passionnante.
 
Jean-Pierre SIUTAT, président de la Fédération Française de BasketBall, a tenu à revenir sur les excellents résultats des Équipes de France féminines cet été. Trois médailles ont récompensé les parcours à l’Euro des séniors (bronze), U20 (or) et U16 (or) : « On sort d’un très bel été pour le basket féminin. Il y a une continuité, on essaye de produire des joueuses pour l’avenir ».
 
Cette saison, la LFB verra son exposition médiatique prendre une nouvelle dimension. Tout d’abord avec Sport en France, la chaîne gratuite du mouvement sportif qui, par la voix de son directeur Romain SCHINDLER, a dévoilé un dispositif renforcé, notamment avec le soutien des clubs de LFB : « Nous sommes heureux de diffuser en clair et gratuitement encore plus de LFB avec un match par journée de saison régulière et la totalité des playoffs ». Soit jusqu’à 38 matchs auxquels viendront s’ajouter des émissions mensuelles tout au long du championnat.
Annoncé il y a quelques jours, le partenariat entre SKWEEK et la FFBB vient compléter l’offre de diffusion de la Ligue Féminine avec également une rencontre par journée sur la plateforme et tous les playoffs en co-diffusion aves Sport en France. Cyril MÉJANE, directeur éditorial et des contenus, a notamment indiqué qu’avec cet accord, « toutes les compétitions nationales seront présentes sur SKWEEK, pour le plus grand plaisir des fans du basket français ».
 
La directrice de la Ligue Féminine de BasketBall, Yannick SOUVRÉ, a présenté les nouveautés de la saison. Sur le volet digital, « l’ouverture du compte TikTok de la LFB doit permettre de parler à un public plus jeune » puis dans le cadre de l’amélioration de l’expérience spectateur, « la Ligue a souhaité mettre en place un protocole d’avant match. Celui-ci sera accompagné d’un hymne qui doit aider à l’identification de notre ligue auprès du grand public ».
 
Yannick SOUVRÉ a ensuite dévoilé la thématique sociale de la saison : la sensibilisation à la maladie de l’endométriose. Cécile TOGNI-PURTSCHET, présidente d’Info-Endométriose, a fait part de sa fierté « d’être aux côtés de la LFB, de ses clubs et ses joueuses. Ensemble, mobilisons-nous pour que l’endométriose soit connue, reconnue et combattue ». Sandrine GRUDA, ambassadrice pour le milieu du sport de l’association, a ensuite témoigné de son combat contre la maladie : « J’ai une forme légère de l’endométriose mais des femmes ont des douleurs tout le temps »
Le soutien de la Ligue Féminine de BasketBall à cette cause se matérialisera notamment par l’EndoTour LFB dont chaque club accueillera une étape au cours de la saison lors d’un de ses matchs à domicile.
 
La première journée de la saison 2023/2024 est prévue le samedi 23 septembre avec 5 matchs puis le dimanche 24 lors duquel sera diffusé Bourges - Basket Landes (15h15 sur Sport en France).
 
Programmé ce vendredi soir à 20h30 à la Halle Carpentier (Paris - 13), le Match des Champions LFB 2023 se jouera devant plus de 2 500 spectateurs.
Catégorie: 
Surtitre: 
Opening LFB 2023
Auteur: 
Photo : Quentin Laborde/FFBB
Date d’écriture: 
Vendredi, 15. Septembre 2023
Vignette: 
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Avant le Match des Champions LFB, qui se jouera ce soir à Paris, la Ligue Féminine de BasketBall a réuni un parterre de journalistes en présence de joueuses des 12 clubs, des entraîneurs et des président(e)s pour sa traditionnelle conférence de presse de rentrée. Le coup d’envoi de la saison 2023-2024 a été donné. Elle est placée sous le signe de la visibilité et de la performance à quelques mois des Jeux de Paris 2024.
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Le match en direct sur Sport en France, Skweek et YouTube

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Il sera difficile de manquer le Match des Champions LFB 2023 entre Lyon et Basket Landes ! Cette rencontre qui se déroulera ce vendredi à Paris sera co-diffusée simultanément sur la chaine Sport en France et la plateforme Skweek.

Sur la chaine du mouvement sportif vous retrouverez aux commentaires Lukas Nicot accompagné de l'ancien international tricolore, Frédéric Weis, pour près de deux heures de direct. Frédéric Mazeas et Melissa Diawakana animeront de leur côté la diffision pour Skweek. Vous n'aurez qu'à faire votre choix de commentateurs.

Vous pourrez également suivre le match sur la chaine Youtube de la FFBB et au plus près de l'action sur les réseaux sociaux de la Ligue Féminine de Basketball (Facebook, X, Instagram et Tik Tok).

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Surtitre: 
Match des Champions LFB 2023
Date d’écriture: 
Mercredi, 13. Septembre 2023
Vignette: 
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Le Match des Champions LFB 2023, qui se déroulera ce vendredi à Paris, sera co-diffusé en direct à partir de 20h30 sur la chaine gratuite Sport en France, sur la plateforme Skweek et sera disponible sur la chaine YouTube de la FFBB. Un couverture médiatique exceptionnelle pour le premier rendez-vous de la saison de Ligue Féminine.
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Basket Landes vs Lyon pour le premier titre de la saison

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Qui succèdera à Bourges cette année et soulèvera le premier trophée de la saison 2023-2024 ? D’un côté, Lyon, champion de France en titre et vainqueur de l’Eurocoupe 2023. Un bilan exceptionnel pour le club rhônalpin qui souhaite surfer sur cette dynamique pour remporter son deuxième Match des Champions LFB après 2019. Malgré l’absence de ses joueuses WNBA (Johannes et Williams), le technicien David Gautier pourra s’appuyer sur un groupe qui se connait déjà très bien, avec seulement deux recrues durant l’intersaison. Endy Miyem en provenance de Bourges et Marine Fauthoux qui revient après deux ans de prêt à Basket Landes. La jeune meneuse de 22 ans retrouvera donc une partie de ses anciennes coéquipières vendredi.

En face, Basket Landes, vainqueur des deux dernières éditions de la Coupe de France. Après deux défaites en 2021 et 2022, le club landais espère bien remporter le Match des Champions LFB cette année, pour la première fois de son histoire. Contrairement à Lyon, l’effectif landais a été largement remanié cet été avec neuf départs, compensés par huit arrivées. La principale recrue reste sans aucun doute Alexis Peterson, une des meilleures meneuses du championnat qui évoluait sous les couleurs d’Angers la saison dernière.

Pour suivre le Match des Champions LFB, plusieurs solutions s’offrent à vous. Même si la Halle Carpentier sera bien garnie, il reste encore quelques places disponibles. Réservez vos places sur le site billetterie, il n’y en aura pas pour tout le monde. La rencontre sera également à suivre en direct sur la chaîne Sport en France, mais aussi sur la plateforme Skweek et la chaîne YouTube de la FFBB.

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Surtitre: 
Match des Champions LFB 2023
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Mardi, 12. Septembre 2023
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Catégorie 2: 
Chapeau: 
Ce vendredi 15 septembre à Paris - Halle Carpentier (20h30), la Ligue Féminine organise son traditionnel Match des Champions qui opposera cette année Lyon à Basket Landes. L’occasion pour ces deux formations de remporter le premier trophée de leur saison avant même le début du championnat prévu une semaine plus tard
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En Vendée, prudence et ambition

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Prudent, mais ambitieux ! Voilà l’état d’esprit d’Emmanuel Body avant le début de la saison 2023-2024.  « À la Roche-sur-Yon, on est toujours dans les derniers en termes de budget. Il ne faut pas se tromper de combat. La priorité, c’est d’en mettre quatre derrière nous le plus vite possible ». L’entraineur vendéen ne s’enflamme pas, mais garde toujours les playoffs dans un coin de la tête, s’appuyant sur une belle saison 2022-2023. « On va essayer de reproduire ce qu’on a fait la saison dernière. Si on avait réussi à battre Lattes Montpellier en quarts, on aurait joué une demi-finale à La Roche et finit dans les quatre meilleurs, ça ne s’est pas joué à grand-chose... Si on arrive à intégrer le top 6 et titiller les meilleurs, en championnat et aussi en Coupe de France, ce serait génial ».
 
Des ambitions donc, malgré un début de saison particulièrement corsé avec deux oppositions contre Basket Landes et Lyon, pour commencer. « Si la logique est respectée, on doit commencer par un 0-2. Mais malgré tout, c’est un peu plus simple de les jouer en début de saison. Les joueuses WNBA ne seront pas toutes rentrées. Si on a une chance de les battre, c’est à ce moment-là ».
 
Pour parvenir à ses fins, quatre recrues sont venues combler le départ de cinq joueuses. « Shaqwedia Wallace arrive pour être une cadre de l’équipe et une de nos leaders offensives. Elle va apporter beaucoup de scoring et de création. Joy Adams, de son côté, sera une vraie energizer ». Roche Vendée est aussi allé chercher deux filles de Mondeville, en LF2. Sarah Ousfar à l’intérieur et Vaciana Gomis sur le poste 2. Elles auront beaucoup de responsabilités en prenant le relais de joueuses comme Ana Suarez, Tiffany Clark et Assitan Koné. Naomy Zonzon et Louise Preneau, issues du centre de formation, complètent l’effectif vendéen. Un club qui devra se passer de Serena Manala, absente indéfiniment pour des raisons médicales.
 
Emmanuel Body pourra aussi compter sur un nouvel assistant, en la personne de Quentin Boullet. « J’ai appris à le connaître à Cholet. Il va être dans la même lignée que Valentin Garreau que j’avais avant. C’est quelqu’un qui est très bien sur le plan humain et qui a de très bonnes compétences basket. Il va énormément m’aider sur tout le travail des fondamentaux, de collectif et d’analyse vidéo ».
 
Roche Vendée a joué sur la continuité en prolongeant Emmanuel Body jusqu’en 2025. Une confiance renouvelée pour le coach de 44 ans, à la tête de l’équipe depuis 2011. « Je suis amoureux de ce club-là », déclare le Choletais de naissance. « En Vendée, on considère que vous êtes Vendéen quand vous êtes dans la région depuis plus de 10 ans. Je crois que j’ai fait mes preuves (rires). Je suis très heureux ici et j’ai toujours cette excitation à l’approche d’une nouvelle saison ».
 
