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Playoffs LFB - Demi-finales aller Tarbes - Basket Landes 67-62 / Revoir le matchTombeur de Bourges au tour précédent, Tarbes a idéaement lancé sa demi-finale à domicile. Porté par le trio Leite (17 points, 9 passes) - Kessler (16 points) - Foppossi (13 points), le TGB a fait voler en éclats la défense landaise dans les premières minutes (23-9, 10'). Un temps à +15, les Bigourdanes ont connu une panne terrible qui a permis à Basket Landes de revenir grâce à Louise Bussière, auteure de 9 points consécutifs juste avant la pause (35-37, 20'). La deuxième mi-temps a été plus disputée avec un TGB qui a le plus souvent tenu les commandes, malgré une Dominique Malonga discrète (8 points à 4/10), sans pouvoir lâcher son adversaire (53-50, 30'). Côté landais, Alexis Peterson (13 points) et Clarince Djaldi-Tabdi (10 points, 6 rebonds) ont assuré au scoring. Le match retour dimanche à Mont-de-Marsan promet d'être animé. Lattes Montpellier - Villeneuve d'Ascq 64-95 / Revoir le matchOn ne sait pas si c'est le BLMA qui a raté son entame ou si les Guerrières ont livré dix premières minutes de rêve. Un peu des deux sans doute mais le résultat au tableau d'affichage était sans appel (9-25, 10'). En difficulté aux tirs (31% de réussite), les Gazelles sont tombées sur un os puisque l'ESBVA-LM n'a presque rien manqué à l'image de Kamiah Smalls (23 points à 6/7 de loin). A la pause, la messe était dite (28-47, 20') mais Villeneuve d'Ascq n'a jamais levé le pied en prévision du match retour (43-74, 30'). L'écart final est dur pour Lattes Montpellier et Ameryst Alston (15 points) mais reflète parfaitement la domination nordiste dans cette demi-finale aller. Rachid Meziane et ses joueuses ont un pied en finale. Matchs retour - Dimanche 5 maiBasket Landes (3) - Tarbes (7) à 14h30Villeneuve d'Ascq (1) - Lattes Montpellier (4) à 16h15 Toutes les rencontres seront diffusées en direct sur Sport en France, Skweek et la chaîne YouTube de la FFBB. Les demi-finales des playoffs se disputent en match aller/retour avec match retour chez le mieux classé à l’issue de la saison régulière. Les résultats à égalité sont admis sur ces rencontres. Entre parenthèses le classement à l'issue de la saison régulière.
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Date de publication 05/02/2024 - 22:40
Nid 86131
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Playdowns - Journée 3 Saint-Amand - Charleville-Mézières 58-82 / Revoir le matchLe choc psychologique du changement de coach n'a pas eu l'effet escompté dans le Nord. Si les Green Girls ont fait jeu égal en première mi-temps avec les Flammes (34-40 à la pause), elles ont totalement coulé au retour des vestiaires. Un terrible 26-9 dans le troisième quart-temps en faveur des partenaires d'Ornella Bankole (14 points, 9 rebonds) a éteint tout suspense alors que les locales ont remporté la dernière période pour la forme.  Landerneau - Roche Vendée 70-42 / Revoir le matchParti en dernière position, Landerneau est en train de réaliser des playdowns parfaits. Les Bretonnes ont méthodiquement construit leur troisième victoire (19-10, 10' puis 39-24, 20') avec Nausia Woolfolk (19 points) et Evelyn Akhator (13 points) en fer de lance. Côté vendéen, Ana Suarez et Assitan Koné (11 points chacune) ont fait le travail mais le RVBC n'avait pas les armes pour rivaliser ce soir. Le classement après la J3 1. Charleville-Mézières (15 points | 6-3)2. Landerneau (13 points | 5-4)3. Roche Vendée* (12 points | 4-5)4. Saint-Amand (12 points | 3-6) * Landerneau et Roche Vendée ont été sanctionnées d’un retrait d’un point en playdowns par la Commission de Contrôle de Gestion.
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Date de publication 05/02/2024 - 22:05
Nid 86130
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Un jour avant tout le monde, le Vendée Challans Basket aura son sort entre les mains. En déplacement dans un Colisée déjà annoncé complet avec près de 4000 spectateurs, les joueurs de Sébastien Lambert devront résister à Marc-Antoine Pellin et ses coéquipiers après la lourde défaite de vendredi dernier.Dans les autres duels, Caen devra assurer pour ne pas passer à la trappe dès le premier tour. Mais le Havre, en grande confiance après la démonstration à l’aller, aura très certainement un momentum qui jouera en sa faveur. Cependant, le CBC pourra compter sur l’avantage de jouer à domicile désormais pour sortir de cette série indemne. Même chose pour Andrézieux-Bouthéon et Avignon-Le Pontet, malgré leur échec à Vitré et à Mulhouse, qui pourront compter dès vendredi sur leur public pour inverser la tendance. Pour Boulogne-sur-Mer, Rueil, Pont-de-Chéruy et Loon-Plage, la donne sera bien différente avec le défi de s'imposer en terres ennemies.L’objectif des huit protagonistes sera de débloquer à tout prix un ultime match dès dimanche pour revenir dans la course.Le programme des huitièmes de finale retour*Jeudi 02 mai 2024C’Chartres Basket - Vendée Challans Basket (20H00 I Diffusé sur Chartres TV)Vendredi 03 mai 2024Union Sportive Avignon/Pontet - Aurore Vitré Basket Bretagne (20H00 I Diffusé sur YouTube)Union Tarbes-Lourdes Pyrénées Basket - SO Maritime Boulogne (20H00 I Diffusé sur YouTube)UJAP Quimper - RAC Basket Première (20H00 I Diffusé sur Facebook)Andrézieux-Bouthéon Loire Sud Basket - Mulhouse Basket Agglomération (20H00 I Diffusé sur YouTube)Caen Basket Calvados - Saint-Thomas Basket Le Havre (20H00 I Diffusé sur YouTube)Tours Métropole Basket - SOPCC (20H00 I Diffusé sur YouTube)Saint-Vallier Basket Drôme - AS Loon-Plage Basket (20H30 I Diffusé sur YouTube)*Belle le dimanche 05 mai 2024 à 15H30 si nécéssaire.L’ensemble du calendrier de la saison de Nationale Masculine 1 est à retrouver ici.
