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Il était de la défaite face à Roanne en 2023 et s’était promis de ne pas revivre pareille désillusion. Après avoir inscrit en 29 points en demi-finale contre Nanterre, Soren Bracq a conclu sa campagne de Coupe de France U17 sur un nouveau chef d’œuvre : 31 points, 11 rebonds, 3 passes décisives et 34 d’évaluation.Meneur de jeu avec les espoirs, il forme un duo arrière étourdissant en U18 avec Aaron Towo Nansi. Les deux compères ont donné le tournis à la défense de l’ASVEL et posé la première de ce qui pourrait constituer une saison de rêve pour Cholet. "Je suis un meneur de jeu. Mais les meneurs de grande taille comme moi peuvent se décaler au poste 2. Je me sens à l’aise sur les deux et dans le futur ça va me servir", estime-t-il. "Quand on est agressifs l’un après l’autre c’est très dur pour les équipes adverses. Et quand on parvient à faire jouer l’équipe on devient injouables. L’objectif c’est de tout rafler, y compris le Trophée du Futur."La performance a été réalisée sous les yeux d’Antoine Rigaudeau, légende choletaise. Depuis, d’autres ont suivi la filière de formation du club pour devenir pro, parfois loin des Mauges. "On fait tout pour surpasser la concurrence", glisse Bracq. "Je m’inspire beaucoup de Tidjane Salaün avec qui j’ai joué et qui est en pro et en route pour la draft. Je vois tout le travail qu’il produit. Ensuite je m’inspire des joueurs de NBA ou d’EuroLeague, je vise le très haut niveau."Le fils de Damien Bracq, ancien joueur professionnel, a repris le flambeau familial et perpétue une tradition choletaise qui allie avec réussite la formation et les résultats en jeunes. Samedi, CB a remporté la septième Coupe de France de son histoire dans la catégorie U17/U18.
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Date de publication 04/27/2024 - 13:56
Nid 86101
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Dominateur en championnat de France U18 avec 24 victoires en 25 matches cette saison, Cholet, sans ses joueurs nés en 2006 pour la Coupe de France U17, n’a pas tremblé pour rejoindre l’Accor Arena avec 5 succès sur un écart moyen de 38 points. Mais avec un duo d’arrières estampillé Équipe de France, Théo Guedegbe-Adam Atamna, l’ASVEL espérait avoir les armes pour perturber la machine à gagner des Mauges. Une force de frappe indispensable pour tenter de ralentir le phénomène Aaron Towo Nansi, né en 2009 et donc U15, révélation du dernier Tournoi de l’Amitié. Le meneur de poche n’a pas tardé à justifier sa réputation naissante, mettant le feu à une salle où avait pris place Victor Wembanyama, venu suivre son frère Oscar (ASVEL). Avec Soren Bracq, déjà présent l’an passé en finale, il a largement alimenté la marque pour une équipe trop dispendieuse au niveau des balles perdues et qui offrait des munitions à un adversaire où Paccelis Morlende multipliait les rotations.L’équilibre offensif permettait à l’ASVEL de virer en tête après le premier quart-temps. Un avantage qui faisait long feu. Revenus plus agressifs, les Choletais signaient un 14-0 en cinq minutes. En mode cavalcade, ils attaquaient le cercle avec facilité et s’appuyaient également sur une large domination au rebond, notamment offensif. La digue villeurbannaise prenait l’eau, encaissant 27 points sur la deuxième période.Malgré les tentatives de variations défensives, jamais les Villeurbannais ne parvenaient à perturber un collectif plus court en rotations mais aux joueurs majeurs intenables, à l’image d’un Towo Nansi inspiré, alternant entre pénétrations éclair et tirs lointains. Son nouveau coup de chaud portait rapidement l’écart à 20 points et l’issue de la rencontre ne faisait plus guère de doute.La zone tentée en début de quatrième quart-temps semblait pouvoir repousser un instant l’inéluctable mais le duo Bracq-Towo Nansi, bien soutenu par le talent multifacettes de Erwan N’TsantoèDjoni, revenait mettre de l’ordre dans maison rouge.
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Date de publication 04/27/2024 - 13:13
Nid 86100
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Les honneurs individuels auraient pu être pour Célaine Ricco (19 points), indispensable en début de rencontre pour mettre Mondeville sur les bons rails. Mais la partie livrée par Genesia Meyele a eclipsé celle de sa partenaire. Une ligne de statistiques garnie de 18 points (7/15 aux tirs), 16 rebonds, 4 passes décisives pour 21 d'évaluation. "C'est incroyable ! On a travaillé des semaines pour ça" confiait l'intérieure mondevillaise après la rencontre.  Ultra dominatrice au rebond (54 prises, dont 21 offensives, à 36), l'équipe du Calvados n'avait pourtant pas les centimètres sur le papier pour rivaliser avec les gabarits lattois. Les longs segments de Mayele ont donc été décisifs dans la victoire normande. Un secteur qu'Axel Joly, le coach de l'USOM, avait érigé en priorité : "On ne peut passer outre la stat du rebond, si on gagne cette bataille, on une probabilité plus importante de gagner". Sa joueuse lui emboîtait le pas : "On savait qu'on gagnerait en verrouillant le rebond". Mission accomplie. En fin de rencontre, alors que les mini Gazelles faisaient le forcing pour braquer la banque (elles n'ont jamais mené au score), les deux paniers consécutifs de Mayele ont fait le plus grand bien à Mondeville. "On a gagné avec le coeur. C'est ma dernière année, je n'avais plus rien à perdre et ça a payé" expliquait-elle.  Taquinée en fin de conférence de presse par sa partenaire Daffa Cissoko, incognito au milieu des journalistes, Genesia Meyele a tenu à saluer ses copines de jeu : " Mes coéquipières sont comme mes soeurs. Quand je ne vais pas bien, elles sont toujours là à me relever".  