Roche Vendée débutera son championnat le 23 septembre à 20h contre Lyon. 
 
Catégorie: 
Surtitre: 
Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Vendredi, 8. Septembre 2023
Vignette: 
Chapeau: 
Éliminé en quarts de finale contre Lattes Montpellier l’an dernier, le club de Roche Vendée aborde la nouvelle saison avec ambitions malgré un petit budget et une concurrence de plus en plus forte. Il ne faudra pas brûler les étapes pour retourner en playoffs. Et ça, le coach Emmanuel Body en est bien conscient.
crédit: 
Emmanuel Body, le coach vendéen - Photo : Willy Cousseau
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À Lyon, objectif titre

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On ne change pas une équipe qui gagne ! Fort de son succès en Ligue Féminine et en Eurocoupe la saison dernière, Lyon mise cette année sur la continuité. Seulement deux nouvelles joueuses viennent compléter le groupe de David Gautier. D’abord Marine Fauthoux qui revient dans le Rhône après un prêt de deux ans à Basket Landes. Un renfort de poids pour le coach lyonnais. « C’est une meneuse de jeu de très haut niveau, internationale, qui va nous apporter beaucoup d'adresse », analyse-t-il. « Elle est très forte sur le jeu de transition et va amener aussi beaucoup d’énergie ».
 
Fin août, Endy Miyem est venue renforcer la raquette lyonnaise après le départ de Dominique Malonga, prêtée à Tarbes. « Le choix d’Endy était presque une évidence parce qu’elle connaît par cœur toutes les joueuses de l’équipe. Cela va lui permettre de s’adapter très facilement offensivement. Elle va nous apporter toute son expérience ».
 
Cet effectif quasi inchangé, David Gauthier s’en satisfait. « Les joueuses se connaissent, on a un vécu en commun. C’est toujours mieux de commencer une préparation comme ça », poursuit-il. « Attention, ça n’apporte pas forcément de garanties, mais c’est à nous de tout mettre en œuvre pour en faire un avantage ». Un coach qui devra tout de même commencer l'exercice 2023-2024 avec un effectif réduit. Gabby Williams et Marine Johannès disputent le championnat de WNBA et ne seront pas rentrées pour le début de saison en France. À noter que Gabby Williams est également blessée à la cheville et que sa date de retour est pour l’instant inconnue. 
 
Une prudence, certes, mais des ambitions qui restent toujours très élevées, en s’appuyant sur le succès de la saison précédente. « Ramener un deuxième titre consécutif est évidemment un objectif », assure David Gautier. « Quand on regarde l’histoire de la Ligue Féminine, ça a souvent été fait dans le passé, parfois 4 ou 5 de suite. Ces équipes étaient de véritables institutions dans leur temps. Mais maintenant, ça fait 10 ans que personne ne l’a fait. On sait que c’est quelque chose de difficile. On ne va pas avoir la prétention de dire qu’on va le faire, mais on va tout mettre en œuvre pour y arriver ». Idem sur la scène européenne avec l’Euroligue, une compétition que Lyon n’avait pas disputée depuis trois ans. « On n’aura pas la tâche facile, c’est certain, mais on verra de très belles affiches à Mado Bonnet et de très beaux déplacements à faire. On veut déjà sortir des poules, mais on reste ambitieux en essayant d’aller le plus loin possible ».
 
Lyon débutera son championnat le 23 septembre à 20h par un déplacement à Roche Vendée. 
 
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Surtitre: 
Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Jeudi, 7. Septembre 2023
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Chapeau: 
Champion de France LFB en titre, Lyon aborde cette nouvelle saison avec de grosses ambitions. Une continuité avec un groupe presque inchangé, qui rêve d’un deuxième sacre d’affilée. Ce qui serait une première depuis 10 ans en Ligue Féminine.
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David Gautier lors de la dernière finale LFB - Photo : Juliette Servant/FFBB
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"Rebâtir un collectif et démarrer un nouveau cycle"

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La nouvelle saison commence dans quelques semaines, comment se passe la préparation jusque-là ? 
C’est un peu compliqué car on n’a pas toutes les joueuses à disposition. Certaines sont présentes, d’autres doivent partir pour le 3x3, certaines reviennent petit à petit. Mais j’ai envie de dire que c’est un peu tous les ans pareil. C’est délicat de mettre des choses en place dans ces conditions. Le plus dur, c’est vraiment la gestion du physique dans une équipe qui ne travaille pas de façon homogène. 
 
Il y a eu beaucoup de mouvements cet été, une dizaine de départs et 6 arrivées. Parlez-nous un peu de ces recrues et de ce qu’elles vont apporter à cet effectif. 
Le but, c’était de garder une notion d’expérience et des filles qui soient ancrées aux valeurs du basket qu’on veut proposer. Amel Bouderra, Sara Chevaugeon et Aby Gaye sont restées dans cette optique-là. Le choix était aussi de recruter des joueuses françaises talentueuses. C’est pour ça qu’on a engagé Coline Franchelin sur le poste 1, Noémie Brochant sur le poste 2/3 et Kadiatou Sissoko sur le poste 4/3. Je considère qu’elles ont un vrai potentiel pour évoluer à très haut niveau. On a aussi axé notre recrutement sur des filles qui n’étaient pas forcément hyper connues mais plutôt sur des joueuses qui ont des choses à montrer. On voulait moins dépendre des joueuses étrangères et trouver des filles complémentaires et peut être moins individualistes. Les deux seules recrues étrangères sont Jasmine Walker et Lauren Scherf. La première va avoir la lourde tâche de compenser le duo Milic-Fraser quand ces deux joueuses jouaient sur le poste 4. La seconde sera une joueuse altruiste sur le poste 5. Elle a le profil parfait pour développer un basket collectif.
 
La dernière en date, Adut Bulgak, arrive pour pallier l’absence d’Aby Gaye, blessée ? 
Oui tout à fait, Aby va être absente à minima jusqu’au 15 novembre. On va essayer de protéger l’équipe en emmenant une pièce supplémentaire. Le contrat d’Adut se terminera en décembre.
 
En tant que coach comment gère t-on tous ces changements ? La préparation doit être d’autant plus importante pour créer de la cohésion et des automatismes. 
Ce qui favorisera la cohésion et l’alchimie de l’équipe, c’est de voir si les gens sont concernés par le projet du club. Aujourd’hui, pas mal d’équipes doivent se renouveler parce qu’il y a beaucoup de filles qui sont auto-centrées sur leurs intérêts personnels et qui ne sont pas dans une dynamique de projet. Et ce projet individuel est à la fois sportif et financier. Je le respecte mais c’est à cause de ça qu’on doit gérer tous ces changements d’année en année.
 
Toujours au niveau des mouvements, vous allez accueillir aussi une nouvelle assistante, Ljubica Drjlaca. Que va-t-elle apporter, elle aussi, à l’effectif ? 
Je suis convaincu que c’est en allant chercher des compétences qu’on arrivera à progresser. Elle va amener de la complémentarité et aussi une culture différente. C’est un profil féminin, serbe... Le choix est humain et stratégique. C’est aussi une façon pour moi de réfléchir à l’avenir des Flammes Carolo sur la partie staff professionnel.
 
Si on revient quelques mois en arrière, vous êtes éliminés contre Lyon en quarts de finale. Comment abordez-vous la saison à venir ? 
Il y a des moments où il faut savoir dire qu’on repart sur un nouveau cycle et qu’on essaye de rebâtir un collectif. Il faut être ambitieux tout en restant cohérent et patient avec les gens qui se sont engagés. Plusieurs joueuses ont signé des contrats de trois ans. On n’a pas d’objectif one shot mais plutôt sur le moyen terme. Il faut s’adapter par rapport à ça. Dans le contexte économique actuel, il faut surtout être capable de pérenniser un club à haut niveau. 
 
Quels seraient selon vous les points forts de votre équipe cette année ? 
On devra être féroce en défense. C’est une équipe mobile avec de l’énergie donc il faudra les faire jouer sur un basket punchy. Les filles vont jouer collectivement et pas individuellement. Mais à contrario, c’est peut-être ça qui nous manquera un moment donné pour faire des différences. Mais c’est comme ça que le club s’est construit, avec des joueuses PPM – qui ne payent pas de mine - (rires) mais qui font des grandes choses collectivement et c’est ce qu’on va essayer de faire cette année. 
 
Charleville-Mézières débutera son championnat le 23 septembre avec la réception de Charnay. 
 
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Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Mercredi, 6. Septembre 2023
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Beaucoup de départs et un début de préparation compliqué, Charleville Mézières a connu un été mouvementé. En transition et avec des objectifs sur le long terme, le club s’appuiera cette année sur des joueuses à potentiels qui ont beaucoup de choses à montrer. Le coach Romuald Yernaux fait le point à quelques jours du début du championnat.
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Romuald Yernaux, entraîneur des Flammes Carolo
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Clermont-Ferrand n'oublie pas Christelle Doumergue

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Joueuse à la longévité remarquable puisqu'elle a arpenté les terrains de la fin des années 70 au début des années 2000, Christelle Doumergue a marqué la ville de Clermont-Ferrand. Elle a en effet joué pour le mythique CUC avant de terminer sa carrière au Stade Clermontois en 2002.
 
Sa mémoire sera honorée ce week-end au gymnase Fleury à l'occasion du premier trophée Christelle Doumergue-Leguiader. Quatre équipes de Ligue Féminine (Bourges, Lyon, Tarbes et Villeneuve d'Ascq) fouleront le parquet clermontois dans le cadre de leur préparation à la saison 2023-2024.
 
L'entrée est à 10€, au profit de la Ligue contre le cancer.
 