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Thomas Puentes
Date de publication 05/02/2024 - 17:56
Nid 86128
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En début de saison, vous affichiez clairement le fait de vouloir retourner en finale de Ligue Féminine 2 pour pouvoir vous rapprocher une nouvelle fois de l’élite. C’est désormais fait. Quel est votre sentiment actuellement ?Effectivement, nous avons directement annoncé que nous voulions faire mieux que l’année dernière, donc lorsque l’on fait la finale c’est qu’on veut la gagner, être championnes et monter en Ligue Féminine. Notre sentiment aujourd’hui, c’est la satisfaction du parcours parce qu’il a tout de même été semé d’embûches avec notamment une préparation très perturbée par les blessures avec un retard en début de championnat. Mais derrière, nous avons trouvé notre rythme de croisière. Nous arrivons au moment des playoffs en meilleure forme possible, nous sommes contents du parcours même si notre objectif n’est pas encore atteint.Quel est votre regard sur votre effectif actuellement et le chemin parcouru ?Nous avons eu beaucoup de soucis en début de saison entre les blessures, le COVID, notamment sur le secteur intérieur qui a été extrêmement diminué, des joueuses qui n’ont pas joué le début de saison. Notre intérieure étrangère Uju Ugoka n’a pas joué les 11 premiers matchs. Malgré cela, nous nous sommes très vite installés dans le Top 4 puis le Top 3 et nous avons réussi au fur et à mesure à trouver une certaine constance. Notre effectif aujourd’hui est complet et nos 11 joueuses sont disponibles au meilleur moment de la saison.Pour le moment, vous êtes invaincus depuis le début des playoffs malgré un combat âpre contre Montbrison. Comment avez-vous abordé ces phases finales et pensez-vous que cette invincibilité jouera à votre avantage ?Nous sommes invaincus mais notre adversaire en finale aussi. Je crois que nous sommes les deux équipes les plus expérimentées à ce moment-là de la saison, que ce soit dans l’effectif avec les joueuses mais aussi avec le staff. Ce sera pour nous la troisième finale mais également la troisième de Toulouse avec Xavier Noguera à sa tête. Ce sont les deux équipes les plus expérimentées qui se sont le mieux sortis de ces séries de playoffs, très différentes dans leur physionomie et à fort enjeu. Les deux dynamiques sont très bonnes même si Toulouse a eu une fin de saison plus compliquée. De notre côté, nous avions réussi à nous imposer contre Aulnoye pour mettre fin à leur série d’invincibilité. Nous abordons cette finale avec un maximum de confiance mais je crois que notre adversaire aussi.Comment préparez-vous cette finale avec l’enjeu qui va avec ?On prépare ça comme on a préparé tous nos matchs de la saison. Avec la plus grande minutie, la plus grande concentration. La chance que nous avons dans notre effectif, c’est que nous avons cinq joueuses qui ont déjà joué la finale l’année dernière, cinq joueuses importantes de notre équipe avec cinq autres joueuses qui sont arrivées avec cet objectif de retourner en finale et jouer le titre. Nous abordons cette série avec une grande concentration, nous avons pu préparer correctement ce match avec une semaine complète mais nos habitudes n'ont pas changé depuis le début des playoffs.Vous retrouverez Toulouse en finale, une équipe qui vous a donné du fil à retordre lors de vos deux rencontres en saison régulière (Défaite aller : 53-55 / Victoire retour : 65-71). Quel votre regard sur cette équipe, ses forces … ?Effectivement, une victoire partout même si au match aller notre équipe était amputée de plusieurs joueuses majeures notamment dans le secteur intérieur et Toulouse l’avait emporté au buzzer malgré notre avance de 20 points. L’équipe de Toulouse est certainement sur le papier un des plus gros rosters du championnat avec de très fortes individualités dont trois joueuses que l’on connait bien qui sont passées par Chartres (Nicole Enabosi, Binta Drame, Catherine Mosengo-Masa). A côté, Isabelle Strunc est extrêmement expérimentée par exemple, qui a déjà été championne ou encore Margot de Freitas dans un travail plus de l’ombre mais également championne il y a deux ans. C’est un très bel effectif, une équipe plus tournée vers l’attaque. Nous avons également montré que notre effectif était solide, que nous avions un effectif complet avec 10 joueuses capables de jouer. Nous sommes la meilleure défense du championnat et nous l’avons prouvé depuis le début des phases finales. Ça va être une belle opposition de style et on verra quelle équipe arrivera à imposer le sien.Après 2017 et 2023, quels enseignements avez-vous tiré qui pourront servir à cette troisième participation ?Des enseignements on en tire plein, chaque saison, pas qu’en finale. Si on analyse les choses avec du recul, il faut retenir la leçon et ce qui nous a manqué l’année dernière à savoir une raquette un peu plus dense en volume et en physique et c’est ce qu’on s’est attaché à faire cette saison. Nous avons vraiment voulu renforcer l’effectif pour qu’il soit plus complet. Maintenant, c’est difficile de comparer ces trois finales, nous sommes très différents, les adversaires aussi mais en tout cas nous sommes prêts pour ce grand rendez-vous et les filles sont programmées depuis le premier jour pour en arriver là. Il n’y a plus qu’à tout donner sur les trois semaines qui nous restent de compétition.Quelles seront les clés pour venir à bout du Toulouse Métropole Basket ?La défense. Il faudra stopper leurs velléités offensives, elles ont de la qualité individuelle et il y a depuis janvier, Japreece Dean qui sur les playoffs est la meilleure scoreuse de Toulouse avec de grosses performances individuelles. Nicole Enabosi que nous connaissons très bien a haussé son niveau de jeu également. Nous devons collectivement être en place défensivement et réussir à ne pas leur donner de choses trop faciles. Comme beaucoup de fois dans les matchs de basket, la lutte au rebond sera très importante et c’est un secteur où nous pouvons être dominants et il faudra l’être sur ces finales. Le programme des Finales de Ligue Féminine 2 2024 :- Samedi 04 mai : C'Chartres Basket Féminin - Toulouse Métropole Basket (20H00 I Diffusé sur YouTube)- Dimanche 12 mai : Toulouse Métropole Basket - C'Chartres Basket Féminin (15H30 I Diffusé sur YouTube)Belle si besoin- Samedi 18 mai : C'Chartres Basket Féminin - Toulouse Métropole Basket (20H00 I Diffusé sur YouTube)
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Gustave Pitet
Date de publication 05/02/2024 - 12:05
Nid 86126
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Dernière équipe parmi les sports collectifs français encore en lice pour obtenir son billet pour les Jeux Olympiques de Paris 2024, l’Équipe de France 3x3 masculine tentera de décrocher ce précieux sésame au Japon. Les Bleus auront deux possibilités d’obtenir l’un des 4 tickets restants pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 puisqu’ils sont engagés dans deux TQO sur trois grâce à leur statut de pays hôte : Utsunomiya (Japon) du 3 au 5 mai 2024 et Debrecen (Hongrie) du 16 au 19 mai 2024.Au terme d’un stage de préparation intense en Corée du Sud et au Japon, quatre joueurs ont été retenus pour participer au Tournoi de Qualification Olympique (TQO) d’Utsunomiya. Déjà aperçus sous le maillot Bleu l’été dernier, Jules Rambaut, Hugo Suhard et Alex Vialaret seront accompagnés de Lahaou Konate qui vivra sa première sélection en Équipe de France 3x3.Têtes de série numéro trois grâce à leur sixième place au classement mondial, les Bleus devront obligatoirement s’imposer pour décrocher le seul et unique billet qualificatif mis en jeu sur ce tournoi. Placés dans la Poule B avec l’Egypte, la Mongolie et le Japon, les Français devront tout d’abord terminer à l’une des deux premières places puis remporter la demi-finale et la finale afin d’obtenir leur billet pour les Jeux Olympiques de Paris 2024.Le Groupe France 3x3 masculin :NomPrénomNée leRanking Mondial (au 02-05)Club Saison 2023-24KONATELahaou17/11/1991NCMetropolitans 92 (Betclic Elite)RAMBAUTJules06/04/1998623x3 ParisSUHARDHugo13/03/1992164CEP Lorient (NM1)VIALARETAlex15/12/1994923x3 ParisEntraîneur : Karim Souchu Retrouvez le programme et les résultats du TQO de Utsunomiya en cliquant iciLes rencontres sont à suivre en direct sur La Chaîne L'Equipe et lequipe.fr/tv
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Tom Thuillier
Date de publication 05/02/2024 - 09:35
Nid 86124
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La Direction Technique du Basketball National a mis en place ce diplôme fédéral, intégré au statut de l'entraîneur. En validant le DEFB, ainsi que le Diplôme d'Analyste du jeu en Basket Ball (DAJB), il vous sera possible de prétendre à un poste d'assistant sur les divisions professionnelles (LNB/ LFB). La formation dispensée permet d’acquérir un niveau d'expertise dans l'analyse de la performance. Le programme est axé sur: - l'analyse technique, tactique et stratégique du basketball de haut-niveau - la familiarisation avec les technologies liées au travail vidéoLe Diplôme Fédéral d'Analyste du jeu en Basket Ball commence chaque année au début de la saison sportive, selon le calendrier prévisionnel suivant :- date d'inscription : jusqu'au 15 juin 2024- sélection des candidats et prise de contact : fin juin 2024/début juillet 2024- début de la formation : septembre 2024- fin de la formation et examen : avril 2025Pour vous inscrire, cliquer-ici, afin de télécharger dans l’onglet programme le dossier d’inscription à nous renvoyer par courrier avant le 15 juin 2024. 