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Arnaud Dunikowski
Date de publication 04/27/2024 - 11:45
Nid 86099
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Présente en finale de la Coupe de France U18 pour la 11e fois depuis l'an 2000, l'USO Mondeville s'avançait en habituée de l'épreuve. De son côté, Lattes Montpellier ne vivait que sa deuxième finale à l'Accor Arena dans cette catégorie. Les Normandes prenaient le meilleur départ, portées par l'activité de Celaine Ricco et Genesia Mayele (7 points chacune dans le 1er QT). Pour contrer les grands gabarits sudistes, Mondeville s'appuyait sa vélocité en un contre un et perturbait un BLMA qui mettait du temps à s'adapter. Talia Kavoka et ses copines retrouvaient leurs esprits en fin de quart-temps (20-17, 10'). Si les dix premières minutes avaient été disputées, celles qui suivaient rappellaient que cette finale parisienne avait débuté à un horaire plus propice à la grasse matinée qu'à une débauche d'énergie (22-20, 15'). Entre tirs ratés et balles perdues, les deux équipes ne montraient pas leur meilleur même si l'envie de bien faire était évidente. Le tir lointain de Ricco, avec la planche, avait le mérite de réveiller joueuses et spectateurs. Deux minutes un peu folle qui laissaient présager une deuxième mi-temps animée (31-28). Mondeville revenait sur le terrain avec détermination à l'image de Mayele. Les Calvadosiennes traçaient leur chemin que Lattes Montpellier suivait à distance (38-31, 24'). En grande difficulté sur le jeu placé, le BLMA était sans solution mais restait dans le coup car l'USOM ne pas profitait des occasions pour se mettre au chaud. Fanta Keita et Anouk Brun ramenaient leur équipe au contact dans la dernière minute du troisième quart-temps (42-38, 30'). On ne sait pas ce s'était dit sur le banc lors du break mais les joueuses du BLMA affichaient un visage conquérant stimulé par une défense haute, loin de ce qu'elles avaient montré jusqu'à présent. Les Normandes ne paniquaient pas, allaient chercher des points sur la ligne pour garder la main (47-42, 35'). Kavoka puis Brun maintenaient la pression avant que Mayele n'apporte de l'air aux siennes avec deux paniers de suite. Brun, encore elle, plantait une flèche synonyme d'espoir qu'Odin puis Mayele enterraient dans la dernière minute.  Mondeville - Lattes Montpellier 61-55  
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Arnaud Dunikowski
Date de publication 04/27/2024 - 11:02
Nid 86098
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Une victoire en Trophée Coupe de France. Un titre de MVP. La routine pour Maxime Choplin. S’il n’a jamais retrouvé la magie de la toute première fois, lorsqu’il avait terrassé Toulouse sur un tir à trois-points sur un pied au buzzer, le meneur du Pays de Fougères a une nouvelle fois séduit les votants par sa maîtrise et son impact global : 18 points, 3 rebonds, 5 passes décisives pour une seule balle perdue en 35 minutes.Comme à son habitude, le MVP n’a pas tiré la couverture à lui mais salué coéquipiers et staff, tout en ayant un regard ému pour les tribunes où 2 000 bretons ont mis une ambiance folle dans l’Accor Arena. "On est habitués mais il y a beaucoup de fierté. On a su rester solides et ensemble même si on a été bousculé et qu’à +10 on doit plier le match. Rassembler autant de monde pour un match amateur on ne se rend pas compte de l’exploit."Il y a un an, Choplin, également sacré avec Le Mans en U17 en 2010, avait insisté sur la volonté de son club de décrocher la montée en N1. Objectif manqué en playoffs et plus que jamais d’actualité. Fougères n’a désormais qu’un but : ne pas faire le quadruplé en 2025. "J’espère juste ne pas revenir l’année prochaine", a-t-il conclu en quittant la conférence de presse.
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Date de publication 04/26/2024 - 22:57
Nid 86097
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Si Fougères a fait de l’Accor Arena sa résidence secondaire au printemps et que ses supporters déchaînés ont transformé l’enceinte parisienne en un petit coin de Bretagne, Gravenchon a parfaitement répondu à la pression que constitue une finale de Trophée Coupe de France. Sans une certaine fébrilité aux lancers-francs, les Normands auraient même pu virer en tête à l’issue du premier quart-temps. Mais un 3/7 malvenu offrait à Maxime Choplin, le maître des lieux jusqu’à nouvel ordre, la possibilité de conserver la maîtrise des opérations.Dominateur dans sa poule de Nationale 2, Fougères n’a abandonné que trois rencontres cette saison. L’une d’elles fin octobre… à Gravenchon. Les prétendants à la Nationale 1 étaient donc prévenus du danger. Et ils ont été servis, bousculés par un Mattéo Cauwet intenable. Celui évolue également à Rouen, en Pro B, a porté les siens offensivement durant la première mi-temps. Un festival éblouissant entre tirs de loin et attaque du cercle. Bilan des opérations au moment de souffler aux vestiaires : 24 points, 4 rebonds et 4 passes décisives et +6 au tableau d’affichage.Une domination totale et une mission claire pour Maël Lebrun, un ancien pro lancé aux trousses du jeune insolent. A 33 ans, celui qui a connu les Équipes de France en U18 et en U20 découvre la Nationale 2 et s’est parfaitement acquitté de sa tâche, contrôlant Cauwet, muet pendant près de sept minutes avant de rejoindre le