Trophée Christelle Doumergue-Leguiader
Gymnase Fleury - Clermont-Ferrand
 
Vendredi 8 septembre
18h00 : Bourges - Lyon
20h30 : Tarbes - Villeneuve d'Ascq
 
Samedi 9 septembre
15h30 : match pour la 3e place
18h00 : finale
Catégorie: 
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Prépa LFB 2023
Date d’écriture: 
Mardi, 5. Septembre 2023
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Internationale française dans les années 80, Christelle Doumergue est décédée en janvier dernier. Pour lui rendre hommage, le Stade Clermontois organise vendredi et samedi le trophée Christelle Doumergue-Leguiader réunissant quatre équipe de Ligue Féminine. Les recettes seront reversées à la Ligue contre le cancer.
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"Ne craindre personne et jouer comme l’an passé"

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Comment se passe la préparation jusque-là ?
Très bien ! Les filles sont revenues plutôt en forme puisque pas mal de joueuses ont participé à des compétitions cet été. Certaines avec le 5x5, d’autres en 3x3. On a pu rentrer très tôt dans le vif du sujet. On s’assèche un peu avec les chaleurs étouffantes (rires) mais ça se passe très bien. 
 
C’est un luxe pour vous d’avoir ce groupe au complet dès le début de la préparation ? 
Clairement, et ce n’était pas le cas de tout le monde. On a eu cette chance et c’est quelque chose de très important pour nous. On a peu de temps avant les premières rencontres. Dans ce championnat à douze équipes, on se positionne très tôt. Il faut donc être le mieux préparé possible. On a renouvelé une bonne partie de l’effectif avec les départs de quatre joueuses. Il faut recréer du lien, des automatismes et rebâtir un collectif sur et en dehors du terrain. Et ça a plutôt bien commencé. Peu après leurs arrivées, les joueuses ont décidé de faire un pique-nique et de vivre ensemble en dehors du basket. Je sens que ce groupe va très bien s’entendre.  
 
Ces quatre départs ont été compensés par six arrivées. Parlez-nous de ces recrues et de ce qu’elles vont apporter à votre effectif ?
On a construit la moitié de l’équipe comme on a voulu et l’autre moitié comme on a pu. On est très satisfait d’avoir fait venir de jeunes joueuses talentueuses et prometteuses. La différence avec la saison dernière, c’est qu’on aura deux étrangères dans l’équipe. Nancy Fora qui nous arrive de Suisse et Raina Tomasicka, une jeune Lettonne de 18 ans qui est un véritable talent. Du côté des jeunes Françaises, on retrouve Dominique Malonga, Jess-Mine Zodia, Camille Droguet et Maëva Marcq. 
 
Dans votre effectif, vous avez huit joueuses de moins de 21 ans, comment gère t-on un groupe aussi jeune ? 
Le groupe est encore plus jeune que l’année dernière, mais c’est l’identité et la culture de notre club. On est dans la continuité de ce qu’on souhaite faire depuis quelques saisons. La formation, ça a toujours été mon métier. La gestion humaine, je la connais bien. La gestion basket, j’imagine que c’est un peu différent de ce qui se fait ailleurs. On passe la moitié de la semaine à faire du développement et l’autre moitié à préparer l’équipe à faire de la compétition et à gagner.  
 
Quels seraient selon vous les points forts de votre équipe ? 
Il faut évidemment se concentrer sur l’axe 1-5 avec Carla Leite qui avait déjà montré d’excellentes choses l’an passé. Elle l’a confirmé cet été avec les U20. Elle a pris de la maturité et revient en pleine bourre avec plein de motivation. À l’intérieur, Isabelle Yacoubou est un incontournable du championnat de France. Cet axe-là sera primordial pour nous. Il y aura aussi un peu plus de rotations. Les saisons dernières, on tournait à 6/7 joueuses. Cette année, on aura un banc un peu plus profond, notamment sur le jeu extérieur. 
 
Comment abordez-vous cet exercice 2023-2024 ? 
On a construit une équipe avec toujours les mêmes objectifs : voir le TGB se sortir des quatre dernières places, et essayer de jouer les playoffs. La saison dernière, on n’est passé pas loin du rêve malgré les difficultés. On est à seulement deux points de la cinquième place dans un championnat très intense, mais on termine neuvième et on a dû passer par les playdowns. Ne craindre personne et jouer comme l’an passé. Sportivement, si on est autour de la septième place, ce serait une belle réussite pour un groupe aussi jeune. Il y a ce bémol de l’inexpérience. Des filles auront à tenir des rôles qu’elles n’ont pas connus jusque-là. Il y a aussi le bémol de ce nouveau groupe à reconstituer. On reste ambitieux, mais humble. 
 
Tarbes débutera son championnat le 23 septembre avec la réception de Villeneuve d’Ascq. 
 
Catégorie: 
Surtitre: 
Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Mardi, 5. Septembre 2023
Vignette: 
Chapeau: 
À Tarbes, faire confiance à la jeunesse est une habitude. Et cette saison ne sera pas une exception. Avec huit joueuses de moins de 21 ans et six recrues, François Gomez devra s’employer pour reconstruire un collectif soudé. Le coach de 62 ans fait le point à quelques jours du début de la saison.
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Photo : Julien Bacot/FFBB
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On prend les mêmes et on recommence

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Alisia Jenkins, voilà la seule et unique recrue de Lattes Montpellier pour la saison à venir. Arrivée en provenance du club de Ramat Hasharon en Israël, l’intérieure américaine de 29 ans sort d’une saison très complète avec 20 points et 11.8 rebonds de moyenne. « Alisia est une fille physique avec de belles capacités de course et de saut. Je pense qu’elle va nous apporter des qualités athlétiques qui pouvaient nous manquer quelquefois l’an dernier », analyse Valéry Demory, le coach de la formation héraultaise. Du côté des départs, seule Haley Peters s’est envolée outre-Atlantique pour s’engager avec les Chihuahua Adelitas en première division mexicaine. 
 
L’année dernière, l’aventure de Lattes Montpellier s’est arrêtée en demi-finale contre la formation de Villeneuve d’Ascq. Une belle saison malgré une élimination qui reste tout de même en travers de la gorge. Cette déception, le club va s’en servir cette année. Pour performer, Valéry Demory a misé sur la continuité avec des filles qui se connaissent déjà. « La plupart des filles voulaient rester, moi, je voulais les conserver », se satisfait le coach de 59 ans. « C’est important de commencer la préparation avec des joueuses qui se connaissent et qui étaient là l’an dernier. On va tenter de garder la même alchimie, tout en essayant de faire progresser les filles individuellement. Si ça veut rire, on pourrait être encore meilleur que l’année dernière ».
 
Une continuité pas seulement avec les joueuses, mais aussi au niveau du staff, qui reste inchangé. Valéry Demory sera toujours accompagné d’Ahmed Mbombo Njoya (assistant), d’Hugo Lambart (préparateur physique) et de Clémence Hallard (kiné). 
 
Mais l’heure est tout de même à la prudence chez les Gazelles, avec un technicien qui se méfie de la concurrence : « Il est trop tôt pour se fixer des objectifs. Les autres formations vont travailler dur et se sont aussi renforcées. Celles qui ont loupé le dernier exercice ne voudront pas le rater à nouveau. La Ligue Féminine est de plus en plus dense. On peut s’attendre à un sacré championnat. En tout cas, on va faire le mieux possible ».
 
Lattes Montpellier débutera son championnat le 23 septembre à 18h30 à domicile contre Landerneau.
 
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Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Lundi, 4. Septembre 2023
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Éliminé aux portes de la finale il y a quelques mois, Lattes Montpellier mise cette année sur la continuité avec une seule joueuse recrutée durant l’intersaison. Une volonté de la part du coach Valéry Demory qui souhaite retrouver la même alchimie que la saison dernière.
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Saison charnière en Bourgogne

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À Charnay, il y a un véritable projet, et pas seulement pour la saison à venir. Mais pour le mener à bien, il faudra d’abord se maintenir. « C’est une année charnière pour le club. Notre salle va être rénovée après la saison 2023-2024. Si on se maintient, j’ai envie de croire que le projet va vraiment exploser », commente Stéphane Leite, le coach de la formation bourguignonne. 
 
« J’ai envie de recréer ce qu’on avait fait à l’époque à Landerneau. Il faut se maintenir cette année et viser la qualification en Coupe d’Europe dans les années à venir ». Des objectifs réalisables à condition d’être performant défensivement, comme l’an dernier. En encaissant seulement 58.2 points par match, Charnay a été la meilleure défense du championnat de LF2. Et de loin. « On est monté grâce à elle. On misait beaucoup sur la haine de la défaite. On va une nouvelle fois se concentrer sur ce point.  C’est l’aspect numéro un. Ça sera encore plus vrai cette année. On va perdre plus de matches, c’est une certitude. Mais on devra l’accepter et s’en servir pour les rencontres suivantes. Ça va être dur, mais si on apprend de ça, on y arrivera ».
 
Les dirigeants se sont creusés la tête pour construire le meilleur effectif possible. Tout changer malgré un petit budget ou repartir avec une même ossature en surfant sur la dynamique de montée ? Un véritable dilemme. Mais, c’est bien la deuxième option qui a été retenue. « On a fait un choix fort, celui de garder 70% de l’effectif », explique le coach de 35 ans. « La majorité des joueuses ont l’habitude de travailler avec moi. On estime que les filles qui ont participé à la montée seront plus à même de se battre pour un maintien ». Seules Laura Belleville, Jennifer Oneill, Amandine Toi et Amina Traore ont quitté le navire. Elles sont remplacées par trois joueuses inexpérimentées en Ligue Féminine. 
 
« On a fait un petit recrutement à la hauteur de notre budget. Kayana Traylor arrive de WNBA même si elle n’a pas beaucoup joué. Elle va amener beaucoup d’intensité sur le plan défensif. Elle a aussi une capacité à scorer et à créer pour les autres qui est très intéressante », analyse Stéphane Leite. « Kate Vilka, une habituée de l’Euroligue avec Riga, va nous apporter beaucoup d’adresses. Et enfin, Shakayla Thomas qui est une scoreuse capable de marquer partout grâce à son physique. Elle a fait deux ans en Ligue 2 à plus de 20 points par match ».
 
Charnay débutera l’exercice 2023-2024 par un déplacement à Charleville-Mézières le 23 septembre à 20h. 
 