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Date de publication 05/02/2024 - 09:31
Nid 86123
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Pour la première fois dans l'histoire de la LFB, les voisins landais et tarbais vont s'affronter en playoffs. Si la logique a été respectée en quarts pour Basket Landes qui a sorti une formation de Lyon très diminuée, Tarbes a réussi l'exploit d'éliminer le deuxième de la saison régulière, Bourges. Une performance qui doit donc inspirer la méfiance pour Marie Pardon et ses partenaires puisqu'elles joueront le match aller dans le chaudron du Quai de l'Adour, là où les espoirs berruyers se sont envolés (87-69 pour le TGB). Dans l'autre demi-finale, Lattes Montpellier et Villeneuve d'Ascq se retrouveront après un premier tour accroché. Les Gazelles avaient fait le plus dur à Charnay (+15) avant de trembler jusqu'au bout à domicile (-11). Côté nordiste, si les quarts sont passés avec deux succès, ils ne l'ont été que de 9 points à chaque fois. Il faudra également faire avec l'absence de la MVP de la saison Kenndy Burke, partie en WNBA, et intégrer au mieux sa remplaçante Keisha Hampton. Playoffs LFB - Demi-finales aller Jeudi 2 maiTarbes (7) - Basket Landes (3) à 19h00Lattes Montpellier (4) - Villeneuve d'Ascq (1) à 20h50 Toutes les rencontres seront diffusées en direct sur Sport en France, Skweek et la chaîne YouTube de la FFBB. https://basketlfb.com/actualite/86019 Matchs retour - Dimanche 5 maiBasket Landes (3) - Tarbes (7) à 14h30Villeneuve d'Ascq (1) - Lattes Montpellier (4) à 16h15 Les demi-finales des playoffs se disputent en match aller/retour avec match retour chez le mieux classé à l’issue de la saison régulière. Les résultats à égalité sont admis sur ces rencontres. Entre parenthèses le classement à l'issue de la saison régulière.
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Date de publication 05/02/2024 - 09:28
Nid 86122
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La course au maintien a des chances de se décanter, au moins pour une équipe. En effet, Charleville-Mézières, qui dispose de deux points d'avance sur ses concurrents, pourrait en ajouter un de plus si les Flammes dominent Saint-Amand. Avec une telle avance et plus que trois rencontres à jouer, les nuages au-dessus des têtes ardennaises pourraient se dissiper. Dans le dur, les Green Girls ont changé d'entraîneur puisque Julien Pincemin a été remplacé par son assistant, Fabrice Pontier. L'état major amandinois espère que cet électrochoc permettra de sauver le club de la relégation. Dans l'autre duel, Landerneau compte bien poursuivre son bon parcours avec une troisième victoire d'affilée en playdowns. Les Tigresses de Roche Vendée débarqueront à la Cimenterie avec dans leurs valises les deux succès acquis contre les Bretonnes en saison régulière. Playdowns - Journée 3 Jeudi 2 mai - 20h00Saint-Amand - Charleville-Mézières / YouTube FFBBLanderneau - Roche Vendée / YouTube FFBB Le classement après la J2 1. Charleville-Mézières (13 points | 5-3)2. Roche Vendée* (11 points | 4-4)3. Saint-Amand (11 points | 3-5)4. Landerneau* (11 points | 4-4) * Landerneau et Roche Vendée ont été sanctionnées d’un retrait d’un point en playdowns par la Commission de Contrôle de Gestion.
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Date de publication 05/02/2024 - 09:15
Nid 86121
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L’intégralité des matchs de l’Équipe de France 3x3 masculine, ainsi que le meilleur du Tournoi de Qualification Olympique 3x3, seront diffusés sur la chaîne l’Equipe, accessible à tous sur la TNT (Canal 21). Il sera possible de suivre l’événement en direct et en intégralité sur le site internet lequipe.fr/tv.Sixième nation mondiale au Ranking FIBA, les Bleus devront obligatoirement s’imposer pour décrocher le seul et unique ticket qualificatif pour les Jeux Olympiques de Paris 2024. Les hommes de Karim Souchu défieront l’Egypte, la Mongolie et le Japon en phase de poule à Utsunomiya (Japon).Programme de la compétition :DateRencontreLa Chaîne L’Equipelequipe.fr/tvVendredi 3 mai à 12h20France - EgypteEN DIRECTEN DIRECTSamedi 4 mai à 9h40France - MongolieEN DIFFÉRÉEN DIRECTSamedi 4 mai à 13h35Japon - FranceEN DIRECTEN DIRECTDimanche 5 maiDemi-finaleEN DIRECTEN DIRECTDimanche 5 maiFinaleEN DIRECTEN DIRECT Retrouvez le programme et les résultats du Tournoi de Qualification Olympique (TQO) de Utsunomiya en cliquant ici 
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Tom Thuillier
Date de publication 05/01/2024 - 05:04
Nid 86119
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Le Tournoi de Qualification Olympique (TQO) se déroulera du 3 au 5 mai à Utsunomiya, comment se passe votre préparation ?Ce début d’année est marqué par un objectif de qualification olympique évident. On a eu la chance et l’opportunité de participer à la « Pro League – Hoops Factory Edition », la première ligue professionnelle française, où on a fait face à du très haut niveau. Cela nous a permis de se jauger face à des concurrents directs pour la qualification olympique comme la Belgique, la Lituanie ou les Pays-Bas. On a élargi le groupe avec un stage à Beauvais lors de la fenêtre de février également. Cela nous a permis de découvrir de nouveaux visages mais aussi de pouvoir tous nous mettre en concurrence pour essayer d’élever le groupe pour préparer au mieux ce TQO.Comment vois-tu l’arrivée des joueurs du 5x5 en équipe nationale ?C’est une bonne pour le groupe, cela nous permet d’apporter des compétences différentes. Même si ils n’ont pas d’expériences 3x3, ce sont des joueurs qui ont une grosse expérience de jeu avec leur carrière. C’est aussi à nous, en plus du staff, de leur imprégner le plus rapidement possible les spécificités du 3x3 car tout joueur de 5x5 n’est pas un bon joueur de 3x3. Le maillot de l’équipe de France n’appartient à personne et on se bat tous pour faire partie de l’équipe. Les portes sont ouvertes à n’importe qui si on montre qu’on est meilleur que l’autre.La France n’est pas passé loin de se qualifier dès novembre grâce à son ranking mondial. En tant que 6ème nation mondiale peut-on dire que l’Équipe de France arrive favorite ?Je ne sais pas, en tout cas une chose est sûre c’est que nous avons battu chaque équipe présente au TQO et qu’elles nous ont battu aussi. Nous arrivons avec des certitudes car on sait qu’on a les capacités et les armes pour les battre. Nous ne sommes pas dans une configuration où l’exploit est nécessaire pour se qualifier. Après un match de 3x3 c’est un sprint de 10 minute où tout peut se passer, c’est à nous de travailler et de mettre tous les ingrédients pour que chaque possession soit la mieux gérer possible.Comment aborde-t-on une compétition aussi importante ? À quoi faut-il s’attendre ?J’ai vécu le TQO de Tokyo 2021 en tant que remplaçant. J’étais avec le groupe mais j’ai pu voir tout de l’intérieur avant de passer professionnel de la discipline depuis 2 ans et demi. On a beau se préparer faire des Masters sur le World Tour ou des Coupes du Monde mais les Jeux Olympiques c’est quelque chose à part. Toutes les nations ont une énergie supplémentaire, c’est quelque chose qui est plus profondément ancré en nous. On sent qu’il y a une atmosphère palpable autour de ce TQO. En plus d’être bon sur le terrain il va falloir être fort mentalement. On a emmagasiné beaucoup d’expérience depuis 2 ans pour préparer ces moments-là.Vous connaissez très bien les joueurs que vous allez affronter car vous les croisez régulièrement sur le circuit international 3x3. C’est compliqué de jouer toujours les mêmes joueurs ?Toute l’année notre quotidien c’est de jouer ces joueurs-là. C’est vrai que nous avons une communauté assez restreinte dans la discipline. Lorsqu’on fait partie de l’élite