banc. L’attaque de Gravenchon restait au point mort alors que la défense bretonne forçait balle perdue sur balle perdue. Plus équilibré que son adversaire du soir le collectif de Mathieu Lemercier offrait une belle alternance et semblait en mesure de se détacher. Mais en jouant des coudes sur Cauwet, Fougères se mettait à la faute et tout était à refaire à l’approche du money-time (61-60).Si la réussite chutait des deux côtés, l’intensité, elle, était à son comble dans une Accor Arena remplie de 7 656 spectateurs. Le retour en jeu de Lebrun changeait de nouveau la donne défensivement, Gravenchon se trouvant repousser loin, trop loin du cercle. En face Choplin, bien que maladroit, réglait la mire au meilleur des moments, imité quelques instants plus tard par Lebrun. Le cercle devenait tout à coup plus grand pour Fougères, porté par un public en fusion. Parvenus à +10 à trois minutes du buzzer, les tenants du titre se faisaient pourtant une immense frayeur. Cauwet avait le tir l'égalisation au bout des doigts mais trouvait le cercle. [[{"fid":"150391","view_mode":"wysiwyg","fields":{"format":"wysiwyg"},"link_text":"Fougères bat Gravenchon 61-60","type":"media","field_deltas":{"1":{"format":"wysiwyg"}},"attributes":{"class":"media-element file-wysiwyg","data-delta":"1"}}]]
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Date de publication 04/26/2024 - 22:21
Nid 86096
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Elle n’a pas signé la meilleure évaluation de la soirée. Sa coéquipière américaine Ashunae Durant s’en est chargée (31). Mais son exceptionnelle réussite longue distance (6/8) a recueilli la majorité des suffrages à l’heure de choisir la MVP de la soirée. "Elle a un vrai bras", souriait son coach, Fayssal Rhennam. "Une shooteuse de haut niveau, sa première qualité c’est d’être froide. Et la qualité de l’équipe c’est de partager la balle sur les joueuses qui sont en feu."Sa remarquable série dans le troisième quart-temps a fait la différence et à 20 ans seulement, la native de Tulle a savouré une victoire dans une salle qui lui réussit particulièrement. Formée à Mondeville, elle avait ainsi remporté la Coupe en 2019 et en 2022. "Collectivement c’est toujours incroyable de gagner ici. Personnellement j’ai un rôle totalement différent. Ma dernière finale ici, c’était particulier. Je n’étais pas censé la jouer. J’étais blessée. Je m’étais dit je défends et on verra."Une approche qui lui a réussi. Deux ans plus tard, après un été passé avec l’Équipe de France U19 à la Coupe du Monde, Lisa Cluzeau poursuit sa montée en puissance dans la troisième division nationale, alors que nombre de ses anciennes coéquipières en jeunes ont alimenté les clubs de ce niveau ou de LF2. "Il faut garder la mentalité qu’on nous a inculquée à Mondeville : la détermination", estime-t-elle. "Ensuite les choses sont différentes pour chacune. J’ai trouvé un projet qui me correspondait à Alençon avec un coach qui me fait confiance. Je suis allée en NF1 pour prendre confiance, progresser et monter les échelons." Mission accomplie pour la jeune femme, étudiante en troisième année en STAPS à Caen et qui se tourne désormais vers les playoffs pour tenter d’accéder à l’antichambre de l’élite.
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Date de publication 04/26/2024 - 20:36
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Toutes les deux encore en course pour la montée en LF2, les deux finalistes ont mal débuté la deuxième phase, décisive, de la saison de NF1 le week-end dernier. Les Monégasques ont décroché au Havre tandis qu’Alençon sombrait (-29) à l’ASVEL. Et les Normandes ont frisé le K.-O. d’entrée de jeu pour leur découverte de l’Accor Arena. Un 12-0 en trois minutes les laissait dans les cordes, Monaco déroulant tranquillement son basket. Fayssal Rhennam arrêtait en urgence l’hémorragie et ses joueuses, transfigurées, sortaient de son temps-mort avec une nouvelle énergie et une agressivité qui leur permettaient de totalement renverser la vapeur. Lisa Cluzeau de loin, Cassandra Vetu en mode dragster et Stacy Chovino dans la dureté modifiaient le rythme d’un match soudainement survolé par Alençon.Les Azuréennes parvenaient toutefois à rester au contact en s’appuyant sur la maîtrise de Kimsy Demontoux. Utilisée plus de 20 minutes par match la saison passée en LF2, l’ancienne du centre de formation de Lyon n’a pas soufflé une seconde pendant la première mi-temps. Logique tant la meneuse dicte le tempo de son équipe.Elle ne pourra cependant à elle seule contenir le coup chaud d’Alençon au retour des vestiaires. Cluzeau poursuivait un bombardement débuté dès les premières minutes et signait en parfait 3/3 au-delà des 6,75 m lors du troisième quart-temps. L’ancienne monégasque Ashunae Durant remplissait de son côté toutes les colonnes de la feuille de stats. La variété des options offensives normandes et leur écrasante domination au rebond faisaient irrémédiablement la différence. L’écart flirtait avec les 20 unités, alors que Demontoux tentait d’entretenir l’espoir. En vain. Comme un symbole, une nouvelle flèche de Cluzeau et un rebond offensif de Chovino ne laissaient plus de doute quant à l'identité du vainqueur.Pour la première fois de son histoire l'Union Sportive Damigny Alençon 61 inscrit son nom au palmarès du Trophée Coupe de France après sa victoire 84-65.