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Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Vendredi, 1. Septembre 2023
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Sacré champion de France de LF2 la saison dernière, Charnay est de retour dans l’élite, un an après l’avoir quittée. Pour Stéphane Leite et ses joueuses, il faudra survivre cette année pour s'installer durablement en Ligue Féminine. Une saison primordiale avec le maintien comme objectif numéro un.
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"A Bourges, il faut briller dans toutes les compétitions"

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Durant l’intersaison, cinq nouvelles joueuses ont débarqué à Bourges. Que vont-elles apporter à cet effectif ? 
Cette année, on voulait retrouver un peu plus de tirs extérieurs. Tima Pouye, Kamile Nacickaite et Artemis Spanou peuvent être des dangers de loin et apporter du scoring. Ces joueuses sont capables de stretcher et d’écarter le jeu. C’est quelque chose de très intéressant pour nous évidemment. Ana-Maria Filip, qui connait très bien le club, sera une joueuse importante en rotation de Kayla Alexander. 
 
La dernière recrue en date, Kristen Mann, vient palier la blessure d’Anete Steinberga, victime d’un accident domestique en juillet dernier.
Oui, l’idée, c’est que Kristen soit là pour nous filer un coup de main. On va en avoir vraiment besoin, surtout en début de saison avec la blessure d’Anete. Ce qui est intéressant avec Kristen, c’est qu’elle peut évoluer sur plusieurs postes. Elle peut à la fois jouer dans l’aile, mais aussi sur le poste 4. C’est une arme de plus pour Bourges.  
 
Vous avez quand même conservé une certaine ossature dans votre effectif, c’est quelque chose d’important de commencer une préparation avec beaucoup de joueuses qui se connaissent ?
On n’a pas réellement de certitudes parce que dès qu’on rajoute quelques joueuses, ça change forcément l’équilibre d’un groupe. Mais oui, par contre, j’ai toujours préféré travailler sur le moyen terme avec les joueuses. C’est quelque chose qui me tenait à cœur pour qu’on puisse travailler sereinement et en se connaissant. Ça va nous aider à être performant au cours de l’année. 
 
Toujours sur le point des départs, Élodie Godin passe de joueuse à Team Manager du club. Que va-t-elle apporter dans ce nouveau rôle ? 
Elle connait très bien le club. Elle connait aussi très bien les besoins et les nécessités des joueuses de haut niveau. Elle va essayer de mettre de l’huile dans les rouages à tous les niveaux. L’idée, c’est qu’elle puisse grandir petit à petit dans son rôle. Elle démarre une nouvelle vie et c’est un changement qui est important pour elle, mais je suis sûr que ça se passera bien. 
 
La saison dernière, vous perdez en demi-finales contre Lyon, comment abordez-vous cet exercice 2023-2024 ? 
Quand on est à Bourges, il faut briller dans toutes les compétitions, ça on le sait. Il faut être capable de gagner ces matches importants, de franchir cette étape pour aller jusqu’au trophée. C’est évidemment ce qu’on a envie de faire. Après, chaque équipe veut tout gagner. Ce qui est le plus important, c’est comment faire pour y arriver. C’est surtout là-dessus qu’il faut se concentrer et pas seulement le résultat brut. 
 
Un petit mot sur l’Eurocoupe, une compétition qui vous réussit plutôt bien puisque vous l’avez remporté en 2016 et 2022.
On a beaucoup d’ambitions sur cette coupe d’Europe. Notre effectif doit nous permettre d’aller chercher des victoires sur cette compétition. Ça va être compliqué, il y a de très belles équipes qui vont être là. On l’aborde avec beaucoup de respect pour tout le monde, mais aussi avec une grande détermination pour aller le plus loin possible. L’importance avant de penser à la fin, c’est de penser à chaque match et à progresser. C’est sur ça qu’on doit se concentrer. 
 
Bourges commencera l’exercice 2023-2024 avec la réception de Basket Landes, le 24 septembre à 15h15. 
 
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Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Jeudi, 31. Août 2023
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L’an dernier, le parcours de Bourges s’était arrêté en demi-finales contre Lyon malgré un match aller remporté 80-67. Une déception pour Olivier Lafargue qui espère aller jusqu’au trophée cette année, en s’appuyant encore un peu plus sur l'adresse longue distance.
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Photo : Olivier Martin/FFBB
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"Montrer qu’on est capable de bien jouer au basket"

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Durant l’intersaison, quatre nouvelles joueuses ont débarqué à Saint-Amand. Que vont-elles apporter à l’équipe cette saison ? 
On a voulu densifier notre dimension physique, notamment sur le poste 3/5. On était un peu en difficulté sur ce point l’an dernier donc c’était quelque chose que je voulais tout de suite combler. C’est ce que vont nous apporter Nikki Greene, Emmanuelle Tahane et Marte Grays. Japreece Dean, une meneuse elle aussi athlétique, cherchait un projet ambitieux pour se relancer. Notre épine dans le pied, c’est vraiment la perte d’Hortense Limouzin après sa mise à disposition tardive avec l’Équipe de France 3X3. Ça n’a pas été simple, mais je pense qu’on a réussi à trouver ce qu’il nous fallait.
 
Vous avez quand-même conservé votre ossature, c’est quelque chose d’important de commencer cette préparation avec des joueuses déjà connues ? 
Très ! C’est rare que des filles restent à Saint-Amand d’une année sur l’autre. On fait partie des équipes avec les plus petits budgets du championnat. Pour travailler durant l’intersaison, c’est toujours positif, car ce sont des joueuses qui connaissent ma façon de travailler, avec lesquelles on a déjà créé des connexions. Ce sont des joueuses majeures puisqu’on a décidé de partir avec huit filles professionnelles. Donc tout le monde va avoir de l’importance.
 
Parmi ces joueuses majeures, on peut évoquer Iva Slonsjak…
Oui, on a réussi à la conserver malgré sa très belle saison l’année dernière. Notamment la deuxième partie du championnat où elle tournait à quasiment 16 points de moyenne. Ça fait preuve que notre saison a été réussie parce que beaucoup de gens ont voulu rester, et ce, sans la coupe d’Europe. Le travail est bon et on veut continuer ensemble. C’est un vrai gage de satisfaction. 
 
Vous avez connu une dernière saison satisfaisante en terminant à une petite victoire des playoffs. Comment abordez-vous cet exercice 2023-2024 ? 
On l’aborde avec la même humilité. On est Saint-Amand, donc on sait qui on est. Mais sur le terrain, c’est autre chose. On va essayer de montrer qu’on est capable de bien jouer au basket, de rivaliser avec tout le monde et de gagner encore plus de matches à domicile, devant notre public. L’objectif premier reste le maintien, c’est une certitude. Évidemment, c’est quelque chose de très compliqué et je l’ai vu l’année dernière à l’occasion de ma première saison. On peut être à une victoire des playoffs ou bien à égalité avec d’autres équipes et partir en playdowns en cravachant jusqu’au bout. Aujourd’hui, on veut prendre étape par étape. Je veux surtout que l’équipe joue de mieux en mieux chaque week-end et progresse. À partir de là, si on arrive à faire ça, on fera mieux que l’année dernière. 
 
L’équipe va commencer sa quatorzième saison d’affilée dans l’élite, la ramener en playoffs est-il quelque chose qui vous tiendrait à cœur ?
Clairement, ce n’est pas arrivé depuis sept ans. C’est vrai que c’est quelque chose qui me tiendrait à cœur. Ce serait une belle preuve de satisfaction personnelle, mais aussi une satisfaction dans l’évolution de ce club. On travaille pour ça. C’est dur parce que plus les années avancent et plus les équipes semblent fortes. Tout le monde est très proche. L’an dernier, on était cinq équipes à prétendre à la huitième place, c’est fou. La moindre victoire compte, tout compte. Aujourd’hui, ça serait un vrai bonheur de qualifier ce club pour les playoffs, une récompense de notre travail.
 
Un petit mot sur votre public qui a répondu présent, notamment avec dix matches à guichets fermés sur onze. C’est un réel plus pour vous ? 
C’est extraordinaire à vivre. On arrive trente minutes avant le coup d’envoi et la salle est déjà pleine à craquer. Le club a été obligé de rouvrir une tribune lors de certains matches importants. Et par moment, on aurait pu en ouvrir encore une de plus. De voir autant de monde, c’est super pour une petite ville comme ça. Les gens nous encouragent dans la salle, mais aussi quand on les croise dans la rue. On ne doit pas seulement gagner pour nous, mais aussi pour les supporters, pour le club, pour la ville. On doit donner le meilleur pour ces gens-là. Ça donne du sens à notre métier. Aujourd’hui, il faudrait peut-être une nouvelle salle pour accueillir tout le monde. 
 
Saint-Amand débutera son championnat le 23 septembre à Angers. 
 
 
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Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Mercredi, 30. Août 2023
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Quelques recrues pour apporter de la dimension physique et une ossature qui est restée la même, Saint-Amand aborde cette saison avec des ambitions. Dixième à seulement une victoire des playoffs l’an dernier, le coach Julien Pincemin espère ramener le club nordiste à un niveau qu'il n'a plus atteint depuis 2017.
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Julien Pincemin, coach des Green Girls - Photo : Albane Toulouse
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Surfer sur la dynamique des playdowns

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« On veut aller chercher le maintien le plus vite possible ». Wani Muganguzi ne veut pas revivre la même saison que l’an dernier. Une saison régulière où Landerneau n’avait remporté que trois petites rencontres, synonyme de dernière place. Elle avait été la moins bonne défense (78.5 points encaissés par match) mais aussi l’attaque la moins prolifique (67,2 points marqués par rencontre). Mais en playdowns, ce ne fut pas la même histoire. Les six victoires en six matches ont permis aux Landernéennes d’arracher leur maintien en Ligue Féminine. « On veut de la continuité, se servir de ce que qu’on a pu produire dans le jeu en fin de saison dernière », explique-t-il. « On espère le retrouver dès les premières journées pour avoir un championnat plus serein ».
 
L’intersaison n’a pas été de tout repos à Landerneau avec une vague de joueuses parties découvrir de nouveaux horizons. « Ces mouvements, on les gère plutôt bien, on est un club qui a l’habitude d’avoir des changements dans le sens où, quand les filles sont performantes, on a du mal à les garder ». Afin de combler tous ces départs, six joueuses ont débarqué en Bretagne cet été, avec des profils très différents les unes des autres, « Prescillia Lezin, qui a déjà joué à Charnay ainsi qu'à Lyon et Evelyn Akhator qui arrive en provenance de Basket Landes, connaissent déjà bien le championnat. Elles apporteront toute leur expérience, leur scoring et le statut de leaders offensives. Nausia Woolfolk a un profil de scoreuse naturelle. Elle arrive en provenance de Grèce et vivra sa première expérience dans un championnat majeur européen. Amy Okonkwo va découvrir la Ligue Féminine. Adja Kane quant à elle, va venir se développer avec nous après le Pôle France ».
 