mondiale on retrouve les mêmes têtes semaines après semaines aux quatre coins du monde. Ce sont aussi ces équipes-là qui sont les meilleurs et qu’il faut affronter. C’est quelque chose qui fait partie du jeu, tout le monde s’adapte. A nous maintenant de nous adapter pour être le meilleur le moment venu.Il y a-t-il des équipes à craindre plus que d’autres ?Non pas du tout. J’ai même envie de dire qu’on parle de concurrent comme la Lituanie ou les Pays-Bas mais dès les poules l’Egypte, la Mongolie et le Japon vont être des adversaires redoutables. Ce serait se tromper de ne pas respecter ces équipes là parce si nous avons travaillé à l’entrainement eux aussi. Tout le monde va être prêt, il y aura une énergie supplémentaire et si elle va nous porter, eux aussi.Ce Tournoi de Qualification Olympique (TQO) et les Jeux Olympiques vont-ils au-delà de l’aspect sportif ?Bien sûr, on voit la médiatisation, il y a une sorte d’euphorie mais on reste concentré sur le TQO pour l’instant. Je pense que les Jeux vont être essentiels pour notre discipline, les TQO vont aussi nous permettre de mettre en lumière notre sport. Cela va mettre un coup de projecteur sur la discipline même si j’espère que nous l’avons déjà fait via nos résultats sur le World Tour et la Pro League avec « 3x3 Paris ». A nous de représenter au mieux nos couleurs pour pouvoir fièrement porter ce maillot aux Jeux. Retrouvez le programme complet de la Tournoi de Qualification Olympique (TQO) de Utsunomiya en cliquant iciLes rencontres seront à suivre en direct sur la chaîne l’Equipe et lequipe.fr/tv 
Auteur
Tom Thuillier
Date de publication 05/01/2024 - 04:28
Nid 86118
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D’un point de vue collectif et personnel, vous venez de vivre une saison exceptionnelle qui a abouti le 16 avril dernier par un titre de Champion de France et une accession en Pro B. Quel est le sentiment actuellement de votre côté de voir votre club de cœur arriver à ce dénouement cette saison ?Eh bien, c'est un vrai plaisir parce que la probabilité que cela se produise cette année était quand même peu importante. À la base, suite de la relégation sportive du HTV Basket en Nationale Masculine 2 mais d’avoir quand même pu continuer en Nationale Masculine 1 grâce au repêchage administratif, on avait construit, par rapport à la masse salariale qui était la nôtre, une équipe capable de se maintenir en NM1. Et nous avions énormément d’incertitudes par rapport à cette capacité à le faire alors se retrouver aujourd’hui Champion de France avec une montée à l’étage supérieur, c'est une grande satisfaction, une grande fierté et surtout très heureux pour le club.Par rapport à ça, vous, vous avez connu Hyères-Toulon dans l'élite et en Pro B (1994-2005). Quand vous êtes revenu sur le banc du HTV à l'intersaison, quelles étaient vos motivations et vos objectifs ?Si vous voulez, moi j'ai fait quand même abstraction de mon vécu avec le club parce qu’on n'était pas du tout dans la même configuration. J'ai passé 25 ans dans ce club-là (joueur de 1981 à 1990 avec l’OS Hyères et entraîneur de 1994 à 2005). La donne était bien différente avec un club donc qui avait été repêché administrativement, qui était à deux doigts de la relégation en NM2 et il fallait repartir à zéro, même s'il y a eu du travail de fait pendant ces années pour faire remonter le club à ce niveau-là. Donc, mon état d'esprit était de juste de se dire « Bon, essayons ». C'était le défi hein ? Moi, normalement je ne devais pas reprendre le coaching. C’était clair dans ma tête quand j'avais arrêté à Dijon (saison 2014-2015) pour prendre le poste du manager général. Et il n’a jamais été question que je reprenne. Les occasions sont présentées, elles ont toutes été refusées. Mais là, c'était mon club de cœur. J'étais redescendu dans le Sud. J'y ai des amis, entre autres, William Dumas (manager général du club) que j'ai entraîné pendant des années au HTV, et puis il a eu un projet avec Mathieu Perrymond, le nouveau président qui m'a donné envie de repartir dans l'aventure du coaching. Et surtout, l’envie d'essayer de stabiliser, au moins sportivement déjà le club en Nationale Masculine 1. Voilà, c'était ça mon ambition à titre personnel. Mais c'était l'ambition partagée par tout le club.Même si vous avez dit que vous avez fait abstraction du passé, les choses ont-elles énormément changé depuis votre dernière saison avec le club varois  ?Evidemment quand vous passez d’un club de l’élite à la Nationale Masculine 1, les conditions de travail ne sont pas du tout les mêmes. En revanche tout le monde a très vite compris que dans certains domaines, il fallait très vite professionnaliser. Je vous donne juste un exemple, par rapport à l'approche médicale qui est quand même très importante vu le championnat de NM1 qui est très exigeant par la fréquence des matchs. Il y a très vite eu une volonté de la part du président et de ses dirigeants et avec William Dumas, de mettre en place une organisation qui est cohérente par rapport à la professionnalisation du club, donc ça faisait partie du projet, donc c'était très intéressant. Après il y avait, le niveau sportif de la Nationale Masculine 1 que moi je ne connaissais pas particulièrement même si j'ai ces dernières années j'avais assisté à quelques matchs de Hyères-Toulon. Mais il y avait beaucoup d'incertitudes sur comment aborder ce championnat et arriver à entraîner une génération que je n’ai jamais coaché. Et puis là, franchement, ça a été une très agréable surprise parce que j'ai eu un groupe extraordinaire avec une grande majorité de jeunes, très entraînable et très coachable qui ne m'ont posé aucun problème dans ce domaine-là. Cela étant, il fallait juste trouver le curseur entre l'exigence qui pouvait être la mienne et l'exigence que je pouvais leur demander par rapport à la NM1. Donc ça nous a mis un petit peu le temps pour trouver les bons repères, les bons leviers à activer. Par rapport à cette exigence, vous parliez de la NM1. Vous qui avez connu les divisions du dessus, quel regard avez-vous sur le niveau de jeu globalement, par rapport aux joueurs, par rapport aux équipes, aux organisations ?Alors franchement, au niveau sportif, j’ai vraiment le sentiment qu'on est vraiment dans l'antichambre de la Pro B. Il y a, je pense, pas mal de joueurs qui peuvent jouer à l'échelon supérieur. Cela étant, il y a une dimension athlétique sur la NM1 qui n’est pas du même niveau que celle qu'on peut avoir au-dessus. Mais, globalement, il y a un bon niveau de jeu. L'exigence du haut-niveau, elle y est. Voilà, c'est pour ça, j'ai le sentiment que c'est le meilleur moyen de se préparer à franchir l'échelon supérieur. Que ce soit pour les joueurs, les entraîneurs ou pour les clubs. Au regard de tout ce qu'on a évoqué et avec toutes ces données, est-ce qu’au début de la saison, vous pensiez honnêtement que le scénario que vit actuellement le club était possible ? Est-ce que c'était dans un coin de votre tête l'idée de se dire « on peut le faire, on peut aller au bout » ?Avec beaucoup de franchise, j'ai passé déjà toute la préparation à demander à mon assistant, Gaëtan Étienne et au manager général pendant la préparation, si on était capable de se maintenir. Franchement, je découvrais cette division et on n’avait pas encore joué une équipe. J'avais vraiment un point d'interrogation. Les deux m'ont rassuré dans ce sens-là. Ce n’est pas pour autant que j’en étais convaincu. L'idée de ce scénario ne m'a jamais traversé l'esprit, excepté lorsqu'on est allé gagner à Quimper lors de la 2ème phase (ndlr. 56-67). Parce que là, je me suis dit « pourquoi pas », on n’est pas loin quoi. Et on sentait bien que dans le match qu’on avait fait là-bas et dans l'envie globale que peut-être, ça pouvait être