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Date de publication 04/26/2024 - 19:38
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 Luc Baeyens, directeur général de Sources ALMA :« Cristaline et la FFBB ont des valeurs communes fortes de proximité et de simplicité. Le basketball est un populaire et comme Cristaline, il est ancré dans le quotidien des Français et se revendique accessible à tous. Il occupe une place importante dans la culture sportive française, sa communauté est passionnée et engagée. »Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB :« Je suis très heureux d’accueillir Cristaline parmi les partenaires de la FFBB en tant que Fournisseur Officiel de l’Équipe de France.Cette nouvelle association avec une grande marque connue et appréciée de toutes et tous, à l’aube des échéances sportives majeures de cet été pour nos équipes nationales, est un signal fort de l’attractivité du basketball en France. »En tant que Fournisseur Officiel de la FFBB, Cristaline s'engage à fournir une hydratation de qualité aux joueurs et entraîneurs lors des événements et compétitions organisés par la fédération. L'eau de source Cristaline sera ainsi un allié précieux pour maintenir la performance et la santé des sportifs.Agnès Jacquot, responsable RSE :« Nous partageons également des engagements RSE, et nous sommes fiers d’accompagner la FFBB dans son objectif de réduction des emballages. D’ailleurs, la bouteille Cristaline 1L5 en étant la plus légère du marché témoigne des efforts de notre entreprise pour réduire les emballages plastique. Nous fournirons également à la FFBB nos grands formats, le bidon 5L et la fontaine 8L, pour permettre une hydratation saine et sure aux sportifs, tout en répondant à leurs engagements. »
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Date de publication 04/26/2024 - 14:17
Nid 86063
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En marge du Trophée Coupe de France, les partenaires de la Fédération Française de Basketball (FFBB) s’étaient rassemblés pour disputer le traditionnel tournoi 3x3 à l’Accor Arena. Ce moment de convivialité a lancé officiellement ce week-end de basket sous le signe du partage et de l’effort.Dans un magnifique écrin 12 équipes soit plus de 68 joueurs et joueuses se sont affrontés toute la matinée. Après de belles rencontres, GRDF s’impose en finale face à Nike et succède donc à RMC.L’ensemble des joueurs et joueuses ont pu profiter d’un moment d’échange et de convivialité une fois le tournoi terminé. 
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Tom Thuillier
Date de publication 04/26/2024 - 13:28
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La dernière ligne droite que représente les playoffs d’accession NM1 s’annonce cette année encore comme une lutte acharnée pour espérer rejoindre la deuxième division professionnelle*.Dans les favoris, on retrouve évidemment Chartres et Caen. Echouant de peu dans la course au titre derrière le HTV Basket, les deux formations tenteront d’accrocher le deuxième coche pour retrouver la Pro B. Pour se faire, le C’Chartres Basket Masculin croisera le fer avec Challans. Qualifiés sur le fil dans le Groupe B, Sébastien Lambert et ses troupes ont une carte à jouer en accueillant la première rencontre à domicile car tout est possible à la Halle Michel Vrignaud. Attention au faux-pas pour les euréliens qui s’étaient fait surprendre dans la même situation au premier tour par Toulouse. Pour Caen, l’affrontement sera 100% normand. Opposés au Havre, les deux frères ennemis commenceront donc les playoffs sur deux voire trois derbies qui s’annoncent déjà volcaniques dans l’ambiance.Côté prétendants, Quimper fera aussi partie des discussions. Remontés à la troisième place du Groupe A sur la dernière journée, les Béliers de Thibault Wolicki devront négocier avec la jeunesse fougueuse du Rueil Athlétic Club. Malgré une fin de phase n°2 plus compliquée, les Franciliens ont les armes pour faire un coup dans le sillage de l’excellent Elian Benitez (15,1 points, 7,7 passes, 2 interceptions). L’USAP aussi sera dans la course, à l’image de Loon-Plage la saison passée. Un temps pressenti pour soulever le trophée de Champion de France, les hommes d’Alexandre Casimiri échouent dans les dernières journées pour réaliser un coup monumental. Mais rien n’est fini. En face d’Avignon – le Pontet, c’est Vitré qui se dressera avec une revanche à prendre. Eliminé dès le premier tour par Feurs la saison passée et Mulhouse celle d’avant, la formation bretonne de Fabien Calvez voudra à coup sûr ne pas reproduire l’expérience.Tours sera dans la même position de son côté. Ayant fait les frais en trois matchs de Loon-Plage lors de l’exercice 2022-2023, les Knights ne voudront pas reproduire l’erreur commise dans le Nord face à Pont-de-Chéruy. Même chose pour Andrézieux-Bouthéon, qui avait échoué aux portes de la finale contre Poitiers la saison passée. Le combat face à une équipe de Mulhouse qui aura dominé le Groupe B ne risque pas d’être une mince affaire. La série entre Tarbes-Lourdes et Boulogne-sur-Mer sera aussi très intéressante à suivre. Signant toutes les deux une deuxième phase impressionnante dans leurs groupes respectifs, les deux formations livreront un combat acharné pour accéder au tour suivant. Enfin, le vainqueur de l’an passé, Loon-Plage sera de nouveau de la partie. Assisterons-nous à un nouveau coup des Toons ? Une intrigue qui sera intéressante à résoudere car avec Saint-Vallier en face, avide de remonter à l’étage supérieur que le club a quitté la saison dernière, la bataille s’annonce féroce.Le programme des quarts de finale allerVendredi 26 avril 2024Vendée Challans Basket - C’Chartres Basket  (20H00 I Diffusé sur YouTube)AS Loon-Plage Basket - Saint-Vallier Basket Drôme (20H00 I Diffusé sur YouTube)Aurore Vitré Basket Bretagne - Union Sportive Avignon/Pontet (20H00 I Diffusé sur YouTube)SO Maritime Boulogne - Union Tarbes-Lourdes Pyrénées Basket (20H00 I Diffusé sur Facebook)RAC Basket Première - UJAP Quimper (20H00 I Non diffusé)Mulhouse Basket Agglomération - Andrézieux-Bouthéon Loire Sud Basket (20H00 I Diffusé sur YouTube)Saint-Thomas Basket Le Havre - Caen Basket Calvados (20H00 I Diffusé sur Facebook)SOPCC - Tours Métropole Basket (20H00 I Diffusé sur YouTube)L’ensemble du calendrier de la saison de Nationale Masculine 1 est à retrouver ici.* Sous réserve de validation par la DNCCG et de remplir les conditions d'accession