Landerneau débutera son championnat le 23 septembre à Lattes Montpellier. 
 
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Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Mardi, 29. Août 2023
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L'an dernier, Landerneau a vécu une saison compliquée. Malgré des résultats en deçà des espérances, le club breton s’est maintenu grâce à des playdowns exceptionnels. Une bonne dynamique sur laquelle veut s’appuyer le coach Wani Muganguzi cette année.
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Wani Muganguzi, coach de Landerneau - Photo : UFAB 49
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"Pour exister, il va falloir défendre et se projeter"

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Aurélie, votre équipe a connu quelques mouvements durant cette intersaison avec quatre nouvelles joueuses. Que vont-elles apporter à l’effectif ? 
On a décidé d’harmoniser l’équipe cet été. Masseny Kaba va emmener des situations dos au panier à l’intérieur. Julie Wojta connaît très bien le championnat et, avec toute son expérience, elle va pouvoir encadrer les jeunes. Je ne vais pas dire qu’elle est âgée sinon elle va m’engueuler (rires). Océane Monpierre arrive dans ce rôle de meneuse / arrière qui met beaucoup d’intensité et qui défend très fort. Et enfin, Marine Dursus va découvrir la Ligue Féminine avec nous. Avec sa grande qualité de tir, elle va emmener quelque chose d’encore différent. Il y a beaucoup d’adversité dans le groupe. Il va falloir aller gagner ses minutes comme on dit. 
 
Au niveau des départs, vous avez perdu Alexis Peterson, une des meilleures meneuses de ce Championnat. Comment on s’adapte et comment compense-t-on cette perte ?
C’est compliqué si on se place en victime et si on se dit qu’on n’a pas les moyens de la retenir. Aujourd’hui, on comprend totalement le choix d’Alexis qui va jouer dans une équipe d’Euroligue (Basket Landes). Ce sera différent sans elle puisqu’elle a dominé le championnat l’année dernière, mais ça ne veut pas dire que d’autres joueuses ne vont pas émerger et prendre de nouvelles responsabilités. Forcément, on a perdu certaines choses, mais on en retrouve d’autres. Il va simplement falloir faire évoluer notre jeu comparé à la saison dernière 
 
Vous avez quand même conservé une ossature, vous connaissez déjà pas mal de joueuses à la reprise, c’est quelque chose d’important pour vous ?
On avait envie de garder une grosse base. C’est forcément plus simple parce qu’elles connaissent mes bons et mes mauvais côtés. On gagne du temps, évidemment, mais c’est à double tranchant aussi. Pour l’instant ça va, elles sont contentes de me voir alors qu’elles pourraient en avoir marre de temps en temps (rires). Plus sérieusement, il y a des certitudes avec des joueuses qui sont là. D’autres vont continuer de progresser et d’évoluer. Et c’est très bien comme ça. 
 
Quelle sera votre philosophie de jeu pour la saison à venir ? 
Pour qu'on existe en Ligue Féminine et plus globalement dans le basket moderne, il va  falloir défendre et se projeter parce que le jour où on ne met pas dedans, il faut être capable de faire des stops défensifs. C’était l’idée d’avoir des joueuses polyvalentes. On va pouvoir jouer grand, on va pouvoir jouer petit. Je trouve qu’on est très athlétique si tout le monde est en forme. J’ai beaucoup de talents défensifs sur plusieurs postes. 
 
Vous terminez septième la saison dernière, comment abordez-vous cet exercice 2023-2024 ? 
Notre objectif premier, c’est toujours le maintien en Ligue Féminine. Quand on est coach, on se doit de laisser le club là où on l’a trouvé, au minimum. David Gautier me l’avait laissé à la septième place et on a réussi à terminer septième l’an dernier. On est allé en playoffs donc forcément on espère y retourner.  
 
Un dernier mot sur la Coupe d’Europe qui vous avait plutôt bien réussie l’an dernier avec une défaite en quarts de finale. Qu’attendez-vous de cette compétition également ? 
On a fait un très bon parcours l’an dernier. Après, on avait un groupe moins fort. Avec les nouvelles règles de la FIBA, on voyage beaucoup plus. Ce ne sont plus des tirages régionaux donc en termes de fatigue, ça ne sera pas simple. En plus, j’ai fait le choix de partir avec trois joueuses considérées comme extra-communautaires. Il y en a forcément une qui ne jouera pas. Mais ça permettra à d’autres d’avoir plus de temps de jeu en semaine. C’est bien, les gens préfèrent jouer que s’entraîner en général. C’est une belle vitrine pour Angers et la région. Ça va nous faire monter en intensité pour le week-end. 
 
Angers commencera la saison 2023-2024 par la réception de Saint-Amand, le 23 septembre à 20h. 
 
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Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Lundi, 28. Août 2023
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Orphelin d’Alexis Peterson, Angers devra s’appuyer sur son collectif cette année. Pour Aurélie Bonnan, la coach de la formation angevine, il faudra être irréprochable défensivement pour réaliser une saison similaire à celle de l’an dernier. Et peut-être plus si affinité.
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Aurélie Bonnan va vivre sa deuxième saison sur le banc angevin - Photo : BLMA
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Un nouveau statut à défendre

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« Cette fois, on a envie de ramener un trophée ». Rachid Meziane, le coach de Villeneuve d’Ascq, annonce clairement ses ambitions à quelques semaines de la reprise du championnat. « Je ne vais pas faire mon Guy Roux à dire qu’on va jouer les matches les uns après les autres, mais c’est quand même ce qu’il va se passer (rires). Il y a des objectifs de résultats. On veut se qualifier pour une compétition européenne en finissant dans le top 5 ». L’an dernier, le club nordiste avait été défait en finale contre Lyon, mais aussi éliminé en demi-finale d’Eurocoupe et de Coupe de France. « Ce fut une belle saison. Pourtant, il y a cette petite amertume d’être passé à côté de trois trophées. Cette fois, on va se donner les moyens de performer en se servant de l’expérience acquise l'année dernière, ça va nous rendre plus fort »
 
Meilleure attaque du championnat 2022-2023 avec 78.9 points inscrits par match, Villeneuve d’Ascq en a surpris plus d’un. Des performances bien au-delà des espérances qui vont faire passer le club dans une autre dimension. « On a un nouveau statut à défendre. Maintenant, on a une cible dans le dos », poursuit le technicien, Champion d’Europe avec la Belgique en juin dernier. « On va être encore un peu plus attendu. C’est quelque chose qu’il faut qu’on apprenne parce que c’est tout nouveau pour nous. C’est en gagnant qu’on se fait des ennemis ».
Durant l’intersaison, cinq joueuses ont quitté le club de la banlieue lilloise pour de nouveaux projets. Il s’agit de Hind Ben Abdelkader, Manoé Cissé, Christelle Diallo, Eloïse Pavrette et Myriam Djekoundade. Cette dernière a été mise à disposition de l’Équipe de France 3x3 pour préparer au mieux les Jeux Olympiques de Paris. « On comprend tout à fait la démarche, mais on regrette l’annonce tardive. Ce n’est pas facile de remplacer ces joueuses-là, on doit s’adapter » explique Rachid Meziane. 
 
Pour combler ces départs, les dirigeants ont fait signer trois nouvelles joueuses. Aminata Gueye que le club « suivait depuis plusieurs années ». Maxuella Lisowa-Mbaka, qui vient remplacer Myriam Djekoundade. Une joueuse que le coach connait bien puisqu’il l’avait sous ses ordres avec la sélection belge. Et Shavonte Zellous, joueuse de 36 ans qui apportera toute son expérience. « On voulait justement avoir des joueuses mures pour encadrer toute cette jeunesse. Elle est très polyvalente et peut s’exprimer sur les postes 1,2 et 3. On avait besoin de ce couteau suisse. Elle nous apportera aussi de la sérénité dans notre équipe qui peut parfois être fougueuse »
 
Villeneuve d’Ascq débutera l’exercice 2023-2024 par un déplacement à Tarbes le 23 septembre à 20h. 
 
 
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Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Vendredi, 25. Août 2023
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Deuxième de la saison régulière et finaliste des playoffs LFB l’an dernier au terme d’une saison au-delà des attentes, Villeneuve d’Ascq passe dans une autre dimension. Un nouveau statut de contender qu’il faudra assumer pour le groupe de Rachid Meziane.
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"Rivaliser avec les équipes du dessus"

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L’intersaison a été chargée pour le club avec une dizaine de départs et par conséquent de nombreuses arrivées. Comment gère t-on ça en tant que coach ? 

C’est sûr que c’est parfois plus simple de garder les mêmes joueuses mais là, il y a beaucoup de paramètres qui font que peu de joueuses restent. Mais on l’a anticipé en cherchant des filles avec des profils basket qui nous intéressaient et aussi des profils humains. On avait quasiment gardé le même groupe ces deux dernières années mais c’est compliqué de le conserver quand on performe parce que ça coute toujours plus d’argent. L’idée, c’était de repartir aussi avec un effectif plus jeune, de se rechallenger et d’essayer de faire les choses aussi bien. 

Dans votre effectif, il y a en effet 6 joueuses de moins de 23 ans…

Ce sont des jeunes joueuses mais qui ont déjà un parcours. Ce sera simplement une façon différente de jouer et de travailler. Ces joueuses peuvent encaisser la charge de travail un peu plus facilement. Quand on a groupe un peu plus âgé, on est un peu plus dans la gestion physique, surtout avec l'Euroligue et en jouant 42 matches dans l’année.

Pour combler le départ de Marie-Eve Paget, mise à disposition de l’Équipe de France 3x3, vous avez signé Alexis Peterson, en provenance d’Angers. Elle reste une de vos principales recrues de l’intersaison...

C’est une excellente joueuse, une des meilleures meneuses de Ligue Féminine. On est très contente de l’avoir avec nous. C’est un renfort de poids, surtout qu’on a su très tard qu’on ferait l’Euroligue. Ça a surement influencé sa décision. De suite, c’est beaucoup plus intéressant pour elle, surtout qu’elle ne l’a jamais jouée. C’est une joueuse très compétitive et qui a envie de se challenger.