d'actualité. Voilà, mais je vous avoue que c'est un discours qui n’a jamais transpiré au sein de l'équipe et parce la volonté était de prendre match après match depuis le début de saison sans se préoccuper plus que ça du classement. Surtout, on sait très bien que peut-être dans l'approche mentale, cela aurait été néfaste de commencer à leur parler, de monter un peu trop rapidement, cela aurait pu être contre-productif par rapport à ce qu'on faisait depuis le début de l'année.Quels ont été les ingrédients selon vous de cette réussite, autant de votre côté que du côté de votre groupe ?Sincèrement, on s'est mis au travail très tôt. On a commencé le premier août. On a amené dès le premier entraînement, un degré d'exigence qu'ils n’avaient sûrement pas l'habitude de connaître. Ils ont adhéré. Et ça, c'était important mais ce n’était peut-être pas le plus évident. Puis on s'est construit autour de notre défense, ce n’est pas une nouveauté me concernant (rires), mais je reste persuadé que l’aspect défensif est quand même essentiel si on veut performer. Le travail a payé parce qu’on finit première défense du championnat toutes poules confondues (67,9 points encaissés par match). On n’avait pas le choix en plus parce qu’on n’avait pas beaucoup de talent à l'origine, ce n’étaient pas des joueurs confirmés dans la division. Bien au contraire. Il nous fallait avoir une assise défensive pour pouvoir exister. Cela étant, on a beaucoup, beaucoup travaillé tout au long de la saison. On a pris match après match. On s'est juste focalisé surtout sur ce qu'on pouvait produire avec les exigences qui étaient mises, avec aussi beaucoup d'abnégation ... Il y avait une dynamique de groupe qui était très intéressante parce que j'ai eu la chance de vivre cette aventure-là avec un groupe extraordinaire. Le principe de partage du ballon en attaque a été assimilé par tout le monde très rapidement, personne n’a essayé de tirer la couverture pour lui. Ce sont des choses qui me parlent depuis des années. L'interrogation était au début "Est-ce qu'on serait capable de le faire avec ce groupe-là ?" Bien finalement, on a plutôt bien réussi. Est-ce qu'il y avait une vraie véritable volonté de donner les rênes à la jeunesse ? Entre autre, Maxim Eugene, Quentin Losser, qui revenait d'une saison compliquée à Lorient, ou encore Nikola Knevezic à Besançon. Tout à fait, c’étaient des joueurs qui étaient soit en difficulté, soit revanchards. Enfin en tout cas, pas obligatoirement satisfaits de leur sort jusqu'à présent. Alors, Maxim (Eugene), c'est pour moi le joueur emblématique du HTV mais aussi par rapport à cette capacité à défendre très dur qui me va bien. Donc c'est pour ça que je lui ai donné très rapidement le rôle de capitaine de cette équipe, alors que c'est un jeune joueur (23 ans). Quentin (Losser) aussi, c'est quand même un enfant du pays qui a grandi dans le Var. Voilà, ça a été le cas à peu près pour tous les joueurs qui ont composé cette équipe cette année. Il y avait aussi, je pense à Théo Lefebvre qui sortait d'une saison difficile à LyonSO qui est aujourd'hui dans le 5 majeur de la division et qui a énormément progressé. L'idée c'était d'essayer de les faire grandir individuellement et collectivement. Voilà, c'était un pari qui a été gagnant. Personnellement, vous avez été élu "Meilleur entraîneur NM1 2024". Comment vous recevez ça, surtout après 8 années d'absence sur le banc ?C'est surtout la récompense d'une équipe et du club. À titre personnel, j'ai eu la chance d'avoir été élu meilleur entraîneur de Pro A quelques années en arrière (ndlr. saison 2013-2014). Bien évidemment, ce titre me touche beaucoup, ça veut dire que j'ai réussi avec ce groupe à faire quelque chose d'assez exceptionnel. Mais avant toute chose, je vois plus cette récompense comme une récompense collective pour l'équipe, pour mon staff et pour le club que pour moi-même.  Est-ce que les habitudes, après une telle pause, sont vite revenues ? Est-ce que le recul que vous avez pris durant ces années vous a-t-il servi ?Et bien écoutez, c'était la question qui se posait, la capacité à entraîner, à coacher. Mais bon, oui c'est revenu assez vite hein finalement (rires). Les bonnes comme les mauvaises habitudes sont vite revenues. Même en arrêtant 7-8 ans et en prenant beaucoup de recul, du fait d'avoir été en poste en tant que manager général qui est un travail complètement différent, il n'empêche que quand vous êtes au bord du terrain, la première chose qui transpire : c'est la passion, l'envie de transmettre. Et puis surtout, une manière de coacher qui m'appartient et je ne voyais pas comment je pouvais changer, même avec les expériences supplémentaires que j'ai eu parce que c'est peut-être là où je suis peut-être le plus épanoui pour pouvoir entraîner correctement. Donc, je n'avais pas l'intention de changer ma manière de coacher ou ma manière d'être du fait que je reprenais en Nationale Masculine 1 huit ans après, non.Désormais, le Hyères-Toulon Var Basket s'apprête à retrouver la Pro B. Comment vous en vous voyez l'avenir pour le HTV ?Là, on est tous conscients au niveau du club que comme ce n'était pas prévu, il va falloir encore beaucoup se retrousser les manches. Le président est conscient qu’il va falloir améliorer le budget et heureusement, nous avons le soutien des collectivités et il n'y a jamais eu autant de partenaires privés au HTV cette année. Donc, ce sont des signes très positifs pour la suite. Le fait de voir un Palais des Sports rempli pour notre dernier match est aussi encourageant et ça a donné beaucoup de baume de cœur à tout le club. On sait tous que cela passera par l'augmentation du budget, donc l'augmentation de la masse salariale. Cette année, on figurait parmi les plus petites masses salariales de la division et qu'après, il faudra, une fois de plus, essayer de recruter malin. Mais avant ça, il y a une vraie volonté de notre part de garder l'ossature des joueurs qui ont vécu cette magnifique aventure en NM1 et de leur donner l'opportunité de continuer cette aventure en Pro B parce qu'ils le méritent. Et puis après, il faudra renforcer cette équipe-là pour pouvoir exister à l'échelon supérieur. Il y a une dimension athlétique, il y a un niveau de jeu, du talent qui est beaucoup plus élevé dans une poule de 20 équipes la saison prochaine. C'est encore 38 matchs qui nous attendent. Donc voilà, l'état d'esprit, c'est de continuer, avec le président et le manager général, à structurer le club pour qu'on puisse être dans des conditions qui peuvent nous permettre de pouvoir nous maintenir dans la seconde division professionnelle. Pour finir, vous qui avez le recul de toutes ces années au HTV, selon vous, quelles sont les erreurs à ne pas reproduire pour offrir à Hyères-Toulon l'opportunité de redevenir une place forte du basketball français ?D'abord, il faut faire preuve de patience et continuer à structurer le club. Cela me paraît le plus important tout en ayant la possibilité de construire une équipe capable de se maintenir et de faire étape par étape. On a gagné du temps parce que ce n'était pas dans notre projet de remonter cette année. Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut brûler les étapes, au contraire. Il faut continuer à consolider le club. Il y a un vrai sujet, c'est le centre de formation parce que historiquement, le HTV a sorti beaucoup, beaucoup, beaucoup de joueurs qui sont allés vers le haut-niveau. Malheureusement, ces dernières années, tous leurs meilleurs éléments sont partis vers d'autres horizons et donc la formation a été mise en difficulté. Donc cela doit être aussi un vrai axe de travail dans les jours, les semaines à venir.  L'idée, c'est de reformer encore des joueurs, mais capable de rester chez nous et de jouer au niveau professionnel avec le HTV.  