Auteur
Thomas Puentes
Date de publication 04/26/2024 - 12:48
Nid 86090
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Du 19 au 21 avril pour Eaubonne et Sorgues, et du 20 au 22 avril pour Châteauroux, les Tournois Inter-Pôles ont rassemblé des arbitres potentiels provenant de toutes les ligues de France, chaque ligue étant représentée par un trio arbitral comprenant une femme et deux hommes. Un défi de taille attendait ces candidats, soumis à une série d'épreuves visant à évaluer leur aptitude à assumer, plus tard, les responsabilités d'un arbitre de haut niveau. Ces stages ont bénéficié de l'encadrement expert de Carole DELAUNÉ DAVID, Responsable du Parcours National de Formation et de Détection, Nicolas MAESTRE, Abdel HAMZAOUI, Jules GADUEL, Brahima SISSOKO et Pierre LANDY ; qui ont apporté leur expérience et leur expertise pour guider les arbitres vers les attentes d’un futur arbitre de Haut Niveau.Sur le terrain, où l'intensité des matchs était palpable, les arbitres ont dû démontrer leur savoir-faire lors de deux rencontres arbitrées, sous le regard attentif des cadres. Mais ce n'était là qu'une partie du défi. En effet, les candidats ont également été confrontés à un test écrit, noté sur 20, portant sur la connaissance approfondie des règles du jeu. Une nouveauté marquante de ces stages de détection était l'importance accordée à la compréhension globale du basketball. Ainsi, les candidats ont été évalués à travers deux nouvelles épreuves : un questionnaire à choix multiples axé sur les connaissances du jeu, ainsi qu'une analyse vidéo technique d'une rencontre de basket. En parallèle, des entretiens individuels ont permis aux cadres présents de mieux appréhender les motivations et attentes de chaque participant. Parmi les trente-six arbitres présents, répartis en douze par site, seuls quinze ont été retenus pour intégrer officiellement le Parcours National de Formation et de Détection - cinq par site. Cette étape représente un tremplin vers une carrière prometteuse dans le monde de l'arbitrage de haut niveau. Voici la liste des quinze arbitres retenus :  Madame ACHOUR InèsMonsieur BELIN ClémentMonsieur BENGOUTA DjibrilMadame BOURGAULT EmaMonsieur CASCHETTO MaxenceMonsieur DIOUANI ReyaneMonsieur DOUIB FethiMadame FABRE CécileMonsieur FOUVRY AntoineMadame HY MarineMadame IMBERT LilouMadame KEITA SaliaMonsieur MICHEL LoucasMonsieur MUGNIER GastonMadame PAGE Clémence La prochaine étape pour ces quinze heureux élus se déroulera du 19 au 23 juin prochain, en Ariège. Au programme : la mécanique d’arbitrage. Ce processus de sélection rigoureux illustre l'engagement de la FFBB et du Service de Formation des Officiels à cultiver un vivier d'arbitres talentueux et passionnés, prêts à contribuer à l'épanouissement du basketball français sur la scène nationale et internationale.   
Auteur
DIQUÉLOU Lucas
Date de publication 04/25/2024 - 17:30
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Les Finales de la Coupe de France ce sont six matches, six finales, pour faire le plein de basket tout au long de deux journées riches en émotion et en spectacle. Au rythme des fanfares et des chants des supporters. L’ambiance est garantie dans les tribunes. Sur le terrain les joueurs et les joueuses vont tout donner pour décrocher un nouveau titre et offrir une performance de très haut niveau.Ces finales sont aussi l'occasion pour la FFBB d'honorer plusieurs personnalités qui oeuvrent ou ont oeuvré pour le basket et/ou qui ont marqué ce sport. Cette année, la fédération remettra à Isabelle Yacoubou, Marion Ortis, Martial Bellon et Fédéric Sarre un Ballon de Cristal.Pour ne rien manquer de cet évènement unique et vibrer avec les dizaines de milliers de supporters présents à l'Accor Arena, rendez-vous dès le vendredi 26 avril à partir de 18h00 devant votre écran.Détail de la programmation TV des finales de la Coupe de France 2024 :Vendredi 26 avril 202418h00 - Finale du Trophée fémininEn direct sur YouTube FFBB, Skweek et BFM NormandieMonaco BA (NF1) - USB Damigny Alençon 61 (NF1)20h30 - Finale du Trophée masculinEn direct sur YouTube FFBB, Skweek et BFM NormandiePays de Fougères (NM2) - CS Gravenchon (NM2)Samedi 27 avril 20249h00 - Finale U18 FémininesEn direct sur YouTube FFBB, Skweek et BFM NormandieUSO Mondeville - Lattes Montpellier11h30 - Finale U17 masculinsEn direct sur YouTube FFBB et SkweekCholet Basket - ASVEL Lyon Villeurbanne14h00 - Finale Pros féminines (Trophée Joé Jaunay)En direct sur L'Équipe Live et SkweekEn différé à 21h08 sur La Chaine L'ÉquipeBasket Landes (LFB) - Bourges Basket (LFB)16h30 - Finale Pros masculins (Trophée Robert Busnel)En driect sur La Chaine L'Équipe et SkweekJDA Dijon (Betclic ELITE) - SIG Strasbourg (Betclic ELITE)
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Date de publication 04/25/2024 - 17:05