Toujours sur le point des départs, Céline Dumerc passe de joueuses à directrice sportive du club. Que va t-elle apporter à ce nouveau poste ?

Comme elle était joueuse, elle va dans un premier temps être en formation. Elle va nous apporter sa connaissance basket évidemment, mais aussi nous accompagner sur les partenariats. C’est quelqu’un qui a des qualités de leadership. On va dessiner son rôle petit à petit et faire en sorte qu’elle guide le staff, le groupe et les dirigeants.

Malgré tous ces mouvements, vous avez réussi à former votre groupe complet assez tôt durant l’intersaison.  C’est un luxe d’avoir son effectif définitif dès le début de la préparation ?

Clairement, cela permet de créer des automatismes plus facilement, surtout cette saison avec le nouveau groupe. C’est toujours mieux de commencer une préparation avec toutes les joueuses. L’année dernière, on a connu l’inverse et c’est tout de suite plus compliqué. 

La saison dernière était plutôt réussie avec une cinquième place et une victoire en Coupe de France, avez-vous déjà fixé des objectifs pour l'exercice 2023-2024 ?

C’est un peu tôt pour le dire mais c’est clair qu’avec un renouvellement de groupe, on veut continuer à avoir notre ADN de Basket Landes. On veut rivaliser avec les équipes du dessus et jouer crânement notre chance.  Remporter quelque chose, c’est toujours magnifique. On a réussi à le faire ces dernières années mais on sait à quel point c’est difficile.

Petit point sur la Coupe d’Europe également, grâce à votre victoire en Coupe de France, vous disputerez l’Euroligue la saison prochaine, pour la quatrième fois consécutive.  Comment abordez-vous aussi cette compétition ?

Les groupes, c’est très costaud. En fait, en Coupe d’Europe, il n’y a jamais de tirage facile. En jouant contre ce genre d’équipes, on va forcément progresser et ça va offrir un beau spectacle à notre public landais. On n’a rien à perdre à jouer ce genre de compétition.

Basket Landes débutera l’exercice 2023-2024 par un déplacement à Bourges le 24 septembre à 15h15. 

Voir l'effectif 2023-2024 de Basket Landes

 

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Preview LFB - Saison 2023/2024
Auteur: 
Léo Gouttenoire
Date d’écriture: 
Mercredi, 23. Août 2023
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A Basket Landes, l’été a été mouvementé. Le club vainqueur de la dernière édition de la Coupe de France a dû s’employer pour constituer un effectif compétitif, malgré les nombreux départs. La coach Julie Barennes revient sur cette intersaison et fixe les premiers objectifs.
crédit: 
Frédéric Ferranti/Just A Pics
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Retour au boulot

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Les maillots de bain et les tubes de crème solaire sont rangés. Depuis quelques jours, les joueuses de Ligue Féminine ont repris le chemin des gymnases pour débuter la préparation de leur saison. Tests médicaux, travail foncier et découverte des coéquipières vont rythmer les premiers entraînements avant que ne débutent les traditionnels matchs amicaux.
 
Basket Landes, qui a été l'une des premières équipes à reprendre il y a deux semaines, se rendra à La-Roche-sur-Yon mercredi. Dans le même temps, Saint-Amand recevra son voisin Aulnoye (LF2). Le début d'une longue série de rencontres de préparation pour la saison 2023/24 dont vous trouverez le programme complet sur notre site internet.
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Surtitre: 
Ligue Féminine
Date d’écriture: 
Lundi, 21. Août 2023
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Dans un peu plus d'un mois, les 12 équipes de Ligue Féminine retrouveront officiellement les terrains à l'occasion de la première journée de la saison 2023/24. D'ici là, elles disputeront de nombreuses rencontres de préparation pour parfaire leurs automatismes.
crédit: 
Marie Pardon, recrue de Basket Landes - Photo : Antoine Campa
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Le calendrier LFB 2023-2024 dévoilé

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Ligue Féminine - Saison 2023/2024

Vendredi 15 septembre 2023 - Match des Champions (Paris - Halle Carpentier)
Lyon - Basket Landes
Voir plus d'informations : https://basketlfb.com/actualite/84076

Samedi 23 septembre 2023 à 20h00 - Journée 1
Bourges - Basket Landes
Lattes Montpellier - Landerneau
Tarbes - Villeneuve d'Ascq
Charleville-Mézières - Charnay
Angers - Saint-Amand
Roche Vendée - Lyon

La saison régulière (22 journées) se déroulera entre le 23 septembre 2023 et le 6 avril 2024. A noter que les dates et horaires peuvent évoluer en fonction des calendriers des compétitions européennes et/ou des retransmissions TV.

Le calendrier est disponible sur le site de la Fédération Française de BasketBall

La phase finale (playoffs et playdowns) débutera à partir du 18 avril 2024.

Playoffs*
Quarts de finale : 18-19 & 22-23 avril 2024
Demi-finale : 2 & 5 mai 2024
Finale : 11 & 17 mai et si nécessaire le 19 mai 2024

Playdowns*
19 & 23 avril, 2, 5, 10 & 14 mai 2024

*sous réserve de modifications ultérieures

LF2
Le calendrier 2023-2024 de la LF2 a été dévoilé. Il est aussi disponible sur le site de la Fédération Française de BasketBall. 

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Ligue Féminine
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Vendredi, 11. Août 2023
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La Commission Fédérale 5x5 a révélé ce jour le calendrier de la saison 2023-2024 de Ligue Féminine qui débutera par le Match des Champions LFB le vendredi 15 septembre à Paris (halle Carpentier). La première journée de la saison régulière se tiendra elle une semaine plus tard (23 septembre) avec un premier choc au programme entre Bourges et Basket Landes.
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Les huit clubs français sont fixés

Corps: 
Euroligue féminine
 
Groupe A
Fenerbahce (TUR), Schio (ITA), Valence (ESP), Lyon, Lublin (POL), Saragosse (ESP), vainqueur ELW Q1, vainqueur ELW Q2
 
Groupe B
Salamanque (ESP), USK Prague (CZE), Cukurova Mersin (TUR), Villeneuve d'Ascq, Basket Landes, Bologne (ITA), UNI Györ (HUN), vainqueur ELW Q3
 
Qualifications (20 et 27 septembre)
ELW Q1 : Miskolc (HUN) - Londres (GBR)
ELW Q2 : TTT Riga (LAT) - Sepci (ROU)
ELW Q3 : Polkowice (POL) - Besiktas (TUR)
 
La première journée d'Euroligue est prévue le 4 octobre.
 
Plus d'informations sur le site de l'Euroligue
 
Eurocoupe féminine
 
Groupe A
Charleville-Mézières, Cadi La Seu (ESP), Zabiny Brno (CZE), vainqueur ECW Q3
 
Groupe C
Galatasaray (TUR), Angers, Kibirkstis (LTU), Constanta (ROU)
 
Groupe D
Lattes Montpellier, Gernika (ESP), Ramat Hasharon (ISR), Zaglebie (POL)
 
Groupe H
Bourges, KP Brno (CZE), Grengewald (LUX), vainqueur ECW Q2
 
Groupe L
Fribourg (SUI), Gdynia (POL), Roche Vendée, Emlak Konut (TUR)
 
Qualifications (21 et 28 septembre)
ECW Q1 : Ruzomberok (SVK) - Ostrava (CZE)
ECW Q2 : Sportiva (POR) - Antalya (TUR)
ECW Q3 : Eleftheria (GRE) - Cluj Napoca (ROU)
 
La première journée d'Eurocoupe est prévue le 12 octobre.
 
Plus d'informations sur le site de l'Eurocoupe
Catégorie: 
Surtitre: 
Coupes d'Europe féminines
Date d’écriture: 
Mercredi, 9. Août 2023
Vignette: 
Chapeau: 
La FIBA a procédé ce jour au tirage au sort des groupes des deux coupes d'Europe féminines. Huit équipes françaises seront sur le pont : Basket Landes, Lyon et Villeneuve d'Ascq en Euroligue ; Angers, Bourges, Charleville-Mézières, Lattes Montpellier et Roche Vendée en Eurocoupe.
crédit: 
Photo : FIBA
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La billetterie du Match des Champions 2023 est ouverte

Corps: 
Qui de Lyon ou Basket Landes remportera le premier titre mis en jeu lors de la saison 2023-2024 de Ligue Féminine ? Rendez-vous le vendredi 15 septembre 2023 à Paris, Halle Carpentier, pour le savoir.
 
Champion de France LFB 2023 en mai, Lyon LDLC ASVEL Féminin disputera le Match des Champions pour la deuxième fois de son histoire (victoire en 2019). Les Lyonnaises compteront sur un effectif qui se connaît bien pour performer dans la salle parisienne.
 
Après deux revers en 2021 et 2022, Basket Landes, qui a remporté la Coupe de France pour la deuxième fois de suite en avril dernier, va de nouveau tenter sa chance. A la rentrée, les Landaises débuteront un nouveau cycle avec un groupe renouvelé à 80%.
 
Match des Champions LFB 2023
 
Vendredi 15 septembre à 20h30 (Paris - Halle Carpentier)
 
Lyon - Basket Landes
 
Prix des billets
Cat. Or : 20€ - Cat.1 : 15€ - Cat. 2 : 12€
 
Catégorie: 
Surtitre: 
Ligue Féminine
Date d’écriture: 
Jeudi, 6. Juillet 2023
Vignette: 
Chapeau: 
Lyon, champion de France en titre, et Basket Landes, vainqueur de la Coupe de France, se défieront le vendredi 15 septembre prochain à l'occasion du Match des Champions LFB 2023 à Paris (20h30 - Halle Carpentier). La billetterie vient d'ouvrir et les fans peuvent dès aujourd’hui réserver leurs places !
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Décisions de la Chambre d'Appel

Corps: 
Après examen des nouveaux éléments produits, la Chambre d’Appel a réformé les décisions contestées et décidé :
 
  • TARBES GB : Engagement en LFB
  • BC ORCHIES SASP : Engagement en NM1
 
Par ailleurs, la Chambre d’Appel a saisi, pour ces deux clubs, la Commission Contrôle de Gestion quant à la validation de leur budget 2023/2024 et l’encadrement de leurs charges de personnel.