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Date de publication 04/30/2024 - 17:08
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En début de saison, vous affichiez clairement le fait de vouloir retourner en Ligue Féminine le plus rapidement possible. Désormais, vous n’êtes plus qu’à deux rencontres de votre objectif. Quel est votre sentiment actuellement ?On est prêt à en découdre. Nous avions annoncé en début de saison que nous avions des objectifs élevés de retourner en Ligue Féminine même si nous savons que les saisons de LF2 sont longues et denses. Nous sommes heureux d’être en finale et il est temps de démarrer cette nouvelle étape pour atteindre notre objectif.Racontez-nous un peu votre saison et comment vous l’avez vécue ?La saison n’est pas la saison espérée sur un plan comptable et la place où nous avons terminé en saison régulière (5ème). Maintenant, en Ligue Féminine 2, on sait que tout se joue au moment des playoffs. L’équipe a réussi à monter en régime sur ces dernières journées de championnat pour arriver prête sur les instants importants de la saison.Vous parliez en début de saison d’avoir construit une équipe très athlétique, capable de se projeter vite vers l’avant pour notamment répondre à la densité de la Ligue Féminine 2. Quel est votre regard sur votre effectif actuellement et le chemin parcouru ?Je garde exactement le même regard, nous avons une équipe très dense athlétiquement. Nous avons réussi à rajouter des repères sur des aspects défensifs ainsi que de coopérer et travailler ensemble pour mieux se projeter vers l’avant. On s’est attaché à mettre tout ça en place pour être sur des qualités optimales sur cette période-là.Pour le moment, vous êtes invaincus depuis le début des playoffs avec notamment une performance remarquée pour contrer le leader incontestable cette saison Aulnoye. Comment avez-vous abordé ces phases finales et pensez-vous que cette invincibilité jouera à votre avantage ?Je ne pense pas, ça ne change rien puisqu’il faut vite oublier ce qui s’est passé avant et il faut regarder ce qui est devant nous. C’est très bien ce que nous avons fait en quart et en demi-finale face à Aulnoye et Mondeville mais Chartres a fait exactement le même parcours de son côté donc la balle est au centre et nous verrons ce que ça donne ce week-end.Comment préparez-vous ces finales avec l’enjeu qui va avec ?On les prépare comme tous les matchs qu’on prépare depuis le début la saison même s’il y a une saveur plus particulière puisque c’est une finale avec l’enjeu important pour nous. Après, nous essayons de travailler exactement de la même façon, de préparer le match comme si c’était un match normal de saison régulière même s’il y aura quelque chose en plus puisque ça donne une accession en Ligue Féminine.Vous retrouverez Chartres en finale, une équipe qui vous a donné du fil à retordre lors de vos deux rencontres en saison régulière (Victoire aller : 53-55 / Défaite retour : 65-71). Quel votre regard sur cette équipe, ses forces … ?Chartres est une des meilleures équipes de la Ligue 2 depuis quelques années. C’est une équipe très dense physiquement, très athlétique, très forte dans les 1 contre 1, dure au rebond. Il faudra essayer de contenir ces forces-là et faire valoir nos forces à l’identique à l’opposé. Ça va être un combat très équilibré j’espère, et le résultat sera très difficile à donner.Quelles seront les clés pour venir à bout du C’Chartres Basket Féminin ?Les clés seront d’être prêt mentalement, d’accepter ce combat et répondre coup pour coup à ce qui va nous être proposé. De notre côté nous avons également plein de forces qu’il va falloir arriver à mettre en place face aux joueuses adverses. Le programme des Finales de Ligue Féminine 2 2024 :- Samedi 04 mai : C'Chartres Basket Féminin - Toulouse Métropole Basket (20H00 I Diffusé sur YouTube)- Dimanche 12 mai : Toulouse Métropole Basket - C'Chartres Basket Féminin (15H30 I Diffusé sur YouTube)Belle si besoin- Samedi 18 mai : C'Chartres Basket Féminin - Toulouse Métropole Basket (20H00 I Diffusé sur YouTube)
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Gustave Pitet
Date de publication 04/30/2024 - 15:31
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Ce programme, porté par la commission Société et Mixités, présidée par Damien SIMONNET, a permis aux dirigeantes de suivre des temps co-développement, de bénéficier de témoignages inspirants et de travailler sur des thématiques fortes tout au long de l'année. Le week-end a débuté par une séance de sophrologie encadrée par Germain Fidami. Cela a permis aux dirigeantes de repartir avec de nombreuses clés pour faire face à des situations stressantes.Durant, l’après-midi, les dirigeantes ont eu l’opportunité d’assister aux Coupes de France. Un moment de convivialité permettant aux dirigeantes de profiter des belles affiches que nous offrait cette Coupe de France.Le dimanche était destiné dans un premier temps à un exercice d’expression. Les dirigeantes ont eu l’opportunité de prendre la parole face au groupe chacune leur tour. L’objectif de cet exercice était de leur apprendre à poser un cadre, à communiquer, à persuader et à motiver les personnes en face d’elle. Ce temps d’expression avait également comme objectif de renforcer le travail sur la confiance en soi. Enfin, un second temps de conclusion a eu lieu afin de recueillir les différents apprentissages et diverses perspectives de chacune. L’ensemble du groupe a évoqué la volonté de maintenir leur engagement et certaines souhaitent à l’avenir décliner ce programme au niveau des ligues régionales et comités départementaux.