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Toulouse - Aulnoye : 76-72 / Revoir le matchLe Toulouse Métropole Basket voulait en finir ce soir et l’a fait en frappant un grand coup au Petit Palais des Sports. Drame lance bien les siennes (6-3, 3’) mais les Félines répondent directement. Aucune envolée ne s’opère malgré les tentatives de Japreece Dean (19 points, 3 passes) et Catherine Mosengo-Masa (15 points, 3 rebonds) en milieu de quart. Aulnoye finit en tête sur une banderille au buzzer d’Enjolvy (20-22, 10’). Le duel est engagé des deux côtés jusqu’à la mi-temps, l’écart ne décolle pas (39-39, 20’). C’est Toulouse qui provoquera la première estocade. Martelant à l’intérieur sur le tandem Mosengo-Masa / Enabosi, les Pionnières s’envolent (62-49, 28’). Une véritable bouffée d’air qui rapproche un peu plus les joueuses de Xavier Noguera de la qualification en finale. Mais Aulnoye ne déposera pas les armes. Passant un 8-0 en entame de dernier quart à Toulouse, les Félines reviennent dans la partie (64-63, 35’). Nicole Enabosi, énormissime (22 points, 16 rebonds, 8 passes, 40 d’évaluation) avec la plus gros performance de la saison, s’oppose en rempart aux nordistes. Le suspense est à son comble jusqu’aux dernières secondes. Astou Gaye viendra même rajouter une dose de pression en recollant à un point dans les cinq dernières secondes (73-72, 39’) sur un trois points décisif. Mais Toulouse ne tremblera pas, s’ouvrant ainsi les portes des finales avec l’objectif de reconquérir le titre glâné en 2022 contre la Tronche-Meylan.Chartres - Montbrison : 80-61 / Revoir le matchMalgré un score large au bout du bout, toute la rencontre nous aura tenu en haleine. Dès le début, Cooper fait valoir sa présence sous les paniers. En face, le festival commence sur deux flèches primées de Marié (8-2, 2’). Mais progressivement le bras de fer de l’aller se remet en place (10-14, 6’) sous l’impulsion de la jeune Ysaline Saulnier (9 points, 4 rebonds). Des deux côtés, les failles pour accèder le panier sont difficiles à trouver mais le BCMF à l’avantage. Malgré tout, l’entrée en jeu de Marine Debaut offrira un coup d’accélérateur aux Bluelights. Avec huit points consécutifs dont un trois points sur la sirène, l’arrière de Chartres enflamme le Colisée pour lancer les siennes (23-21, 11’). Montbrison reste dans la course, grâce à Villa-Gomis, Sequeira et Soulard tandis qu’Ugoka impose son force dans la raquette. Le tempo s’emballe de nouveau en fin de quart avec Sophia Elenga par deux fois avant que Saulnier ne réduise l’écart au buzzer (38-36, 20’).Le tournant du match viendra au retour des vestiaires. Tandis que Montbrison résiste pendant quelques minutes, Chartres lance l’offensive dès le milieu du troisième quart. Un 22-10 s’engage avec Elenga en figure de proue. Revenue de blessure récemment, l’ailière eurélienne ne mâche pas son talent (16 points, 6 rebonds). L’écart est fait (60-46, 30’). Benoit Marty et ses joueuses continuent de battre le fer tant qu’il est chaud en appuyant offensivement et en sortant les barbelés en défense. Montbrison tentera de s’accrocher à son rêve d’accrocher une belle mais l’écart est trop important. Chartres se qualifie donc pour une troisième finale de Ligue Féminine 2 après 2017 et 2023.Les finales de Ligue Féminine 2 seront à suivre en intégralité sur la chaîne YouTube de la Fédération Française de Basketball
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Thomas Puentes
Date de publication 04/25/2024 - 12:58
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Voyez-vous le match de samedi comme une occasion rare pour le club ?Clairement. J’ai lu pas mal de choses sur la formule de la Coupe de France, de commentaires. Mais pour moi elle est intéressante, il faut la conserver. J’aimerais juste qu’on puisse avoir une Coupe d’Europe au bout. Mais c’est un moyen de remplir l’armoire à trophées. Avec la formule, ça peut être délicat pour les grosses équipes. Au Top 8, Monaco est arrivé fatigué. Ils enchaînaient les matches et avaient des rendez-vous capitaux en EuroLeague. Paris n’a pas joué la Coupe par rapport au calendrier. L’ASVEL a affronté Monaco très tôt et ça nous arrange bien. Finalement on se retrouve, équipe du milieu de tableau, à pouvoir jouer pour un titre. Quand je suis arrivé à la SIG, en toute honnêteté c’était difficile d’envisager gagner le titre de champion mais je joue et je jouerai jusqu’à la fin de ma carrière pour essayer de gagner. Donc la Coupe c’est un véritable objectif.30 points et 6 passes décisives en demi-finale contre Monaco. Comment expliquer votre réussite sur le top 8 de Trélazé ?C’est un tout. Bonne période c’est indéniable. Quand on a appris le tirage et qu’on a vu qu’on jouerait Monaco ou Nanterre en demi-finale, je ne te cache pas que dans le bus c’était un peu compliqué. On s’est dit qu’on allait jouer Nancy sans pression en quart. Je me demandais si on avait les armes pour battre Monaco que je regarde jouer toute la saison en EuroLeague. Je me suis dit que j’allais juste prendre du plaisir et tout m’a réussi sur ce week-end-là.A quel point la finale a-t-elle occupé votre esprit alors que la SIG était en difficulté en championnat ?Peut-être qu’on ne va pas me croire mais pas tant que ça. Deux jours après le top 8 nous avions un match très important en BCL. Et nous étions presque largués en championnat donc pour ne pas rater le train des playoffs il fallait vite passer à autre chose. Tout en se disant qu’on avait cette finale assurée. Pour la SIG c’est très important de faire les playoffs et éventuellement une coupe d’Europe. Donc je suis très concentré là-dessus. Mais je suis bien conscient que ça peut constituer une de mes dernières chances de gagner un titre.Après avoir éliminé Monaco, une défaite serait dure à encaisser…Il n’y a pas de vérité. J’ai l’image du foot avec Marseille l’an passé qui élimine le PSG en Coupe de France. Et derrière perd contre Annecy. Une Ligue 2. Quand tu joues sur l’euphorie tu peux enchaîner. Là notre victoire sur Monaco est loin. Et Dijon nous a cognés deux fois. Et bien comme il faut. On verra le 27 avril.La JDA en finale de Coupe de France doit vous rappeler de bons moments…On est toujours un peu superstitieux. Donc j’y ai forcément pensé. Mais je n’ose pas trop en parler aux autres dans l’équipe. Ça m’évoque de bons souvenirs sauf que la finale contre eux avec l’ASVEL était à huis-clos et c’était une période délicate. Mais j’ai vraiment hâte d’y être.