 

Catégorie: 
Surtitre: 
Chambre d'Appel - Section financière
Date d’écriture: 
Vendredi, 23. Juin 2023
Vignette: 
Catégorie 2: 
Chapeau: 
A la suite des recours formés contre les décisions prises par la Commission Contrôle de Gestion de rétrograder TARBES GB et BC ORCHIES SASP en Championnat de Ligue Régionale au terme de la saison 2022/2023, la Chambre d’Appel – Section Financière a auditionné les clubs le 20 juin 2023.
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Soirée de légende pour Meesseman

Corps: 
Arrivée en Ligue Féminine à l'âge de 19 ans à Villeneuve d'Ascq, Emma Meesseman était promise à un grand avenir. Après deux saisons en LFB et un trophée de meilleure jeune en 2013, la Belge a confirmé tous les espoirs placés en elle en décrochant notamment l'Euroligue à cinq reprises avec Ekaterinbourg et Fenerbahce (2016, 2018, 2019, 2021 et 2023) ainsi que le titre WNBA 2019 avec les Washington Mystics, tout en étant MVP des finales.
 
Et ce qu'elle a réalisé jeudi soir face à la Serbie en quart de finale de l'Euro (victoire 93-53) va sûrement faire d'elle la meilleure basketteuse belge de tous les temps devant la légende Ann Wauters. En à peine 30 minutes, la native d'Ypres a concassé la champion en titre avec le premier triple-double réalisé dans l'histoire de la compétition : 15 points, 13 rebonds et 10 passes décisives !
 
 
En demi-finale, les Belgian Cats croiseront la route de l'Équipe de France. Pour une rencontre qui s'annonce explosive.
Catégorie: 
Surtitre: 
FIBA Women's EuroBasket 2023
Date d’écriture: 
Vendredi, 23. Juin 2023
Vignette: 
Chapeau: 
La pivot belge Emma Meesseman, passée par Villeneuve d'Ascq au début de sa carrière (2012-2014), a réalisé le premier triple-double de l'histoire de l'EuroBasket féminin jeudi soir en quart de finale contre la Serbie : 15 points, 13 rebonds et 10 passes décisives. Légendaire !
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De la LFB à l'Euro

Corps: 

18,8% des joueuses de l'EuroBasket Women 2023 ont foulé un jour un parquet de Ligue Féminine de Basket. Un pourcentage en légère baisse par rapport aux éditions précédentes (200920152017 et 2021). Les pays, hors France, avec le plus de joueuses "LFB" sont la Belgique (6), l'Espagne (4) et la Serbie (4).

Pays Joueuses Clubs LFB et saisons
Allemagne (3) Svenja BRUNCKHORST Nice 17-18
  Leonie FIEBICH Charville-Méz. 21-22
  Luisa GEISELSODER Landerneau 20-22, Roche Vendée 22-23
Belgique (6) Julie ALLEMAND Lyon 17-20 & 21-23, Lattes Mtp 20-21
  Antonia DELAERE Nantes Rezé 19-20
  Kyara LINSKENS Lattes Mtp 22-23
  Emma MEESSEMAN Villeneuve d'Ascq 12-14
  Laure RESIMONT Tarbes 19-20
  Julie VANLOO Mondeville 13-15
Espagne (4) Queralt CASAS Nantes Rezé 15-16 , Basket Landes 16-18,
Charleville-Méz. 2018
  Laura GIL Basket Landes 22-23
  Cristina OUVINA Bourges 17-19
  Laura QUEVEDO Lyon 22-23
France (12) - -
Grande-Bretagne (1) Sydney WALLACE Lattes Mtp 21-22
Lettonie (2) Aija PUTNINA-JURJANE Mondeville 09-10, Arras 10-11, Nantes Rezé 15-16
  Anete STEINBERGA Bourges 22-23
Monténégro (1) Milica JOVANOVIC Nantes Rezé 2021
Rép. Tchèque (1) Renata BREZINOVA Tarbes 21-22
Serbie (4) Yvonne ANDERSON Bourges 22-23
  Sasa CADO Nantes Rezé 2020, Charleville-Mézières 2021
  Aleksandra CRVENDAKIC Lyon 20-21
  Nevana JOVANOVIC Basket Landes 16-17 & 20-21, Villeneuve d'Ascq 17-18
Slovaquie (1) Ivana JAKUBCOVA Angers 22-23
Slovénie (1) Eva LISEC Roche Vendée 2020
 
Catégorie: 
Surtitre: 
FIBA Women's EuroBasket 2023
Date d’écriture: 
Vendredi, 16. Juin 2023
Vignette: 
Chapeau: 
Sur les 192 joueuses qui participent en ce moment au championnat d'Europe féminin 2023, organisé à Tel Aviv (Israël) et Ljubljana (Slovénie), 36 sont passées par un club de Ligue Féminine. Tour d'horizon.
crédit: 
Laura Gil (Espagne) a joué à Basket Landes cette saison - FIBA
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Anete Steinberga mate l'Espagne

Corps: 
Hors Équipe de France, elles sont 9 joueuses passées par la LFB cette saison à fouler depuis hier les parquets de Tel Aviv (Israël) et Ljubljana (Slovénie) à l'occasion du FIBA Women's EuroBasket 2023. Quelles ont été leurs performances à l'occasion de la première journée ? Voici les réponses.
 
Belgique (victoire 108-59 contre Israël)
 
Julie Allemand (Lyon) : 14 points, 5 rebonds et 8 passes en 26 minutes
Kyara Linskens (Lattes Montpellier) : 12 points, 4 rebonds et 6 passes en 18 minutes
Julie Vanloo (Lattes Montpellier) : 16 points et 5 passes en 22 minutes
 
Allemagne (défaite 50-58 contre la France)
 
Luisa Geiselsöder (Roche Vendée) : 8 points et 4 rebonds en 18 minutes
 
Lettonie (victoire 67-63 contre l'Espagne)
 
Anete Steinberga (Bourges) : 22 points et 6 rebonds en 36 minutes
 
Serbie (victoire 71-63 contre la Turquie)
 
Yvonne Anderson (Bourges) : 17 points et 5 passes en 33 minutes
 
Slovaquie (défaite 67-89 contre la Hongrie)
 
Ivana Jakubcova (Angers) : 8 points et 3 rebonds en 31 minutes
 
Espagne (défaite 63-67 contre la Lettonie)
 
Laura Gil (Basket Landes) : 20 points et 10 rebonds en 27 minutes
Laura Quevedo (Lyon) : 1 rebond en 5 minutes
Catégorie: 
Surtitre: 
FIBA Women's EuroBasket 2023
Date d’écriture: 
Vendredi, 16. Juin 2023
Vignette: 
Chapeau: 
La première surprise de l'Euro est venue de Tel Aviv où la Lettonie, emmenée par une grande Anete Steinberga, a dominé l'Espagne. L'intérieure du Bourges Basket a brillé (22 points) tout comme celle de Basket Landes Laura Gil dans le camp ibérique (20 points).
crédit: 
Photo : FIBA
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Coupes d'Europe 2023-2024

Corps: 
Les playoffs LFB 2023 ont livré leur verdict avec le sacre de Lyon lundi soir en finale (2-1 contre Villeneuve d’Ascq). Pour déterminer les équipes qualifiées pour les Coupes européennes 2023-2024 au terme de la saison sportive 2022-2023, l’ordre préférentiel suivant sera appliqué :
 
1. Équipe qui a dans son effectif le plus grand nombre d’internationales* : Lyon LDLC ASVEL Féminin
2. Équipe Championne de France LFB 2023 : Lyon LDLC ASVEL Féminin
3. Équipe classée première à l’issue de la phase 1 du championnat LFB 2022-2023 : Lyon LDLC ASVEL Féminin
4. Équipe vainqueure de la Coupe de France 2022-2023 : Basket Landes
5. Équipes déterminées selon l’ordre du classement à l’issue de la phase 1 du championnat LFB 2022-2023
 
Selon l’ordre préférentiel, les places sont prioritairement attribuées pour une qualification en Euroligue. Les places européennes restantes sont qualificatives pour l’Eurocoupe.
 
Une fois le nombre de places européennes attribuées à la France connu, le Bureau Fédéral validera, en juin, les équipes qui seront engagées dans les deux compétitions européennes de clubs.
 
*Internationales françaises 5x5 et 3x3 au 17 mai 2023 inscrites sur une liste établie par la Direction Technique Nationale. Sont prises en compte dans le décompte uniquement les joueuses ayant un contrat pour la saison sportive 2023-2024.
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Ligue Féminine
Date d’écriture: 
Mardi, 23. Mai 2023
Vignette: 
Chapeau: 
Le Bureau Fédéral de la Fédération Française de BasketBall s’est réuni pour valider l’équipe ayant le plus d’internationales dans son effectif, critère d’attribution numéro 1 pour les qualifications en Coupes d’Europe 2023-2024.
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Lyon champion de France LFB 2023

Corps: 
Playoffs LFB - Finale match 3
 
Lyon - Villeneuve d'Ascq 74-68 / Revoir le match
 
Dos à dos après avoir chacun remporté un match des Finales LFB 2023, Lyon et Villeneuve d'Ascq se présentaient sur le parquet de l'Astroballe avec l'ambition de remporter le deuxième titre LFB de leur histoire. La pression était vite évacuée par deux équipes bien dans leur match à l'image de Marine Johannes et une main déjà chaude (10-10, 5'). Dans le camp villeneuvois, c'est Kamiah Smalls qui portait son équipe sur ses épaules dans le premier quart-temps (18-14, 10').
 
Les Guerrières montaient le curseur pour revenir, offensivement avec Diaby sous le cercle et défensivement par Djekoundade et ses longs segments. L'agressivité des Guerrières perturbait la mécanique lyonnaise qui se grippait. Et il fallait tout le talent du duo Johannes-Allemand pour remettre de l'ordre dans la maison blanche avec un 10-2 (30-26, 17'). Kamiah Smalls se mêlait au combat pour garder l'ESBVA-LM à hauteur de son adversaire à mi-parcours (37-37).
 