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Date de publication 04/30/2024 - 15:13
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Née il y a 140 ans, Alice Milliat a activement milité au niveau national et international pour que les femmes exercent tous les sports. Cette figure méconnue du sport féminin et du féminisme a organisé les premiers Jeux olympiques féminins à Paris en 1922. Décédée dans l'anonymat, elle bénéficie enfin d'une juste reconnaissance. A l’occasion de l’anniversaire de sa naissance, le 5 mai, la Fondation Alice Milliat organise une opération hommage qui lui est dédiée "#MerciAlice" afin de lui dire merci de s’être battue pour permettre aux femmes de prendre leur place dans le sport en tant que sportive, compétitrice ou encore dirigeante. Moment symbolique et médiatique, une journée dédiée à la mémoire d’Alice Milliat est ainsi prévue à Nantes en présence du Président de la République et de la Ministre des Sports afin de sensibiliser le public à l'importance du sport féminin. La Ligue Féminine de Basketball s'associe à cette opération en relayant, sur les terrains des quatre équipes qualifiées en demi-finales des playoffs LFB (Basket Landes, Lattes Montpellier, Tarbes et Villeneuve d'Ascq), un message d'hommage et de remerciement à Alice Milliat.  Interview de Carole Force, Présidente de la LFB Que représente Alice Milliat dans l’histoire du sport français ?Elle a été la première dirigeante du sport féminin mondial qui a eu, de par son engagement de femme et de sportive, un impact important sur la place des femmes dans le sport. En quoi son combat est-il encore d’actualité 100 ans plus tard ?Un siècle plus tard, et pour la première fois, les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront paritaires sur 10 500 athlètes. Son exemple nous montre à quel point l’audace et la détermination sont importantes. Il faut croire en soi, croire en ses rêves, avec passion et persévérance. A titre personnel, que vous inspire Alice Milliat ?A l’instar d’autres illustres personnalités féminines, Alice Milliat nous a laissé un héritage profond, celui fondateur du sport féminin. A propos de la Fondation Alice Milliat : fondée en 2005, elle la première fondation dédiée au sport au féminin en Europe. Elle a été créée en réponse aux inégalités entre les femmes et les hommes dans le monde du sport, avec la volonté d'améliorer la médiatisation du sport au féminin en France et en Europe, aussi bien professionnel qu'amateur. Les prochains JO seront les premiers paritaires de l’histoire ce qui était le combat d’Alice Milliat il y a 100 ans. Visiter le site internet
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Date de publication 04/30/2024 - 10:31
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Arborant le bleu emblématique, symbole de « Respect », d'« Excellence » et de « Plaisir », ces nouvelles chemises incarnent l'engagement continu de Commission Fédérale des Officiels, du Pôle Formation et Emploi et du Service de Formation des Officiels envers la formation et la promotion des officiels.  La création de cette chemise spéciale a été spécifiquement pensée pour les finales des championnats de France des catégories NM3, NF3, NF2, NM2, LF2, U15M&F, U18M&F, Espoirs Pro B et Trophée du Futur. Son inauguration a eu lieu lors des finales de la Coupe de France à l'Accor Arena, où les arbitres sélectionnés ont eu l'honneur de la porter pour la première fois. Arnaud PETITBOULANGER, Président de la Commission Fédérale des Officiels (CFO), a exprimé toute la signification de cette initiative. "Arbitrer une finale d’un championnat de France est toujours un moment particulier dans une carrière. C’est à la fois un objectif que l’on se fixe dans sa saison, et également le résultat d’un travail sérieux et d’une année réussie. Dans le cadre du Pacte #TousEngagés, la CFO a pris l’engagement de valoriser ses arbitres, et c’est ce que nous faisons à travers cette chemise spéciale « FINALES 2024 ». Elle est autant une façon de mettre en valeur la saison de nos officiels, qu’un souvenir à garder d’une rencontre pas comme les autres." Cette déclaration résonne profondément avec les officiels qui voient dans cette nouvelle tenue un symbole de reconnaissance de leur travail et de leur dévouement envers le basketball. Alors que les finales des différents championnats approchent, l'ensemble de la communauté du basketball français se prépare à vivre des moments inoubliables. Et au centre de ces moments, les arbitres, vêtus de leur nouveau bleu distinctif, incarneront l'esprit de compétition, d'équité et de fair-play qui font du basketball français une force dynamique sur la scène nationale.  [[{"fid":"150459","view_mode":"default","fields":{"format":"default"},"link_text":null,"type":"media","field_deltas":{"1":{"format":"default"}},"attributes":{"height":1366,"width":2048,"style":"width: 402px; height: 268px;","class":"media-element file-default","data-delta":"1"}}]][[{"fid":"150461","view_mode":"default","fields":{"format":"default"},"link_text":null,"type":"media","field_deltas":{"2":{"format":"default"}},"attributes":{"height":1366,"width":2048,"style":"height: 268px; width: 402px;","class":"media-element file-default","data-delta":"2"}}]]
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DIQUELOU Lucas
Date de publication 04/29/2024 - 17:02
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Il est vrai qu’après deux phases bloqué en haut du classement, il est très surprenant de voir le Caen Basket Calvados s’effrondrer comme cela au moment le plus important de la saison. Le duel n’aura tenu qu’un quart-temps entre les deux écuries normandes avant que la forteresse caennaise ne s’effondre. Valentin Bigote, en véritable maestro côté havrais (24 points, 8 passes, 30 d’évaluation) a guidé les siens vers une suite de rencontre à sens unique (81-57). Une véritable désillusion pour les hommes de Stéphane Eberlin qui n’auront pas réussi à rebondir après être passé très près du titre national et de l’accession directe pour le plus bonheur des thomistes. Mais comme l’a précisé Fabrice Courcier en conférence de presse, le Havre devra faire preuve d’humilité pour espérer créer l’upset dès vendredi prochain. Le leader du Groupe B, Mulhouse, a résisté à Andrézieux-Bouthéon (77-68). Battant d’entrée, les hommes de Lauriane Dolt auront largement pris les devants (27-13, 12’) avant de se voir rattraper subitement (46-51, 28’). Très offensifs à l’image de Rosaire Malonga (13 points) derrière l’arc, les joueurs d’Andrézieux-Bouthéon n’arriveront tout de même pas à renverser suffisamment la vapeur. Relancés dans l’ultime quart par le trio Durand – Pouaveyoun – Serrano, les alsaciens viendront à bout de leur ennemi du jour (77-68). L’affaire ne fut pas aussi mince pour Vitré mais la victoire est là (72-70). Opposés à l’étonnant promu avignonnais, les Bretons peineront à se détacher du bras de fer engagé à la Poultière. Un coup de chaud derrière l’arc des hommes de Fabien Calvez dans le dernier acte permettra de mettre l’USAP à l’arrière et s’offrir la victoire.Dans le reste des affiches de vendredi soir, Tarbes-Lourdes s’est imposé au bout du suspense contre Boulogne-sur-Mer (91-93). Réussissants à accrocher la prolongation après avoir été mené une bonne partie de la rencontre, les occitans s'en remettront Marius Chambre qui offrira la victoire aux siens en reprenant l’avantage dans la dernière minute. Les joueurs de Stéphane Dao peuvent aussi remercier Vincent Ateba (28 points, 5 rebonds) qui aura tenu les siens dans la course. En parlant de performance, il y a aussi celle de Tanguy Touze (32 points à 10/13 à trois points) qui aura su porter Tours sur les terres de Pont-de-Chéruy (74-82). Logique du classement respectée aussi à Challans pour Chartres (71-91) ainsi qu’à Rueil pour Quimper (74-87). Enfin, Saint-Vallier a été intraitable avec Loon-Plage (65-101).