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Julien Guérineau
Date de publication 04/25/2024 - 12:04
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Quel sentiment prédomine à 48 heures de la finale de la Coupe de France ?C’est une chance. Dans une compétition avec des matches couperets on sait que tout est possible. On a eu un tirage favorable puisque, à Trélazé, on tombe sur deux bonnes équipes de Pro B alors que Monaco était encore en course. On peut ramener un titre au club et forcément ça donne envie de tout donner. Dès le début de saison c’était un objectif. On a eu une saison compliquée avec beaucoup de blessés, un changement de coach. Gagner la Coupe effacerait un peu cette impression.Cette impression collective ressemble également à votre cas personnel…J’ai eu des moments difficiles. Et le plateau Coupe de France à Trélazé m’a vraiment relancé (30 points en deux matches). J’espère être aussi performant en finale. Ça sera un contexte spécial mais il ne faut pas se mettre trop de pression et ne pas changer ses habitudes.Vous avez battu Strasbourg de 17 points chez eux et de 12 à domicile en championnat. Que faut-il retenir de ces deux résultats ?Une finale c’est tellement à part. Avoir gagné nous met en confiance mais cela peut aussi les révolter. Il ne faut pas trop prendre en compte ce qui s’est passé même si on a les clés pour les battre. Je ne crois pas que ce soit une question de matchups. Strasbourg est une très bonne équipe. Mais quand on est en place défensivement, c’est compliqué pour tout le monde d’attaquer face à nous.Quelle valeur aurait une victoire samedi pour vous, l’enfant du club ?J’ai passé beaucoup de temps dans les tribunes. Je me rappelle des matches de playoffs contre Limoges chez nous. J’ai vécu la Leaders Cup derrière ma télé. Gagner un titre avec le club dans lequel je joue depuis tout petit, ça serait fou. L’histoire serait belle.
Auteur
Julien Guérineau
Date de publication 04/25/2024 - 11:40
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Qui peut stopper Nantes ATC en ce début de saison ? Après avoir décrocher une qualification historique pour le Challenger de Bordeaux, étape du circuit secondaire du « FIBA 3x3 World Tour », les Nantais ont doublé la mise lors du tournoi de qualification de Pau en se qualifiant pour le Challenger de Poitiers.Le quatuor Nantais composé de Lucas Malary, Joran Hamon, Zayd Yahiaoui et Attila Ergir ont d’abord fait le boulot en phase de poule en écartant la jeune équipe de Paris Shadows (21-16) et Pau (19-16), habitué du circuit national « Superleague 3x3 FFBB ». En finale, les coéquipiers de Lucas Malary (n°38 français) étaient opposés à la formation locale de Pau tombeuse de la solide équipe de « Poitiers Drags » en demi-finale (21-18). Dans un match quasiment à sens unique, Nantes ATC a confirmé son excellent début de saison (21-12) et valide son billet pour le Challenger de Poitiers qui se déroulera les 28 et 29 juin.Après avoir affronté les meilleures équipes du monde lors de la « Pro League 3x3 Hoops Factory Edition » et réalisé un gros coup lors du Super Quest de Lausanne, le collectif français participera pour la toute première fois à une étape de niveau Challenger du FIBA 3x3 World Tour. Les Nantais sont désormais attendus pour un road trip qui commencera avec le Lite Quest du Mans (18 mai) avant de participer à deux étapes du circuit national « Superleague 3x3 FFBB » au Mans (19 mai) et au Pouliguen (20 mai).Retrouvez les résultats du Tournoi Qualificatif de Pau en cliquant ici 
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Tom Thuillier
Date de publication 04/25/2024 - 10:49
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L’Équipe de France féminine 3x3 lançait sa saison cette semaine aux États-Unis avec la première étape du circuit international « FIBA 3x3 Women’s Series ». Après une phase de poule maitrisée malgré une courte défaite face aux États-Unis (11-15), les Bleues se présentaient face à Springfield en quart de finale.Face à une équipe composée de deux joueuses issues de l’équipe américaine championne du monde l’été dernier à Vienne (Brink, Harper) et une championne olympique en titre (Gray), les joueuses de Yann Julien ont fait preuve de beaucoup de combattivité. Les Françaises ont notamment pu compter sur une excellente Anna Ngo Ndjock (7 points) mais n’ont pas pu résister aux assauts des locales (12-17).Le collectif français à désormais rendez-vous les 29 et 30 mai à Marseille pour la deuxième étape du circuit international « FIBA 3x3 Women’s Series ».Retrouvez les résultats du FIBA 3x3 Women’s Series de Springfield en cliquant ici 
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Tom Thuillier
Date de publication 04/24/2024 - 17:27
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La tâche s’annonce loin d’être aisée pour l’AS Aulnoye Basket ce mercredi. Débarquant dans le chaudron toulousain qui risque d’être chauffé à blanc, les Félines devront retrouver le visage qui leur a permis de régner toute la saison régulière sur la Ligue Féminine 2. Très loin de ces standards (24 balles perdues), le groupe de Mickaël Petipa arrivera très certainement le couteau entre les dents avec la volonté de faire basculer la série à son avantage. Mais il faudra résoudre le problème Japreece Dean (20,0 points de moyenne en 3 matchs), insoluble par Mondeville en quarts de finale puis par Aulnoye le week-end dernier sans oublier Nicole Enabosi (15,5 points, 8,8 rebonds) à l’intérieur et Binta Drame (16,3 d’évaluation) sur les lignes arrières. Après une saison avec plusieurs creux qui l’ont bloqué au final à la 5ème place du classement, l’ancien pensionnaire de l’élite n’a jamais été aussi proche de toucher un peu plus son objectif de remontée du doigt. Encore faudra-t-il réussir à maîtriser Aulnoye une deuxième fois consécutive, chose qu’aucune équipe de la division n’a réussie à faire pour le moment.En Eure-et-Loir, le Colisée pourra être le témoin de la qualification pour la troisième fois en finale de LF2 du C’Chartres