Le retour des vestiaires était difficile pour les deux équipes qui voyaient leurs tirs se fracasser sur les arceaux villeurbannais. Les points au tableau d'affichage faisaient du surplace et chaque panier marqué semblait être une libération pour les joueuses (45-44, 27'). Smalls et Heriaud d'un côté, Chartereau et Johannes de l'autre, apportaient leur écot dans un troisième quart-temps longtemps fermé et qui retrouvait de la folie dans les dernières minutes (53-51, 30').
 
La température montait de quelques degrés avec une Johannes toujours aussi spectaculaire et la sortie du tunnel de Kennedy Burke. La MVP de la saison gonflait les muscles après avoir traversé cette rencontre comme un fantôme (4 points en 3QT, 15 au final). Chartereau puis Gruda calmaient les ardeurs de Guerrières un peu trop généreuses dans les contacts et qui voyaient leurs adversaires prendre le large (69-61, 36'). L'ESBVA-LM s'accrochait pour retarder l'échéance mais Lyon verrouillait le rebond et devenait le nouveau champion de France LFB.
 
Palmarès - Les 10 derniers champions
 
2023 Lyon
2022 Bourges
2021 Basket Landes
2020 -
2019 Lyon LDLC ASVEL Féminin
2018 Bourges
2017 Villeneuve d’Ascq 
2016 Lattes Montpellier
2015 Bourges
2014 Lattes Montpellier

 

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Surtitre: 
Ligue Féminine - Finales 2023
Date d’écriture: 
Lundi, 22. Mai 2023
Vignette: 
Chapeau: 
Lyon est le nouveau champion de France LFB après sa victoire lors du match 3 des Finales LFB (74-68). Il s'agit du deuxième titre en Ligue Féminine pour le club lyonnais, quatre ans après leur dernier sacre.
crédit: 
Photo : Juliette Servant
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Les yeux sur le titre

Corps: 
Playoffs LFB - Finale match 3
 
Après 7 mois d'un championnat intense et engagé, les deux meilleures équipes de la saison régulière, qui l'ont terminée avec le même bilan (18-4), se retrouvent pour la huitième et dernière fois face à face (2 en championnat, 2 en Eurocoupe, 2 en finale des playoffs et 1 en Coupe de France). Si la balance comptable penche clairement du côté lyonnais (6 victoires), soyez certains que les Guerrières n'en ont que faire.
 
Au cours de cette finale, chaque équipe a su défendre son territoire et il est donc logique de les voir se disputer le titre sur un match 3 qui sent la poudre. L'Astroballe a porté ses Lionnes samedi comme le Palacium l'avait fait trois jours plus tôt dans le Nord. Invaincues cette saison dans la grande salle de la banlieue lyonnaise, les joueuses de David Gautier auront la faveur des pronostics au coup d'envoi mais les partenaires de la MVP Kennedy Burke, discrète sur ces finales, se battront jusqu'à la dernière seconde pour renverser la table.
 
Lundi 22 mai
Lyon – Villeneuve d’Ascq / 20h45 - Sport en France* et YouTube FFBB
 
*Sport en France est accessible sur Orange (174) | Bouygues (192) | FREE (190) | SFR (129) | Molotov | MyTvchain | Samsung TV | Application Mobile : App Store & Google Play | www.sportenfrance.com
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Ligue Féminine - Finales 2023
Date d’écriture: 
Dimanche, 21. Mai 2023
Vignette: 
Chapeau: 
Lyon et Villeneuve d'Ascq disputent lundi soir, à l'Astroballe, le match 3 de la finale des playoffs LFB 2023 (20h45 en direct sur Sport en France). Le vainqueur inscrira pour la deuxième fois de son histoire son nom au palmarès de la Ligue Féminine.
crédit: 
Alexia Chartereau et Maïa Hirsch - Photo : Claire Porcher
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Lyon décroche le match 3

Corps: 
Playoffs LFB - Finale match 2
 
Lyon - Villeneuve d'Ascq 85-72 / Revoir le match
 
Sous pression après avoir perdu lors du match 1 dans le Nord, les Lyonnaises étaient dans l'obligation de l'emporter afin de prolonger la finale jusqu'au match 3. Une explication logique au début de rencontre timide de leur part mais aussi des Guerrières (2-2, 4'). Plus agressives vers le cercle à l'image de Marine Johannes, les Lionnes engrangeaient des points sur la ligne (8/9 dans ce QT) ce qui leur permettait de pointer en tête au premier passage intermédiaire (20-14, 10').
 
Villeneuve d'Ascq recollait immédiatement mais Julie Allemand puis Alexia Chartereau envoyaient deux flèches qui faisaient lever l'Astroballe (26-18, 12'). Rachid Meziane rappelait alors ses joueuses pour une mise au point qui s'avérait inefficace. Les Lionnes passaient en effet à +12 sur une interception de la meneuse belge de Lyon (32-20, 15') et le second temps-mort du technicien villeneuvois ne calmait pas les ardeurs d'un duo Sandrine Gruda - Marine Johannes en feu. Malgré les efforts de Kariata Diaby, les locales prenaient le large (49-30, 20').
 
Quel visage les Guerrières allaient-elles afficher au retour des vestiaires ? La réponse arrivait illico avec un 7-0 express en guise d'alerte pour les Lyonnaises. Gruda sortait alors l'exctincteur pour noyer les braises nordistes que Kennedy Burke avait allumées (57-37, 25') et Julie Allemand utilisait toute sa palette pour garder l'ESBVA-LM à distance. Tout souriait à l'ASVEL Féminin et Juste Jocyte (meilleure marqueuse du match avec 18 points) qui, contrairement au match aller, continuait d'appuyer sur l'accélérateur (67-45, 30').
 
Villeneuve d'Ascq repartait au combat malgré un désavantage clair au score. Peu importe, Maïa Hirsch et ses partenaires n'allaient rien lâcher. La 5e faute de Johannes et des Lionnes déjà dans la pénalité laissaient une petite opportunité aux Guerrières (70-56, 35'). Elles parvenaient à passer sous la barre des 10 points dans la dernière minute mais elles partaient de trop loin pour espérer braquer l'Astroballe. Il y aura un match 3 lundi prochain.
 
Match 3 le lundi 22 mai
Lyon – Villeneuve d’Ascq à 20h45 en direct sur Sport en France* et YouTube FFBB
 
*Sport en France est accessible sur Orange (174) | Bouygues (192) | FREE (190) | SFR (129) | Molotov | MyTvchain | Samsung TV | Application Mobile : App Store & Google Play | www.sportenfrance.com

 

Catégorie: 
Surtitre: 
Ligue Féminine - Finales 2023
Date d’écriture: 
Samedi, 20. Mai 2023
Vignette: 
Chapeau: 
Porté par une Sandrine Gruda des grands soirs (17 points), Lyon a battu Villeneuve d'Ascq dans le match retour des finales LFB (85-72). Les deux équipes se retrouveront lundi soir, toujours à l'Astroballe, pour la belle décisive (20h45).
crédit: 
Sandrine Gruda a été impériale - Photo : Claire Porcher
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Dans la terre des Lionnes

Corps: 
Playoffs LFB - Finale match 2
 
"On a travaillé dur toute la saison pour obtenir l'avantage du terrain, à nous d'être bons samedi" indiquait Alexia Charteau mercredi soir. En effet, les Lionnes se sont battues toute la saison pour l'obtenir, il faudra donc en être à la hauteur et profiter de l'énorme opportunité qu'il confère. Pour la quatrième fois de la saison, Sandrine Gruda et ses copines s'emparent de l'Astroballe, temple habituel des garçons de l'ASVEL et terre bénite des Lionnes où elles n'ont pas perdu. Elles y ont surtout joué deux récitals majeurs : la finale aller de l'Eurocoupe (+39) et le match retour en demi-finale contre Bourges (+20). "La pression est sur les épaules de Lyon avec leurs deux matches à domicile" taquinait Rachid Meziane, le technicien nordiste, à l'issue de la finale aller.
 
Dans ces conditions, la tâche des Guerrières s'annonce immense. Mais pas impossible car l'ESBVA-LM a une capacité à encaisser les chocs, faire le dos rond et repartir vers l'avant : "L'ADN de notre équipe, c'est de ne jamais rien lâcher" acquiessait Caroline Heriaud. Le match 1 de la finale en est le parfait exemple puisque les Nordistes ont été mises dans les cordes à plusieurs reprises, su à chaque fois trouver la joueuse providentielle pour recoller (Hirsch, Diaby, Diallo) et enfin mettre le couvercle sur la victoire, ce que Lyon n'avait pas été capable de faire dans ses temps forts. "Dès qu'on est dans le confort, on a tendance à se relâcher" indiquait, lucide, l'entraîneur rhodanien David Gautier à la fin de la rencontre.
 
Au moment du coup d'envoi du match 2, samedi à 15h15, la pression sera infiniment plus grande dans le camp lyonnais qui vivra sa troisième finale de la saison (Eurocoupe, Coupe de France). Pour les Guerrières, cet exercice est déjà réussi mais Kennedy Burke et ses partenaires comptent bien y ajouter une saveur supplémentaire, celle d'un deuxième titre en LFB.
 
Samedi 20 mai
Lyon – Villeneuve d’Ascq à 15h15 en direct sur Sport en France*, France 3 Rhône-Alpes, YouTube FFBB et France.tv
 
Belle éventuelle le lundi 22 mai
Lyon – Villeneuve d’Ascq à 20h45 en direct sur Sport en France* et YouTube FFBB
 
*Sport en France est accessible sur Orange (174) | Bouygues (192) | FREE (190) | SFR (129) | Molotov | MyTvchain | Samsung TV | Application Mobile : App Store & Google Play | www.sportenfrance.com
Catégorie: 
Surtitre: 
Ligue Féminine - Finales 2023
Date d’écriture: 
Vendredi, 19. Mai 2023
Vignette: 
Chapeau: 
Dos au mur après avoir été battu à Villeneuve d'Ascq, Lyon comptera sur l'atmosphère de l'Astroballe pour égaliser et ainsi envoyer la série finale dans un match 3. A défaut, les Guerrières mettront la main sur le trophée, 6 ans après leur premier sacre.
crédit: 
Sandrine Gruda - Photo : Albane Toulouse/FFBB
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