Auteur
Thomas Puentes
Date de publication 04/29/2024 - 15:42
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Plus de 100 000 enfants prendront part à des évènements MiniBasket partout en France. Chaque Comité Départemental organise une ou plusieurs Fêtes sur son territoire pour offrir une journée festive à leur jeunes basketteurs. Au programme : des tournois, animations, différents concours dont pour cette édition spéciale un concours de dessin pour encourager les Equipes de France de Basket aux JO.Comment participer à une Fête ?Il y a forcément un site près de chez vous ! Retrouvez celui le plus proche de chez vous en consultant la cartographie ci-dessous. Nous vous invitons ensuite à rentrer en contact avec le Comité concerné.Les Partenaires de l’évènementKinder Joy of Moving, MAIF, Caisse d’Epargne, La Mie Câline, Les Éditions Nathan et Slamdeck.Ressources utiles :Page officielle de l'évènement[[{"fid":"150448","view_mode":"default","fields":{"format":"default"},"link_text":"Dossier de presse","type":"media","field_deltas":{"1":{"format":"default"}},"attributes":{"class":"media-element file-default","data-delta":"1"}}]][[{"fid":"150449","view_mode":"default","fields":{"format":"default"},"link_text":"Calendrier","type":"media","field_deltas":{"2":{"format":"default"}},"attributes":{"class":"media-element file-default","data-delta":"2"}}]]Retrouvez l'actualité de l'évènement sur les réseaux sociaux de la FFBB#FNMB2024
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Date de publication 04/29/2024 - 14:05
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Le 11e et le 13e du championnat de France qui se rencontrent en finale de la Coupe, Strasbourg et Dijon avaient pleinement conscience de l’opportunité qui se présentaient à eux de rafler un titre sur le parquet de l’Accor Arena. Les Bourguignons comptaient un léger avantage psychologique et éventuellement tactique après avoir remporté les deux confrontations de saison régulière. La JDA était la plus prompte à jaillir des starting-blocks en se montrant patiente pour trouver des shoots ouverts et sanctionner de loin, le sniper gaucher Cameron Hunt en tête (15-8). Matteo Cancellieri enrageait sur la touche de voir ses troupes dominées dans l’engagement et l’agressivité.Malgré sa capacité à gagner ses points sur la ligne des lancers-francs, la SIG décrochait du fait de sa capacité à contenir les renversements dijonnais. Même avec un David Holston muet, Dijon déroulait son basket et pouvait compter sur huit marqueurs différents au milieu du second quart-temps. La JDA poussait son avance jusqu’à +8. Le moment où la belle machine s’est soudainement grippée. L’alternance intérieure-extérieure alsacienne finissait par peser et Paul Lacombe dans son style si particulier impactait tous les secteurs du jeu. Une balle volée, un rebond arraché, une passe décisive, son énergie contagieuse redonnait des couleurs à une SIG soudainement revenue à hauteur.Sur la même ligne, les deux finalistes ne se quittaient plus. Un joli numéro de duettistes où brillait particulièrement le costaud Tyrius McGee, scoreur compulsif sans doute frustré de ne pas avoir inscrit le moindre panier lors du premier acte. L’Américain affolait les compteurs dans une rencontre parfois brouillonne mais toujours incertaine. Il trouvait un alter ego improbable. Giovan Oniangue, joueur de l’ombre, entrait dans la lumière. Tranchant et adroit, même ses air-ball se transformait en passe décisive pour rapprocher la JDA du bonheur (66-62) à cinq minutes de la fin.Froids comme des lames, les SIGmen répondaient par deux paniers primés. Mais comme un symbole, un shoot du vétéran David Holston faisait la différence, suivi par un panier près du cercle de Vitalis Chikoko dont la taille et la puissance ont fini par faire céder les Alsaciens victimes d'un surréaliste 15-0 lors des quatre dernières minutes. Trois ans après sa défaite en finale de Coupe de France face à l’ASVEL, la JDA Dijon n’a pas laissé passer sa chance.
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Date de publication 04/27/2024 - 21:29
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Battre Strasbourg en finale de Coupe de France et remporter le titre de MVP. La routine pour Vitalis Chikoko. En 2022, sous le maillot de l’Élan Béarnais, le pivot gaucher avait marché sur la raquette alsacienne.Deux ans plus tard son influence a encore une fois été décisive. Particulièrement dans le denier acte où il aura fermé l’accès au cercle et ramassé les miettes de l’autre côté du terrain. Une partition guère spectaculaire mais redoutablement efficace : 20 points dont 10 dans le dernier acte, 7 rebonds, 3 passes décisives et 3 contres.Celui qui s’amusait de n’avoir remporté que deux championnats au Zimbabwe possède désormais deux Coupes de France et deux trophées de MVP à son palmarès. Son fils dans les bras, il est allé fêter le titre avec les supporters amassés derrière le panier. "Notre défense était incroyable. Nous savions exactement sur quel joueur il fallait nous concentrer. J’ai pensé au fait que j’avais gagné au même endroit contre la même équipe il y a deux ans. Mais je ne voulais pas me porter malheur. J’étais nerveux mais concentré."Après 8 ans en France dans une troisième équipe, il a porté la JDA sur ses larges épaules. Un point de chute qui a suivi la relégation de Pau-Orthez au printemps dernier, sans y rencontrer le succès qu’il escomptait. "La saison a été difficile. Nous savions tous qu’une victoire ce soir pouvait sauver notre saison." Alors que les playoffs ne sont plus à l’ordre du jour, la Coupe est bien plus qu’un lot de consolation. Et le géant se voit bien renouveler l’expérience rapidement. "J’en ai deux désormais et j’espère bien revenir l’an prochain."
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Date de publication 04/27/2024 - 19:08
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Isabelle YacoubouOriginaire du Bénin, arrivée en France à 17 ans pour rejoindre le club de Tarbes, c’est toujours au TGB qu’Isabelle Yacoubou a mis un terme à sa carrière professionnelle il y a quelques semaines. Internationale à 147 reprises entre 2007 et 2016, médaillée cinq fois avec les Bleues dont un titre de championne d’Europe en 2009 et une médaille d’argent olympique en 2012, cette joueuse intérieure inarrêtable près du cercle s’est également bâti un palmarès XXL en club. Championne en France, en Italie et en Espagne, vainqueur de l’Euroligue, la double MVP de la LFB se destine désormais à un futur d’entraîneur.Frédéric SarreA 62 ans, Frédéric Sarre a connu toutes les facettes du monde du basket. Entraîneur pendant 30 ans de Limoges à Bourg en passant par Gravelines, Pau-Orthez, Rueil, Nancy, Antibes, Strasbourg ou Gravelines, il aura décroché à deux reprises le titre d’entraîneur de l’année en Pro A. En s’éloignant du banc, il a ensuite occupé le poste de directeur sportif au sein de la JL Bourg, contribuant à installer le club au sommet du basket français. Depuis novembre dernier il a pris ses fonctions de General Manager adjoint avec l’Équipe de France.Marion OrtisLa première femme à arbitrer une finale de Pro A, Marion Ortis a également officié au plus haut niveau européen après être devenue arbitre FIBA en 2017. Habituée des championnats d’Europe et du Monde chez les jeunes, elle a par ailleurs été retenue pour siffler lors de l’EuroBasket Women en 2021 et en Euroligue. Deux ans plus tard, elle mettait un terme à sa carrière internationale, à 31 ans.Martial BellonPendant 13 ans, Martial Bellon a présidé aux destinées de la SIG Strasbourg avant de passer la main à son successeur, Olivier Klotz élu le 19 juin 2023. En Alsace, il aura mené une politique de structuration économique ambitieuse qui a permis au club de voir ses ressources largement augmenter, lui permettant de se maintenir parmi les places fortes du basket français. Le modèle développé par Martial Bellon a offert à la SIG quatre labels or consécutifs délivré par Ligue Nationale de Basket. Son club, finaliste aujourd’hui à l’Accor Arena, a remporté deux coupes de France et deux Leaders Cups sous sa présidence.
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Date de publication 04/27/2024 - 17:53
Nid 86104

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