Basket Féminin. Victorieuses dans le combat à Montbrison, les Bluelights de Benoit Marty retrouvent leur nouvel écrin ce soir qu’elles avaient baptisée de la meilleure des manières contre la Tronche-Meylan. Pour que la fête soit belle, la gestion de la menace Kendall Cooper sera la priorité du soir. La MVP du championnat avait été la pierre angulaire de la formation ligérienne pour tenir tête à Chartres. Ce soir, celle-ci devra livrer une de ses plus belles partitions pour faire continuer la belle histoire de Montbrison. Un duel rugueux de défenses denses s’annonce sur le parquet de la nouvelle salle eurélienne. Mais qui sortira vainqueur de ce classico de Ligue Féminine 2 ?Le programme des demi-finales retour :Mercredi 24 avril 2024C'Chartres Basket Féminin - BC Montbrison Féminin (20H00 I Diffusé sur Chartres TV)Toulouse Métropole Basket - AS Aulnoye Basket (20H00 I Diffusé sur YouTube)Retrouvez dès à présent en complément du site Internet lf2.ffbb.com, l'ensemble de l'actualité, des highlights et des coulisses de la Ligue Féminine 2 sur :- Facebook (https://www.facebook.com/liguefemininedebasket)- X (https://twitter.com/basketlfb/media)- Instagram (https://www.instagram.com/basketlfb/?hl=fr)- TikTok (https://www.tiktok.com/@basketlfb) 
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Thomas Puentes
Date de publication 04/24/2024 - 17:16
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A quelques jours du Tournoi de Qualification Olympique (TQO) qui se déroulera du 3 au 5 mai à Utsunomiya, comment te sens-tu ?Je vais bien. Les cinq semaines de pause cet hiver m’ont fait du bien, je suis arrivé en forme en janvier pour la préparation avec « 3x3 Paris » avant d’enchainer sur la « Pro League », la première ligue professionnelle française. Je me sens mieux que la saison dernière physiquement donc mieux sur le terrain, je prends beaucoup de plaisir en ce moment.Vous avez connu de bons résultats avec « 3x3 Paris » cette saison avec notamment une victoire historique sur le très prestigieux World Tour, est-ce un bon indicateur pour l’Équipe de France ?C’est forcément positif parce qu’on reste une équipe 100% française. Il n’y a pas de lien direct entre « 3x3 Paris » et l’Équipe de France mais on reste des joueurs français qui performent sur le circuit mondial. Aujourd’hui Karim (Souchu) nous l’a dit, l’objectif c’est d’avoir l’équipe la plus compétitive possible lors des grands rendez-vous donc à nous de lui prouver que ce qu’on a fait pendant un an et demi étaient pour préparer ces échéances olympiques.Justement, l’objectif de « 3x3 Paris » lors de sa création était de qualifier la France pour les Jeux Olympiques de Paris. Le pari est-il tenu ?Le pari n’est pas encore réussi car on a loupé le premier coche qui était le cut de novembre (ndlr : les trois équipes les mieux classées au Ranking FIBA obtenait leur billet pour Paris 2024). On savait que c’était un objectif atteignable mais compliqué. Il nous reste 2 TQO pour pouvoir passer, si d’ici fin mai nous sommes bredouille on pourra dire que c’est échec au niveau de la qualification pour les Jeux.Une équipe professionnelle de 3x3 est-elle obligatoirement nécessaire pour atteindre un objectif comme celui-ci ?Je pense que oui. Il faut absolument que d’autres équipes tournent sur le World Tour, on a vu beaucoup d’équipes faire des Challenger ou des tournois satellites et c’est une bonne chose mais ce qui rapporte le plus de points ce sont les Masters. Nos principaux concurrents au niveau mondial tournent plus que nous sur ce type de tournois. Aujourd’hui une deuxième équipe est indispensable pour se qualifier pour une compétition comme les Jeux Olympiques. Si la France veut avoir cet objectif et être serein par rapport à ça il faut que des équipes françaises arrivent sur le World Tour.Comment aborde-t-on une compétition aussi cruciale que le Tournoi de Qualification Olympique (TQO) ? On n’imagine même pas la pression qu’il y a sur l’équipe de se qualifier pour les Jeux Olympiques. Karim nous rappelle régulièrement l’importance de cette qualification en tant qu’équipe mais aussi en tant que pays. C’est une compétition qui va se jouer sur très peu de temps et très peu de matchs.Vous connaissez vos adversaires depuis janvier, à quoi faut-il s’attendre ?Tout le monde va venir le couteau entre les dents. Ce sont des joueurs que l’on connaît mais là les enjeux sont complétements différents. On sait que ça va être une compétition différente. Sur le premier TQO il y a que 8 équipes mais ça va être la guerre. Ce qui est différent c’est qu’à la clé ce n’est pas une victoire d’étape et de l’argent mais une qualification pour quelque chose d’immense. Même si on va croiser des joueurs qu’on croisait tous les jours sur le circuit l’année dernière ce ne sera pas les mêmes joueurs une fois le tournoi commencé.C’est une chance pour la France jouer 2 TQO ?Oui absolument. On est pays hôte donc on aurait aimé être qualifié directement mais les règles sont faites comme ça. Maintenant nous notre objectif c’est de se qualifier dès le premier TQO pour pouvoir vite passer à autre chose et préparer les Jeux.La fenêtre internationale de février a été l’occasion de voir de nouveaux visages en sélection, deux joueurs du 5x5 figurent d’ailleurs dans la pré-sélection pour la TQO, c’est une bonne chose pour la discipline ?C’est toujours bien pour le 3x3 d’avoir un apport de personnes du 5x5 car on est toujours à la recherche de validation par tout le monde du basket. Il y a encore beaucoup de monde qui ne sait pas ce nous faisons et qui ne crédibilise pas ce que nous faisons non plus. C’est bien de montrer aux joueurs qui viennent qu’on est là pour s’entrainer, aller gagner des tournois et chercher des médailles. Retrouvez le programme complet de la Tournoi de Qualification Olympique (TQO) de Utsunomiya en cliquant iciLes rencontres seront à suivre en direct sur la chaîne l’Equipe et lequipe.fr/tv
Auteur
Tom Thuillier
Date de publication 04/24/2024 - 17:04
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